Résumés de documentaires

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Dans ce documentaire, on nous démontre que se passer de viande est tout à fait possible, en plus d'être bien meilleur pour notre santé. Cela est prouvé au terme de diverses explications et expériences effectuées sur des athlètes de niveau olympique.
Le documentaire présente de nombreux grands athlètes végétaliens.
Le documentaire explique que les protéines végétales ne sont pas inférieures aux protéines animales. De nos jours, les individus consomment en moyenne 70% de protéines de plus que nécessaires. Parmi ces protéines, la moitié provient de végétaux.
Une petite expérience a permis de mettre en évidence qu'un repas à base de viande rend le sang plus gras qu'un repas végétal. Cela a pour conséquence de réduire les performances. De plus, le régime végétarien réduit les inflammations musculaires, ce qui permet de guérir beaucoup plus rapidement.
La consommation de protéines animales fait augmenter le cholestérol et favorise la contraction de très nombreuses maladies.
L'homme possède de nombreuses caractéristiques qui en font un végétarien plutôt qu'un carnivore (dentition avec bcp de molaires, intestin très long, vision en plusieurs couleurs pour mieux repérer les aliments mûrs).
La B12 est une bactérie présente dans la viande, amis aussi dans les végétaux (en très petites quantités). Ainsi, si les animaux ont de la B12, c'est parce qu'ils en mangent, ils ne sont qu'un intermédiaire. D'ailleurs, ils sont très souvent carencés en B12 et doivent recevoir des compléments.
Une autre petite étude a permis de mettre en évidence le fait qu'une alimentation végétale améliore les performances du pénis.
Le documentaire explique que, contrairement à la croyance répandue, le soja ne contient pas bcp d'œstrogènes, en tout cas moins que les produits d'origine animale.
En plus des protéines, la consommation de glucides est très importante au développement de la masse musculaire.
Les chiffres montrent que 83% des terres agricoles servent à produire de la viande alors qu'elles ne produisent que 18% des calories mondiales. De plus, les élevages consomment énormément d'eau. Un hamburger = 2400 litres d'eau.

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Dans ce documentaire, on nous montre physiquement quelle surface chaque habitant occidental moyen a besoin pour se nourrir et pour nourrir les animaux qu'il utilise. Au terme d'une expérience, on constate que lorsque l'on mange local et de saison, on réduit la surface agricole nécessaire à notre alimentation. Il en est de même lorsque l'on mange moins de viande ; la surface attribuée aux animaux réduit fortement. Au final, ce documentaire est intéressant pour les plus jeunes ou pour favoriser une prise de conscience chez les individus, mais il n'apporte pas réellement d'éléments nouveaux dans le débat. néanmoins, il renforce l'idée que nos efforts à tous peuvent, en bout de course, faire changer les choses.

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Ce documentaire ne s'intéresse au final pas réellement au mode de vie des vegans (comment ils mangent et font leurs courses), mais plutôt aux alternatives à la viande. De ce point de vue, le seul élément intéressant est que la production de viande en laboratoire à base de cellules souches animales avance à grand pas, bien que les coûts soient extrêmement élevés. Bien que cela réduise la souffrance animale et présente sans doute un intérêt pour l'écologie, ce type de solution est assez ridicule et inutile face à l'ampleur du problème. De plus, cette "solution" s'inscrit dans un système résolument capitaliste, ce qui ne présage rien de bon quant à ses conséquences futures.

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Ce documentaire dévoile, à l'échelle d'une société africaine, les nombreuses conséquences du capitalisme. L'exploitation de la perche du Nil dans le lac Victoria a entrainé de nombreux changements dans les sociétés attenants au lac, dont :
- l'épuisement total de perche du Nil dû à la surpèche.
- l'exportation d'une ressource alimentaire clairement nécessaire à la population locale.
- le développement de favelas où règnent la pauvreté, la famine, les maladies (Sida), les crimes et la prostitution.
- un traffic aérien important. On peut largement supposer que ces avions, russes, qui viennent chercher les poissons profitent du trajet pour acheminer des armes.
- et bien d'autres effets néfastes.
En fin de compte, le système économique propre à l'exploitation de la perche du Nil est une application classique de la logique capitaliste telle qu'on pourrait la retrouver dans de très nombreuses sociétés. Sans surprise, un tel système d'exploitation engendre de nombreux aléas, tant sociaux et économiques qu'écologiques.

