[PS4] Journal de bord

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[#1 A faire]

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[#2 A faire]

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[#3 A faire]

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Statut: Fini. (2021)
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Note finale: 8/10+♥
Progression des trophées: [###########]100%
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Ce qui frappe dès les premières minutes de jeu (et les dizaines d'heures qui suivront) c'est la direction artistique. La patte si particulière du studio est toujours là, et même carrément transcendée. Chaque scène est un véritable tableau, jouant des couleurs et de la lumière pour offrir un spectacle visuel au joueur.

Le gros point fort de l'oeuvre est son scénario : découpé par le point de vue de 13 personnages jouables, un peu à la manière d'un Shibuya Scramble, et à mi-chemin entre jeu d'aventure et visual novel. Dès lors, méchas, voyage spatio-temporel, nano-machines et autres androïdes seront au programme et le joueur sera baladé tout au long de l'histoire, jusqu'à pouvoir enfin mettre toutes les pièces du puzzle en place.

13 Sentinels: Aegis Rim propose également une phase de gameplay parallèle, le "mode combat", où l'on pourra combattre les kaijus, responsables de la destruction de la planète à l'aide de ces fameux mechas, les Sentinelles. Cette phase prend la forme un tactical-rpg en simili temps-réel. J'ai choisi d'y jouer en difficulté normale afin de ne pas me prendre la tête dessus.

En bref un jeu très abouti mais à déconseiller aux personnes à la recherche d'un bon T-RPG (car cette partie du jeu est loin d'être la plus passionnante), aux allergiques à la SF ou à ceux et celles n'aimant pas ingurgiter une grande quantité de dialogue (80% du jeu).

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Statut: Fini (2021)
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Note finale : 7/10
Progression des trophées : [####### ]70%
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Cette version améliorée de Catherine offre quelques changements de gameplay bienvenus (les coussins donnent maintenant des undo supplémentaires, et un undo est utilisé en cas de mort pour ne citer que ce changement), une version alternative des niveaux avec le mode Remix (dans le cauchemars et dans le mini jeu Rapunzel). ainsi que l'ajout d'un nouveau personnage et de 2 endings additionnels pour Kat et Cat. Sans oublier une nouvelle coupe de cheveux ornant la tête de la délicieuse Trisha.

Il est toujours aussi pénible de refaire le jeu pour voir les différentes fins, un chart similaire à ceux présents dans les visual novels aurait été beaucoup plus agréable (tout est plus agréable que faire "pause" > "skip", "pause" > "skip", "pause" > "skip" en devant en plus se rappeler quelle scène intermédiaire peut avoir changé d'une run à l'autre). La difficulté est au rendez-vous pour peu que l'on adhère au gameplay des puzzles et une difficulté "très facile" à été ajoutée pour ceux qui préfèrent profiter de l'histoire.

J'ai pas passé un mauvais moment mais je m’attendais à plus subtil concernant les nouveaux épilogues scénaristiques.

Games are lovely creations, aren't they?

Stay golden.

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Statut: Fini. (2021)
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Note finale : 8/10
Progression des trophées : [###########]100%
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Ce Yakuza se démarque par l'abandon du système Beat them all au profit du JRPG au tour par tour ainsi que l'introduction d'un nouveau personnage, et c'est une très bonne découverte. Le scénario est prenant et le ton décalé des quêtes annexes toujours rafraichissant. Le gameplay est très fortement inspiré de la saga Dragon Quest (dont les références à ce dernier son nombreuses) ou d'un Persona. Rien de révolutionnaire mais le résultat est très plaisant. Difficile d'en dire plus sans spoiler, mais clairement un des GOTY de 2020.

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Statut: Fini. (2021)
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Note finale: 7/10
Progression des trophées: [###########]100%
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Adapté de l'anime du même nom sorti en 2015, Punchline en garde l'esprit et la forme. En effet celui-ci est découpé en 21 épisodes (contre 12 pour la version animé), chacun délimités à chaque fois par un opening et un ending. Studio Mappa à la production et Kōtarō Uchikoshi au scénario : le résultat ne pouvait être que surprenant.

C'est justement par le scénario que Punch Line tire son épingle du jeu. Celui-ci se révèle plus tordu et surprenant que ce que la première partie pouvait laisser présager.

