Plan-séquence

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Un des tout premiers plans-séquences au cinéma.
http://vimeo.com/859058

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Le premier plan du film est l'un des plus fabuleux plan-séquences de l'histoire du cinéma.
Il dure environ 2' et débute par un panneau de signalisation de carrefour en forme de croix, et se termine par le meurtre d'un gangster.
(vidéo non disponible)

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Le plan-séquence de la scène d'enfance synthétise les rapports de force : la fenêtre emprisonne le gamin dans un cadre de plus en plus petit.
La profondeur de champ oppose l'extérieur, l'espace de l'enfant (la liberté) à l'intérieur (l'espace des adultes, le lieu des contraintes).
http://www.vodkaster.com/Films/Citizen-Kane/2732

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Ingrid Bergman donne toute la mesure de son talent lors d'un plan séquence de pas moins de 8'30, où elle dévoile l'âme de son personnage.
http://www.youtube.com/watch?v=q7Sj-OzA98E

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Le film se déroule quasiment sans interruption avec cependant un trucage pour passer d'une bobine à l'autre. Hitchcock avait fait fabriquer des bobines spéciales pour pouvoir filmer les scènes, celles de l'époque ne permettaient de filmer qu'une dizaine de minutes.Pour contourner cette contrainte technique, chaque plan tourné prend fin, par exemple, avec un travelling sur une surface sans relief (comme le dos de la veste d'un personnage). Le plan suivant commence par le même travelling, le raccord se fait sur le fond neutre. La totalité du film se compose de seulement onze vrais plans donnant l'impression d'en être un seul.
http://lh4.ggpht.com/_8zwBFlNJXeQ/SfLSTScYgcI/AAAAAAAAB1g/41YJCSk2Kpk/s1280/3_Rope_raccord_apres.JPG

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Un plan-séquence tourné sur une plage avec simplement une jeep comme tout accessoire (pour porter la caméra).
(vidéo non disponible)

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Au début du film, un travelling arrière montre un officier (Kirk Douglas) qui avance dans la tranchée et passe ses soldats en revue avant l'attaque.
(video non disponible)

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Le premier plan du film est probablement le plan le plus spectaculaire que Welles ait jamais tourné : un plan séquence de 3' où l’on suit au milieu d’une ville une voiture que l’on sait devoir exploser incessamment ...
http://www.dailymotion.com/video/xl5j05_la-soif-du-mal-orson-welles-1958-plan-sequence_shortfilms#.USMpOfI-700

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Il me semble que Godard fait un usage immodéré et méticuleux du plan-séquence dans ce film ... Je pense à cette scène avec Jack Palance (hors cadre) qui parle à bardot et monte dans sa voiture. Ensuite (sans rupture de plan), Bardot et Piccoli descendent un chemin et retrouvent Palance dans sa voiture rouge. Le film est truffé de ce procédé, notamment dans la maison. Ce film est une véritable expérience cinématographique (Godard tourne complètement le dos aux audaces des débuts (faux raccords, liberté de ton, travelling avec une chaise d'handicapé, Belmondo qui s'adresse à la caméra, etc…) pour mieux "réinventer" son cinéma. Sans compter l'omniprésence de la quadrichromie qui influencera beaucoup Carax sur "Mauvais Sang".

rajouté par Yeahmister

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Des plans-séquences sont filmés dans un grand souci d'esthétique, en particulier la scène du groupe de jazz sur l'immeuble, que la caméra quitte pour aller se noyer plus bas dans l'eau agitée d'une piscine.
http://www.youtube.com/watch?v=JSl1JOjNs2k

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On en trouve de très beaux tout au long du film ...