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Le minimalisme est un courant assez récent qui s'oppose au modèle capitaliste et à la société de consommation en prônant un mode vie centré sur l'essentiel. Véritable philosophie de vie, le minimalisme consiste simplement à se contenter de ce dont on a raisonnablement besoin, sans jamais être dans l'excès. Adieu black fridays. Bien qu'il aborde un sujet intéressant, le documentaire ne donne pas de véritables clefs pour se lancer en pratique dans l'expérience minimaliste (comment distinguer l'essentiel du superflu ?). En fin de compte, le minimalisme semble actuellement plus proche d'un effet de mode réservé à une classe "bobo" suffisamment à l'abri financièrement que pour se permettre un tel mode de vie (qui reste coûteux, malgré une baisse de la quantité d'achats).

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Dans ce documentaire Netflix, on cherche à faire passer les casques blancs pour des héros du conflit en Syrie. Néanmoins, les sources extérieures ne vont pas en ce sens. Gare à la désinformation. Lire les critiques afin de se rappeler les enjeux.

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Blackrock est un gestionnaire de fonds qui brasse 6.000 milliards de dollars. Cette société ultra capitaliste investit dans les domaines les plus rentables (ex : rheinmetall), faisant fi des enjeux sociaux et écologiques. Son succès peut s'expliquer par la mise sur pied du logiciel Alladin. Ce système informatique prend en compte toutes les données du monde afin de repérer les investissements qui présentent des risques minimes. Les Etats sont tellement dépassés que la Trésorerie américaine et la Banque centrale européenne ont décidé de fournir leurs données les plus sensibles à Blackrock afin qu'Allladin puisse repérer les failles de leurs économies. Ainsi, le dollar et l'euro sont à la merci totale de Blackrock (bien que normalement ce dernier ne puisse pas exploiter ces données). Bien qu'il ait été démontré que les sociétés monopolaires sont dangereuses pour l'économie, Blackrock et ses comparses sont déjà trop puissants que pour laisser passer des projets de lois à leur désavantage. Ils sont à l'abri de tout contrôle. Notons également qu'en plus de contrôler certaines économies, Blackrock prend petit à petit le contrôle de pays (ex : Mexique) et infiltre de nombreux niveaux de pouvoir en y faisant entrer d'anciens employés.

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Suite à des expériences sur des rats, on a pu conclure que :
- les omégas 3 sont cruciaux au bon fonctionnement du cerveau.
- les protéines sont importantes pour le cerveau.
- les mauvais sucres (ex: bonbons) et les mauvaises graisses (ex: fast food) sont extrêmement néfastes au bon fonctionnement de notre cerveau.
- le sucre est plus addictif que la cocaïne.
Notons que le bon fonctionnement ou non de notre cerveau a une influence directe sur notre comportement, sur notre vision du monde et donc sur notre bien être au quotidien.

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Remise en question de l'institution policière en France et de son monopole de la violence légitime. En effet, il semblerait que celle-ci ne le soit plus tellement.

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Les chiffres concernant le monde du travail sont affligeants. Par exemple, 36% des français déclarent avoir déjà fait un burn-out. Ce documentaire s'intéresse aux possibles causes de ce mal-être en s'intéressant au fonctionnement de deux entreprises très connues.
Premièrement, Lidl impressionne par son développement. Bien qu'en apparence tout est pour le mieux, lorsqu'un journaliste infiltre l'entreprise, la vérité éclate. Les travailleurs sont soumis à des rythmes de travail bien trop élevés, leur rythme cardiaque dépassant même les limites imposées par le code du travail. Le système de commande vocale - un ordinateur qui leur dicte tout ce qu'ils doivent faire - les a transformés en véritables robots, ce système s'apparentant à une véritable torture. A force de travail, les employés portent près de 8 tonnes de produits par jour, ce qui engendre de nombreuses séquelles qu'ils garderont parfois toute leur vie. En plus des accidents et blessures, la pression qu'ils subissent à déjà provoqué un suicide.
Deuxièmement, Free impressionne également par son importante croissance économique. Pour être aussi productif, Free impose des conditions de travail très exigeantes à ses employés. Son secret pour que ceux-ci ne se révoltent pas ? Empêcher la formation de tout syndicat. En effet, l'entreprise repère les "fortes têtes" et n'hésite pas à les licencier. Chez Free, les licenciements abusifs et injustifiés sont érigés en système. L'entreprise va à l'encontre des lois et distribue, dès que ça l'arrange, des licenciements pour faute grave (qui lui évitent de payer des indemnités) injustifiés. Pour éviter le droit français, l'entreprise s'est déjà en partie délocalisée au Maroc où elle ne respecte pas plus les lois, mais où elle fait ce qu'elle veut étant donné que l'Etat a trop peur de perdre des emplois.