La partie gameplay en revanche ne m'a absolument pas convaincue. dans cette phase, le joueur incarné par le fantôme de notre héros, se doit de réaliser des tours en déplaçant divers objets de la pièce pour surprendre les jeunes filles de la maison, et gagner de "l'expérience de fantôme". Le prétexte du jeu étant de pouvoir à terme mettre la main sur le livre capable de redonner son corps mortel au protagoniste.

Là où la version jeu vidéo aurait dû apporter une plus-value par rapport à la version animé, le résultat a été inverse pour moi. Les partie gameplay ne se sont révélées ni intéressantes ni amusantes à mon goût. Heureusement elles deviennent complètement absentes dès la secondes partie du jeu.

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Statut: En cours (2020)
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Note finale : 8/10 + ♥
Progression des trophées : [######         ]58%
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Un Visual Novel comme on en voit peut. Ce qui démarque au premier abord c'est la patte graphique du jeu, point de CG ici mais des images tirées de scènes filmées (à 99% des photos, et quelques rares courtes vidéos). Ce parti pris est risqué mais très bien abouti, les acteurs sont bons, les effets sonores également. Les musiques qui ponctuent l'histoire (assez variées même si simples) parviennent à procurer une très bonne ambiance et immersion.

Mais le gros point fort du jeu c'est la qualité d'écriture et de narration. L'histoire est divisée en plusieurs protagonistes principaux (et une multitude de secondaires, jouables ou non), tous très bien écrits. Lorsque l'on lance le jeu pour la première fois on ne sait rien d'eux, ni de leur passé ni de leurs aspirations, mais leur background et développement est subtilement amené au fil du déroulement de l'histoire.

Le jeu est assez long et fourni (compter environ une trentaines d'heures ?). Les choix donnés ont tous une conséquence (directe ou indirecte sur les autres personnages) et Shibuya Scramble propose pas moins de 85 "bad endings", tantôt drôle, tantôt tragiques ou juste absurdes. Et pas mal de contenus bonus en fin de jeu pour prolonger le plaisir (malheureusement assez inégaux en terme d'écriture).

Si vous n'êtes pas rebuté par la lecture (en anglais), c'est un must play :)

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Statut: Fini. (2020)
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Note finale: 6/10
Progression des trophées : [###########]100%
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"Je m'attendais à rien et je suis quand même déçu".

J'ai craqué parce que mes proches m'en on dit du bien (je sais pourtant bien qu'ils ont mauvais goût, mais je suis en manque de repères and I never learn). J'en garde pas un mauvais souvenir mais pas franchement un plaisant non plus. L'atmosphère de Midgard est bien retranscrite, les décors sont tous très détaillés, ça fourmille de détails, vraiment le boulot de ce côté là a été monstrueux (et ce malgré le côté redondant car les 3/4 des chapitres se déroulent dans les "bidonvilles" et pas sur les plateaux). Les personnages sont aussi plutôt réussis visuellement (mention spéciale à Rude que j'ai beaucoup apprécié dans cette version sans que je sache réellement pourquoi.. peut-être parce que grâce à ses lunettes il n'a pas ce regard de biche effarouchée comme les autres... allez savoir).

Pour le reste c'est bof voir raté. Les personnages principaux sont franchement horripilants et niais. Les dialogues sont insipides. Le système de combat n'est pas désagréable à prendre en main mais l'AI est stupide, si bien que des combats qui se voulaient dynamiques sont au final un tour par tour mal géré (j'utilise perso_1 pour attaquer, je monte sa barre ATB, j'utilise une compétence, je switch avec perso_2 qui est incapable d'attaquer par lui même, je monte sa barre ATB, j'utilise une compétence et rebelote avec perso_3, et ainsi de suite tout le combat).

Et surtout, surtout, ils ont merdé sur l'immerdable. Foiré l'histoire, foiré le rythme, foiré le storytelling. Le jeu s'étire inutilement en longueur, et c'est poussif. Tout est fait pour te ralentir. Que ce soit au niveau des chapitres ou séquences inutiles rajoutés, en passant par les quêtes d'histoires et annexes inintéressantes et obligeant à faire 50 aller-retours, ou encore ces innombrables phases ou le personnage est ralenti volontairement par le décor.... Ou bien ralenti par des énigmes qui n'en sont pas vraiment tant la difficulté est inexistante (et je suis loin d'être un genius).