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La publicité affirme que Godard a réalisé le plus long travelling de l'histoire du cinéma. Au montage, il choisit de couper son travelling en deux par des cartons pour éviter cette performance trop demonstrative ...
(vidéo non disponible)

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***ajouté par Babaorum***
la scène où la caméra suit des personnes montant un escalier pour entrer dans un appartement puis redescend l'escalier pour laisser place au suspense ...
(vidéo non disponible)

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***ajouté par Northevil***
Très beau duel verbal
http://www.youtube.com/watch?v=IYMWkRrC7UY

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De longs plans séquences alternés à des plans fixes perturbent nos habitudes de spectateurs ...
http://www.dailymotion.com/fr/relevance/search/tarkovski/2#video=xbywzm

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Pour souligner la tranquillité retrouvée, Antonioni met en scène cette séquence finale de 7' en une prise : la caméra n’enferme plus le personnage mais se fait plus légère, plus libre, elle flotte entre l’intérieur et l’extérieur, traversant sans ciller les barreaux d’une fenêtre pour symboliser la liberté reconquise. Le drame qui se déroule dans la pièce est systématiquement hors champ, le metteur en scène lui préférant le mouvement du dehors, élargissant l’horizon, insistant sur la sérénité retrouvée. Le final de Profession : reporter constitue ainsi l’un des plus remarquables plans-séquences qui soient, tout en beauté et en intelligence.
http://youtu.be/ke2CFuLQ6t8

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Ce court-métrage montre une traversée de Paris à grande vitesse , réalisée en un seul plan-séquence filmé depuis l'avant d'une voiture, au petit matin (5 h 30) d'août 1976, du périphérique à la basilique du Sacrée Cœur à Montmartre ...
http://www.facebook.com/video/video.php?v=2043762289244

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Ce plan-séquence présente un dialogue familial belliqueux montrant la cohabitation des nombreux habitants de la demeure.
http://www.youtube.com/watch?v=GME_IgpfWlk

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Stanley Kubrick utilise le Steadicam et confirme la fluidité des mouvements de l'appareil, par exemple lorsque le jeune Danny traverse l'hôtel sur son tricycle, lorsque Wendy est poursuivie par Jack dans l'escalier ou durant la poursuite finale dans le labyrinthe.
http://youtu.be/bCeBeS_OGso

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***ajouté par SanFelice et Ochazuke***
la scène de la traversée de la piscine (avec la bougie) ...
(vidéo non disponible)

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***ajouté par Northevil***
Superbe plan en point de vue subjectif à travers les yeux du tueur
http://www.youtube.com/watch?v=9daukOZ8ZNc&feature=related

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La caméra suit Henry et sa future femme Karen à travers les couloirs d’un restaurant jusqu’à la table qui leur est réservée. Il s’agit ici de montrer l’envers du décor, pour mieux dévoiler le quotidien d’un gangster, et surtout pour présenter un concentré de son génie de metteur en scène : fluidité, virtuosité même du mouvement, Scorsese s’offre un morceau de bravoure technique ; non content de mettre en œuvre une batterie de figurants et de décors, il fait tourner son Steadicam dans des lieux volontairement exigus et surchargés d’objets, comme par exemple les cuisines, pour mieux évoquer la grâce avec laquelle Henry évolue dans cet univers.
(vidéo non disponible)

Annotation :

***ajouté par Northevil***
C'est plutôt court, mais c'est tellement bon quand c'est bien filmé
http://www.youtube.com/watch?v=LUtn7e05C8M
(jusqu'à 0:38)

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http://www.youtube.com/watch?v=luui7KGzciY

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Le début de "The Player" est un clin d'œil et une référence directe à "La Soif du mal" d'Orson Welles ... une des discussions a pour sujet les plans-séquences ...
http://www.youtube.com/watch?v=ouAVZb6TgWk

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***ajouté par VilainChien***
comporte de très longs plan-séquence
http://www.tagtele.com/videos/voir/60404/

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***ajouté par Northevil***
Quand Butch retourne à son appart, aucun à-coups même lors du passage du grillage, très beau
http://www.youtube.com/watch?v=sNw_w-9SPoA&feature=related
(à partir de 0:26 jusqu'à 1:23)

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Michael Haneke filme pendant plusieurs minutes, en plan fixe, un des protagonistes en train de renvoyer des balles de ping-pong expédiées par un robot d'entraînement ; cette scène insupportablement longue met en avant la relation conflictuelle du personnage avec les machines (un des ressorts du film).
http://www.youtube.com/watch?v=40_q5_1VySI

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Pour la beauté de ses lents plans-séquences.
(vidéo non disponible)

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***ajouté par Jambalaya***
la scène d'ouverture ...
(vidéo non disponible)