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Lorsqu'un produit est de trop bonne qualité, l'entreprise qui le commercialise en vend un certain nombre puis, faute de demande, fait faillite. Afin d'éviter cela, les entreprises ont mis au point un concept simple : l'obsolescence programmée. Aujourd'hui, la grande majorité des produits sont conçus pour arrêter de fonctionner après un certain temps (ex: imprimante, machine à laver, voiture, etc.) afin de pousser le client à s'en racheter un, devenant un consommateur. Deux exemples donnés par le documentaire sont les ampoules et les bas nylon. Ces deux produits commençant à devenir extrêmement durables, les entreprises concernées par leur production ont fini par se réunir afin de fixer des limites de durabilité pour pouvoir continuer à en vendre.

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Ce documentaire présente les collapsologues, leurs théories et les méthodes que certains mettent en place afin d'essayer de survivre à l'effondrement à venir. Notons que le documentaire reste mesuré. Il présente certaines des réactions possibles, tout en restant neutre et démonstratif et en s'intéressant aux limites de cette doctrine. C'est donc une très bonne introduction à la collapsologie et à certaines branches du survivalisme. Je retiens très particulièrement le sens existentiel que les auteurs accordent au mouvement survivaliste, qui demeurerait (en cas de non-effondrement) une tentative de se reconnecter avec le travail manuel, dans la droite ligne de la quête de sens.

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Dans cette vidéo, Gull démontre comment les grands médias déforment l'information afin de jouer sur nos instincts les plus profonds, tout cela au service du profit.

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Incroyable travail de synthèse rassemblant toutes les informations majeures relatives à l'effondrement de notre civilisation.

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Le réalisateur dénonce la position occupée par tous les grands mouvements écologistes vis-à-vis de l'industrie de la viande. En effet, il apparait qu'ils demeuraient passifs et faisaient comme si cet enjeu n'existait pas, cela car le reconnaitre n'était pas dans leur intérêt en tant que sociétés. Le documentaire les a forcés à prendre position.
On découvre également toute une série de chiffres relatifs à l'impact mondial de l'industrie de la viande.

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Le réalisateur nous présente la vie de Timothy Treadwell, qui a vécu pendant des années au contact des ours avant de finir tué par l'un d'eux.

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Dans ce documentaire, la parole est donnée à des spécialistes des réseaux sociaux (RS) en vue de mieux nous expliquer leur fonctionnement.
On apprend que les entreprises contrôlant les RS se basent sur un capitalisme de surveillance, càd qu'elles collectent et vendent nos données à des fin publicitaires. Pour augmenter leurs revenus, elles vont tout faire pour nous rendre accros, leur but étant que nous restions un maximum de temps sur leur application. Elles vont donc chercher à nous manipuler en nous disant ce que l'on veut entendre. Au final, ces RS nous enferment dans une bulle de filtre qui ne laisse passer que les informations qui nous plaisent. Cela a pour conséquence que depuis plusieurs années les mouvements extrémistes ont connu une progression importante. A long terme un tel système peut s'avérer très dangereux pour nos démocraties.
Ajoutons à cela que ces RS contribuent à populariser les fake news et qu'ils ne sont presque pas régulés par la loi.
Le problème, c'est que ces entreprises sont piégées par le business model : elles doivent croître et pour cela elles ne peuvent pas changer leur manière de fonctionner.

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Dans ce documentaire, on en apprend plus sur les causes et conséquences de la guerre commerciale amorcée par Trump contre la Chine. Alors que l'économie américaine se portait très bien, Trump a mis en place des taxes importantes sur tous les produits provenant de la Chine, principalement parce qu'en tant que populiste il avait promis de s'opposer à cet "ennemi de l'Amérique". Il a été démontré que cette stratégie n'était "intéressante" qu'à très court terme. Effectivement, la Chine a répondu en mettant également des taxes, ce qui a pour conséquence de fragiliser l'économie des deux puissances et de déstabiliser le marché, notamment européen.
Cette guerre économique entre les USA et la Chine a de grandes chances de perdurer et, ainsi, de constituer une seconde guerre froide.
On apprend également que la Chine devient de plus en plus puissante économiquement. Par exemple de nombreuses entreprises américaines et européennes sont rachetées par des actionnaires chinois.
On apprend aussi que les chinois n'hésitent pas à recourir au vol de propriété intellectuelle. Selon eux, cela ne pose pas de problème de recopier l'idée de qqn pour l'exploiter, car cela signifie qu'il a eu une bonne idée. De plus, la Chine interdit la nomination d'étrangers à des postes stratégiques ou importants, contrairement aux autres nations. La Chine se rend donc "coupable" de concurrence déloyale, car elle ne respecte pas toutes les règles du libre marché, seulement celles qui l'arrangent.
Notons que cette course à la croissance économique est instiguée par la mentalité capitaliste et est donc, comme le montrent les qlq témoignages du documentaire, foncièrement égoïste.