Et du Sephiroth en veux tu en voilà 3 fois par chapitre. Et même un combat contre lui à la fin, en apothéose nanardesque.

(ﾉ´･ω･)ﾉ ﾐ ┸━┸

J'en suis sortie mitigée.

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Statut: Hiatus (2019)
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Note finale : 9/10
Progression des trophées : [##### ]50%
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Très bon jeu en local multi sur lequel on a plaisir à revenir régulièrement. Les versus sont nerveux, rageant et addictif. Le mode coop est assez exigeant et demandera une concentration sans faille et une bonne dose de persévérance.

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Statut: Fini. (2019)
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Note finale: 7/10+♥
Progression des trophées : [###########]100%
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Disgaea HOD était un de mes jeux favoris de la PS2, j'avais donc très hâte de pouvoir y rejouer 15 ans après. Cette version PS4 est un portage, reprenant les ajouts des diverses ressorties (PSP, DS, PC), avec les assets de Disgaea 5. Visuellement ça casse pas 3 pattes à un canard mais c'est amplement suffisant. Cette version *ultimate* devrait donc être la dernière et apporte par rapport à l'original des petits changements bienvenus (surtout avec le patch de février 2019) facilitant le jeu, ainsi que des ajouts (le mode Etna proposant par exemple une version alternative -et anecdotique- de l'histoire).

En ce qui concerne le jeu en tant que tel, il faut s'accrocher pour assimiler toutes les mécaniques, surtout les plus implicites. Comment obtenir une arme ultime parfaite, les armures ultimes parfaites, comment optimiser les habitants des objets, comment gérer correctement les géoeffets, où grinder etc. Et grinder il faudra. Rien d'obligatoire en ce qui concerne l'histoire principale, mais Disgaea regorge de boss et donjons optionnels plus ou moins cachés. C'était ce qui faisait sa force à l'époque : la durée de vie du jeu pour quiconque était habité par une volonté farouche de complétion. Malheureusement ce procédé n'a pas très bien vieilli, car à l'heure où le marché propose une offre toujours plus importante de bons jeu, lancer celui-ci pour monter un personnage lvl 9999 en recommençant la même map 500 fois n'a rien de palpitant.

Disgaea n'en reste pas moins un jeu très agréable à jouer. Le ton est léger, voir enfantin, mais l'humour omniprésent fait toujours effet. Et ça m'a bien donné envie de faire le 5 !

Annotation :

Statut: En cours. (2018)
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Note finale: 9/10+♥
Progression des trophées: [##########  ]88%
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Honnêtement un des meilleurs jeu indé auquel j'ai pu jouer. Étant pas du tout une joueuse de platformer endurcie, j’appréhendais celui-ci un chouia. Une des forces du titre est d'offrir un challenge pour pour tous les joueurs, du débutant au plus aguerri, avec différentes versions des niveaux se débloquant au fil de l'aventure, ainsi que des items à récolter, plus ou moins caché dans les maps. La difficulté est croissante, et les mécaniques intégrées très naturellement au fil de l'aventure. Et ce moment où l'on réussit, après parfois 200 essais sur un même tableau, là la satisfaction et le sentiment d’accomplissement sont absolument délectables. On notera également -chose rare- un cheat intégré au jeu, pour les joueurs ne cherchant pas le challenge.

Celeste peut se vanter d'offrir à la fois un gameplay varié et irréprochable, une OST magique ainsi qu'une histoire touchante. Les quelques scénettes narratives sont bien écrites, parsemées d'humour, et on peut saluer la justesse d'écriture sur un sujet aussi souvent mal abordé que la dépression.

Annotation :

Statut: Fini. (2018)
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Note finale: 9/10+♥
Progression des trophées (DLC inclus): [###########]100%
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TW3 est un jeu très ambitieux, et on sent que les personnes impliquées dans le développement se sont données du mal (probablement même trop vu les dénonciations d'employés et ex-employés de chez CD Project Red).
Niveau point fort, c'est esthétiquement parfait, le monde ouvert est sublime, les PNG variés et expressifs, les musiques même si parfois répétitives sont très jolies. Très peu de temps de chargements, même sur PS4, vu la taille de l'open world c'est un soulagement.

Là où j'ai été moins convaincue c'est dans le fond, un peu refroidie par la quête principale, qui est censée être urgente et prioritaire, mais qui cohabite mal avec la multitude de quêtes et contrats secondaires, et l'exploration du monde. C'était parfois pénible, s'étirant trop en longueur et dans des ramifications un peu tirées par les cheveux. Certains choix faits par le joueur ont des répercussions indirectes, ce qui est plaisant.
Dommage que les combats soient redondants et trop simples (et passé le niveau 10, on ne sent quasiment plus la différence entre difficulté standard ou maximum).
Les DLC sont très bons, avec des histoires immersives, et offrant plusieurs endings (3 principaux pour BaW, tous marquants).

Les +:
-Les Trolls
-Dijkstra
-Les Trolls péteurs

Les -:
-"C'est pour acheter ou pour farfouiller ?"
-"Sacré vent"

Annotation :

Statut: Fini. (2018)
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Note finale : 8/10+♥
Progression des trophées : [###########]100%
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J'avais testé la démo à sa sortie sur le PSstore mais celle-ci ne contenait qu'une partie du prologue du jeu final et ne m'avait pas du tout convaincue (beat them all où on enchainait des hordes de mobs dans des couloirs, + un boss vite expédié). Puis vint la lecture de Level Up 1 (chez Third Editions), et son super dossier sur NieR Gestalt. Ça avait l'air franchement chouette, et même si je n'ai pas pu y jouer faute de PS3, je me suis lancée dans NieR : Automata.

La particularité du jeu est sa narration. Celle-ci est fracturée en plusieurs routes, avec différentes fins (certaines sont des "vraies", les autres sont des "mauvaises", et il y en a un total de 26). Et le jeu vous demandera d'aller au bout de chacune des principales pour comprendre (ou tenter) l'ensemble de l'histoire. Les dialogues sont plaisants, parfois assez décalés. La dimension philosophique est assez subtile, juste ce qu'il faut pour que l'impression générale ne soit pas trop lourde, malgré ce à quoi sont confrontés les différents personnages. C'est léger mais c'est triste...

Pas grand chose à dire de négatif si ce n'est que le titre est un peu court au final, et que même si le monde ouvert est bien dosé, j'aurais aimé que les zones soient plus nombreuses et variées. Les différents gameplay proposés sont vraiment bien intégrés dans le jeu, les combats équilibrés (même si un peu durs parfois en difficulté hard, on peut se faire OS à la moindre inattention...). L'OST est vraiment géniale, et assez originale par rapport aux OST "classiques" des jeux-vidéo en général.
Dommage qu'une fois qu'il est fini, il est vraiment fini... J'aurais voulu jouer plus ;-;

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Statut: Fini. (2017)
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Note finale : 9/10 + ♥
Progression des trophées : [###########]100%
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Jeu tant attendu pour lequel j'ai cassé ma tirelire-cochon et acheté la PlayStation 4 Pro™. Honnêtement déçue en arrivant à la fin de l’aventure, toute hypée que j'avais été par cette longue attente et ses trailers mystérieux. Déçue par le scénario, et par les personnages, que j'ai trouvé un peu en deçà de P3 (et même P4). La difficulté a été revue à la baisse, les donjons peuvent se finir en une fois (sauf événements requis par l'histoire), et les fusions sont ultra assistées (fini les graphiques à rallonge sur 3 feuilles A4). Mais ça reste évidemment un très très bon jeu, comme on aimerait qu'il en sorte plus souvent depuis une dizaine d'année.

Annotation :

Statut: Fini. (2017)
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Note finale : 8/10 + ♥
Progression des trophées : [##########   ]85%
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Ouah la claque. J'ai jamais autant pleuré en finissant un jeu vidéo. Je me suis jamais autant attachée ni jamais autant aimé une créature virtuelle comme je ça a été le cas pour Trico. Pour ça ce jeu est une totale réussite pour moi. Un peu cruel du coup, le jeu use et abuse de la technique de l'ascenseur émotionnel. Mais je pardonne. Je pardonne même les commandes qui donnent envie de s'arracher les cheveux par moments.