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Dans ce documentaire, l'auteur remet en cause la gestion de la crise du covid-19, principalement en Belgique.
Alors que le taux de mortalité du virus n'était que de 0.02% à l'échelle mondiale (sans compter que les morts du virus sont volontiers exagérés), des mesures drastiques et liberticides ont été prises (expl : tracing, couvre-feu, interdiction de voyager et de manifester, etc.) et l'ensemble des médias a été mobilisé comme si l'on se trouvait en période de guerre.
L'auteur démontre comment les médias exagèrent et généralisent les informations en vue de maintenir la population dans un état de stress/peur, ce qui peut causer plus de problèmes de santé que le virus. De plus il a été prouvé que lorsqu'ils ont peur les gens sont prêts à accepter n'importe quoi.
On apprend également que la plupart des experts chargés de conseiller le gouvernement, voire de prendre certaines décisions, sont directement financés par les principales entreprises pharmaceutiques. Il n'est donc pas étonnant que les experts fassent du vaccin notre dernier espoir.
Le port du masque finit par être imposé alors qu'il ne l'était pas au départ. Suite à ces mesures liberticides, les premières émeutes émergent, mais les médias qualifient les participants de complotistes.
On observe également que toutes les opinions anti-vaccins font l'objet d'une censure à grande échelle sur les réseaux sociaux et sur internet.
Toutes les alternatives au vaccin sont rejetées et discréditées par les politiques et les médias.
Les médias font des jeunes et des voyageurs les responsables de la hausse des cas. alors qu'on parle de solidarité nationale, leur discours vise à diviser et à culpabiliser.
Les médias ont bcp insisté sur la surcharge des hôpitaux sans préciser qu'ils étaient débordés chaque année.
On observe la tyrannie du risque zéro : en vue de ne plus avoir de morts, les experts font des recommandations intenables et inacceptables.
Les médias anticipent déjà la crise économique qui va suivre en disant qu’elle est due au virus, ce qui est faux. C’est le confinement qui a entrainé la crise économique et ce dernier est une décision politique.
Les médias qui étaient avant des informateurs sont devenus aujourd'hui des chercheurs de sensationnel. En dramatisant tout, ils rendent la situation dramatique
Si l'on veut une sécurité maximale, on vire au totalitarisme

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Documentaire assez peu intéressant, qui se contente de présenter la communauté platiste en donnant de temps à autre la parole à des experts qui expliquent ces comportements à l'aide de théorie très basiques (expl : biais de confirmation, effet Dunning-Kruger, manque de confiance en eux, peu éduqués, etc).
Le court article qui suit explique très bien tout ce que le documentaire nous a "appris".
https://www.pourlascience.fr/util/actualites/pourquoi-les-faits-ne-suffisent-pas-a-convaincre-gens-quils-ont-tort-12504.php

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Dans ce documentaire, nous en apprenons plus sur le rôle des tribunaux d’arbitrage (TA).
Un TA est une juridiction qui peut être mise sur pied afin de régler un conflit découlant d’un traité international. En général, la présence d’un système de TA est inscrite de manière très discrète dans les traités.
A l’origine, les TA avaient été mis en place afin de protéger les personnes privées investissant dans des pays aux politiques instables. On voulait empêcher l’expropriation et les abus illégitimes.
Le problème est qu’il est parfois difficile de faire la différence entre des mesures légitimes et illégitimes.
Avec le temps, la fonction des TA a évolué au point qu’aujourd’hui si un état vote une loi qui réduit les profits d’une entreprise de façon discriminante, celle-ci peut le poursuivre en justice devant un TA (expl : suite à la sortie du nucléaire de l’Allemagne, une entreprise nucléaire a attaqué l’Etat allemand pour préjudice, alors même qu’il avait été prouvé que les centrales appartenant à l’entreprise étaient défaillantes).
La menace des TA a pour conséquence de dissuader les états de prendre des décisions d’ordre public, bénéfiques aux citoyens, et donc de freiner les progrès sociaux, économiques et environnementaux.
Un autre problème est que ces TA ne sont pas vraiment justes, équilibrés et indépendants. En effet, les juristes s’occupant de ces affaires forment un groupe très fermé et ils occupent tantôt la fonction de juger, de défendre ou d’attaquer les états. Aucun contrôle n'est exercé sur eux.
Les enjeux des procès devant les TA sont des sommes énormes (en dizaines de milliards) qui sont rarement justifiées. En effet, elles sont fixées de manière spéculative, en estimant les bénéfices que l’entreprise aurait pu faire si le contrat avait été exécuté. De plus, elles ne sont même pas fixées par des experts, mais par des avocats.
Un autre problème est que l’arbitrage a lieu à huis clos. Tous les éléments de l’affaire sont tenus secrets, ce qui empêche quiconque d’intervenir, voire d’être informé de son déroulement. Au final, la décision est secrète et le citoyen n’a souvent pas connaissance de l’arrangement conclu (son pays décide-t-il de s’endetter de quelques milliards supplémentaires ?).
A la place des TA, de nombreuses ONG proposent des modes de résolution des litiges devant des tribunaux publics qui prendraient en compte l’intérêt public.
S'il le voulait, le peuple pourrait s'affranchir des TA, mais pour cela il doit se mobiliser.