Annotation :

Statut: Fini. (2018)
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Note finale: 8/10
Progression des trophées: [###########]100%
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**Sur "999 : Nine Hours, Nine Persons, Nine Doors".

Un jeu assez court, au scénario qui commence avec un encéphalogramme quasi plat, mais qui révèle son petit lot de surprises et au final assez cohérent. C'est un visual-novel donc il y a beaucoup de bla-bla. Principalement des monologues, mais sur des sujets très variés et qui apportent quelque chose à l'histoire : j'ai tout lu avec attention, MAIS il faut aimer sinon passez votre chemin. Les personnages bien que variés et bien écrits ne sont pas hyper attachants, cependant ça reste cohérent puisqu'après tout on ne les côtoie que 9h in-game.

Les phases d'énigmes/puzzle façon escape-room sont sympathiques même si assez simples. Il suffit la plupart du temps de correctement collecter les objets, de les combiner... Un procédé qui rappelle les heures les plus sombres des point'n click (ceci dit c'est pas déplaisant, et c'est justifié par le scénario).

**Sur "Virtue's Last Reward".

La suite donc. Il n'est pas obligatoire d'avoir fait le précédent avant celui-ci mais il contient des spoilers sur le premier opus (999 initiant également au concept de base de la saga, que je tairais ici).

La recette est la même, à part que le temps de jeu est triplé. On notera aussi le passage à la 3D. Les escape-room sont plus corsées (youpi !!), et à moins de mettre le jeu en EASY, les camarades ne résoudront pas les énigmes/puzzles à notre place.

Il y a beaucoup d'endings (bons et mauvais) différents, et certains ne pourront être débloqués qu'après avoir visionné certaines scènes clés du jeu. Dans ces moments le flowchart est plus que bienvenu, ainsi que la fonction d'avance rapide pour les dialogues déjà lus.
Comme pour 999, le scénario est assez dense et bien fichu, même si j'ai regretté quelques facilités et des twists un peu trop forcés par moment.

Annotation :

Statut: Fini. (2018)
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Note finale : 8/10+♥
Progression des trophées : [###########]100%
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Quel plaisir de (re)découvrir le jeu avec ce remake. Les graphismes sont top, c'est vraiment réussi et il est très plaisant de parcourir à dos d'Aguro ces terres quasi-désertiques. Ça rend le côté vide (que l'on pourrait reprocher) de cet univers beaucoup moins ennuyeux que dans l'original. Je me suis arrêtée pleins de fois pour admirer ce qui m'entourait. Le 60 fps est bienvenu, c'est un bonheur à jouer. Pas vraiment d'ajout in-game si ce n'est les commandes remaniées (c'est au choix, mais c'est beaucoup mieux) et les "reliques" scintillantes disséminées un peu partout, même si j'ignore encore à quoi elles servent (j'en ai obtenu 42, certaines vraiment dénichées au petit bonheur la chance).

Petit bémols :
-Les quelques bugs liés à ce nouveau contenu, c'est à dire qu'on passe à travers des rochers pour tomber dans le vide, ou que le personnage se retrouve à faire du break-dance dans les airs, sans autre possibilité que de quitter la partie. Ça m'aura coûté une 20aine de morts au compteur, quand même.
-La gestion de la caméra. C'est frustrant, surtout pendant les combats.

Annotation :

Statut: Fini. (2017)
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Note finale : 8/10
Progression des trophées : [###########]100%
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Remake du jeu PS2 que j'avais déjà beaucoup aimé à l'époque, je n'avais pas pu le finir, exaspérée par les lags sur ma console. Pas vu de grandes différences sur la version 2016, à part quelques ajouts au niveau des maps, mais rien de fou. Mais c'est sublime, et puis ça rame pas ! Seul défaut : c'est répétitif. Cinq fois les mêmes maps et ennemis, les mêmes boss, avec juste un personnage et un angle d'histoire différent c'est assez lassant à la longue.

Annotation :

Statut: Fini. (2018)
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Note finale : 8/10+♥
Progression des trophées : [###########]100%
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J'étais pas spécialement emballée à la base, faut bien avouer. Disons que je l'aurais pas acheté (on me l'a heureusement prêté).

Ce que je craignais du jeu (un truc graphiquement très beau mais avec une histoire dans les choux) n'a pas raté mais... j'ai vraiment accroché. Visuellement c'est très plaisant : le contraste nature-robots, les robots en eux-même sont top surtout vus de près, les différentes météo, les couchers et levers de soleil, les pleines lunes, les différents biomes (même si c'est pas très crédible de passer d'une foret tropicale à un désert puis à la toundra en 150 pas le tout en restant sur une petite parcelle d'un continent).
L'histoire principale n'est pas bien palpitante, mais les quêtes annexes et l'exploration sont agréables, en très grande majorité scénarisées et on à du mal à s'arrêter. L’héroïne est sympathique et lâche de bons burns au cours du jeu, les personnages secondaires sont plutôt variés et pas stéréotypés.
J'ai regretté le manque de diversité des armes et armures genre "oh un shop ! ah mais c'est la même merde que dans les 30 autres rip" (je suis trop habituée aux jrpg ?), le peu "d'énigmes" et leur simplicité (ça aurait été sympa d'avoir des creuzets bien plus élaborés avec des énigmes à la FFX ou Zelda) et une durée de vie un peu décevante. Les ennemis humains sont très drôles de par leur stupidité et n'offrent aucun challenge, même en Ultra-Hard (dommage vu le nombre rencontré au cours de l’aventure).

Bref pas mal de trucs pas top mais je note sur le ressenti post-crédits et le plaisir durant la partie et le le résultat est là : c'était bieng ! Je veux une suite !

Mes petits screenshots : https://imgur.com/a/Fs8yRD7

Annotation :

Statut: Abandonné. (2017)
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Note finale : 8/10 + ♥
Progression des trophées : [#########    ]78%
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Un des premier jeu fait sur PS4, je connaissais pas du tout je l'ai découvert au hasard en explorant le PS Store.

Aussi étrange que ça puisse être vu la qualité du contenu et les gens aux manettes derrière (Goichi Suda entre autre pour ne pas le nommer), c'est un jeu Free To Play, avec des achats in-game (avec des packs à 150€ qd même) servant juste à accélérer sa progression. C'est une sorte de hack'n slash / roguelike... Le but du jeu est simple, la prise en main est simple, le reste... C'est dur. L'ambiance est vraiment unique, très décalé, les personnages sont déjantés ou zarbi, c'est globalement très drôle. Seul défaut c'est le pvp, très basique, car F2P oblige (donc pas d'abo PS Plus requis) pas de vraie confrontation online en temps réel :(

Après 600h dessus j'ai fini par laisser tomber à cause du farm intensif que ça requiert. Mais je ne regrette rien.

Annotation :

Statut: Fini. (2018)
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Note finale: 7/10
Progression des trophées: [###########]100%
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Dragon Quest XI ne révolutionne en rien le genre, au contraire, il campe fermement sur sa position de JRPG old-school au tour par tour. Un système que j'affectionne, cependant dans cet opus j'ai joué en mode auto pendant 80% du jeu.
Déjà parce que l'IA est relativement bien faite et les personnage prennent le plus souvent la bonne décision, et on peut choisir de quel façon ceux-ci vont aborder le combat (défensif, offensif, sans utiliser de mana, etc.). Et principalement parce que la plupart des combats sont beaucoup trop simples et ne nécessitent aucune stratégie. Pas facile de trouver un compromis entre le grinding intensif du VIII et l'ennui du XI... Les options "draconnienne" (que l'on ne peut malheureusement choisir qu'en commençant une partie et je n'ai pas choisies ne sachant pas à quoi m'attendre) ajoutent du challenge, ainsi que la toute dernière partie du jeu (mais qui ne représente qu'un petit quart de l'aventure).

J'ai été agréablement surprise par le scénario qui nous fait sortir de notre zone de confort en offrant une narration originale et quelques bonnes surprises. Les personnages sont attachants, à part peut-être le héros muet aux grands yeux de biche auquel j'ai eu beaucoup de mal à m'identifier. Petite originalité dans un J-RPG : un personnage ouvertement gay, et même si on peut reprocher qu'il soit très stéréotypé le fait qu'il existe montre une certaine évolution dans les mentalités. Pas de changement en revanche concernant les personnages féminins, les amateurs de puff-puff seront servis.

Les graphismes sont très jolis, même si reprocherais le fait que tout soit très "carré", joli et propret, car même si une bonne variété a été apportée à l'ensemble, le tout finit par manquer de saveur. Le jeu fourmille de petits détails, avec un soin tout particulier apporté aux animations des personnages et des monstres. Dommage que dans l'ensemble le level design soit décevant et n'incite pas plus à l'exploration. Même constat pour la musique, très convenue, et qui devient vite redondante.

En somme un jeu loin d'être parfait mais que j'ai eu plaisir à faire jusqu'au bout.

Annotation :

Statut: Fini. (2017)
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Note finale : 7/10 + ♥
Progression des trophées : [###########]100%
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OVNI du visual novel par son côté décalé et provok', l'humour vole parfois pas très haut, mais c'est pas déplaisant. Un peu poussif dans le gameplay (ça passe mieux sur Vita je pense), on se laisse prendre facilement par les événements.

Les trials sont la partie que j'ai un peu moins aimé. La difficulté étant souvent de trouver ce que le jeu veut, alors que certaines autres réponses (bullets) pourraient aussi fonctionner. J'aurais aussi préféré pouvoir mener l'enquête "dans le jeu" à proprement parler et pas toujours deviner pendant les procès tous les éléments les plus importants du/des meutres. Mais ils restent bien fichus et certains bien tordus et intéréssants (particulièrement dans DR2).

Le point négatif étant l'histoire, à moins d'être sous l'emprise de psychotropes ça tient pas tellement la route... Mais j'ai passé un bon moment. Je déconseille toutefois de faire les deux opus à la suite, petit risque d'overdose (surtout pour les contenus "bonus" de fin qui sont répétitifs).

Annotation :

Statut: Fini. (2017)
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Note finale : 8/10+♥
Progression des trophées : [###########]100%
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Pas de changement majeur dans les mécaniques de jeux, il est dans la droite lignée de ses prédécesseurs. En mieux. L’aventure est pleine de rebondissements inattendus (ne vous faites pas spoil, ça gâche une énorme partie de l’intérêt du jeu). Toujours plein d'humour. La fin en divisera sûrement plus d'un mais ça m'a personnellement bien plu !

Assez gros contenu également du côté des jeux "bonus" avec un donjon RPG et un système indépendant d'xp des différents personnages (au nombre de 48 quand même !), des jeux casino, des scénettes de love hôtel. Assez répétitif quand même si on veut tout finir à 100%.

Annotation :

Statut: Fini. (2017)
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Note finale : 7/10
Progression des trophées : [###########]100%
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Très bonne surprise. Plus nerveux qu'un Dark Souls grâce aux esquives et au counter à l'arbalète, mais tout autant punitif. J'ai rencontré des difficultés à me repérer dans les maps au début, la bonne surprise c'est que ce n'est pas linéaire et que quelques libertés sont laissées au joueur dans l'exploration. Comme d'hab' pour les jeux From Software j'ai pas compris grand chose à l'histoire, mais il parait que c'est normal.
À noter que le DLC est de très bonne facture.

Annotation :

Statut: Fini. (2018)
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Note finale : 7/10
Progression des trophées : [###########]100%
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Pas très emballée à la base vu ce que j'en avais lu rapidement (en prenant garde à éviter les divers spoilers). Au final agréablement surprise. Le jeu, malgré sa patte très marquée, ne révolutionne pas le style FPS/Beat Them All, mais il n'est pas désagréable à jouer (même si assez facile). Le principe d'avoir 2 héroïnes est cool, et j'ai bien aimé ce duo improbable. Les quelques petites énigmes (servant souvent de prétexte à un tutorial) offrent une petite diversité de gameplay rafraichissante dommage qu'elles ne soient pas un peu plus tordues. L'esprit DGRP est là; après du coup faut aimer se farcir pas mal de dialogues, certains moins passionnants que d'autres, et certains franchement limites (notamment sur la pédophilie).
Le scénario tient la route, même si j'ai regretté qu'il nous amène à retraverser les mêmes zones plusieurs fois, au fil de l'histoire. Les musiques enfin, même si peu variées sont sympathiques.
A faire uniquement si on a joué à DGRP 1 et 2 par contre.

Annotation :

Statut: Fini. (2019)
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Note finale : 7/10
Progression des trophées : [###########]100%
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Petit jeu sympathique acheté en solde. Un très bon moment en coop (sans engueulades !). Un peu trop court malheureusement, mais au moins on évite l'indigestion.

Annotation :

Statut: Fini. (2018)
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Note finale : 7/10
Progression des trophées : [###########]100%
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C'est pas moi qui ai joué mais je me rappelais beaucoup de l'original, fini quelques années à peine sur PS2. Au niveau des changements : c'est en HD et les musiques sont réorchestrées ça c'est cool. Le système de job n'apporte pas grand chose (c'est même plutôt une contrainte), il y a quelques petits changements au niveau des coffres (fini les armes cheatées au début du jeu entre autres), les sorts de zone par défaut, un mode accéléré, des modes spéciaux en NG+ et un mode Trial. Sinon globalement il est quand même plus facile. Mais si vous n'avez jamais eu l'occasion d'y jouer c'est l'occasion.

Annotation :

Statut: Fini. (2018)
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Note finale : 7/10
Progression des trophées : [###########]100%
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Encore un jeu gentiment prêté par un ami. J'y suis allée un peu à reculons, étant très sensible à la motion sickness, mais je n'ai finalement pas été malade du tout. Le gameplay est très sympa, on s'habitue vite à manier la gravité pour se déplacer et combattre. Les graphismes et les musiques sont très jolis (ces dernières me rappelant souvent Dragon Quest).

L'histoire est malheureusement assez simpliste et courte, et le ton un peu trop enfantin. Mais ça colle bien avec le jeu en lui-même. J'ai beaucoup aimé les petits défis, même si du fait de leur quantité ils finissent par se ressembler un peu et peuvent s’avérer redondants. C'est ce qui m'a au final pris le plus de temps, surtout au début du jeu lorsque les pouvoirs/capacités ne sont pas au maximum. Bref un bon jeu !

Annotation :

Statut: Fini. (2018)
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Note finale : 5/10
Progression des trophées : [###########]100%
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Premier Fallout en 3D pour moi, n'ayant pas fait ni Fallout 3 ni NV. Je vais commencer par les points positifs : l'univers post-apo est bien fait, les graphismes sans être ni beaux ni variés font le taff niveau ambiance, l'open world est vaste, l'IA des ennemis est acceptable (ils peuvent se mettre à couvert, se soigner...).

Tout le reste est mauvais. Le scénario est inintéressant au possible, les doublages audio scandaleux (les sous-titres sont minuscules et me niquent les yeux), les dialogues sont nuls, c'est bourré de bugs (graphisme, quêtes, audio...). L'open world que je dis vaste quelques lignes au dessus (300+ locations quand même) est malheureusement très fade et redondant. La plupart des quêtes sont peu ou pas scénarisées et il s'agira principalement de cleaner une zone ou de rapporter un item.

L'aspect RPG à totalement été abandonné, le personnage n'a aucune particularité ni dans le choix des dialogues (à part être un super-gentil ou un super-gentil sarcastique), ni dans les spécialisations. Les points offerts au début et au fil du jeu suffisent largement à avoir un personnage polyvalent, et il n'y a me semble-t-il pas de niveau max. Le côté crafting/construction peut être intéressant pour ceux qui aiment, mais je n'en fait pas partie.

Niveau gameplay, le rendu au niveau du tir et des armes est assez bien fait. Par contre le fait d'avoir à la fois le mode SVAV et FPS enlève toute stratégie dans les combats : il suffit de bourriner. Les temps de chargement sont également insupportables, compter parfois une minute pour entrer dans un bâtiment... Vraiment décevant, et pourtant je n'en attendais rien.
Et je suis interloquée par la quantité de bugs encore présents 3 ans après sa sortie. Quand on voit le nombre de DLC payants et la boutique "Creation Club" avec des achats in-game avec du vrai argent...
À noter que je n'ai testé aucun mod sur PS4, peut-être certains s’avéreront intéressants.