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Dans ce documentaire, on en apprend plus sur les enjeux du bio.
Le marché du bio s'est beaucoup développé ces dernières années, au point qu'il pèse ajd 779 millions d'euros en Belgique.
Cependant, bien que certains agriculteurs locaux et indépendants produisent du bio, la grande majorité des produits bio sont vendus par les grandes surfaces appartenant aux chaines de grande distribution.
Comme la demande de bio augmente sans cesse et que nos climats et régions ne permettent pas de produire toute l'année, les grands magasins importent de nombreux produits, principalement d'Espagne, à Almeria.
Almeria est une gigantesque zone de culture dans laquelle de nombreux immigrés clandestins sont employés à faible salaire. Ils doivent travailler à des rythmes et dans des conditions intenables, ce qui génère de nombreuses douleurs et maladies chez eux. Or, toutes les grandes chaines belges de distribution se ravitaillent à Almeria.
En moyenne, les produits bio sont 30% plus chers. On apprend que les magasins de grande distribution profitent de l'incompétence du consommateur à évaluer la valeur raisonnable d'un produit bio pour en augmenter le prix.
Dans l'imaginaire collectif, le bio est associé à des valeurs de respect de l'environnement et es animaux. Or, les conditions fixées par la loi pour pouvoir étiqueter un produit "bio" ne sont pas du tout aussi strictes. Cela permet aux entreprises de ne faire presque aucun effort supplémentaire et de profiter de "l'esprit bio" pour augmenter leurs prix.
Enfin, nous apprenons que le bio interdit l'utilisation de produits chimiques et d'OGM. Cependant, il existe une vitamine, la B2, qui est essentielle pour favoriser la croissance animale, mais qui ne peut être fabriquée rapidement et en grandes quantités qu'artificiellement.
Au final, il vaut mieux acheter local et de saison que bio.

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Le neuromarketing consiste à agir directement sur le cerveau humain afin de pousser les individus à acheter des choses sans qu'ils s'en rendent véritablement compte. C'est une forme de manipulation très poussée et très subtile.

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Ce documentaire nous en apprend beaucoup sur l'idéologie du président chinois - à vie - Xi Jminping et donc, par extension, sur les intentions du PCC et de la Chine toute entière. En effet cette dernière a pour ambition de devenir la seule superpuissance au monde. Sa propre doctrine véhicule l'idée d'une chine leader de la communauté mondiale. C'est dans cette optique que les chinois souhaitent faire de tous les pays de la planète des régimes similaires au leur.
Le monde parfait de Xi Jinping ne serait rien d'autre qu'une planète entière soumise au régime strict et totalitaire que connait actuellement la Chine.

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Ce documentaire nous apprend que la principale cause de la destruction des écosystèmes marins est la pêche industrielle (et non pas la pollution plastique, dont les dégâts sont largement minoritaires).
Le grand danger est que si les océans finissent vidés de leurs poissons, le phytoplancton disparaitra rapidement. Or, ce dernier est responsable de 85% de la production d'oxygène dans le monde. Autrement dit, si la vie marine meurt, la vie terrestre suivra.

Dans cette critique (https://www.senscritique.com/film/Seaspiracy_La_peche_en_question/critique/249471753) on retrouve certains points clefs du documentaire, même s'il en manque quelques uns :
- L'industrie de la pêche est une cause d'esclavage et de travail forcé.
- Le poisson n'est pas forcément bon pour la santé.
- La seule disparition de certains prédateurs (les requins) suffirait à bouleverser de nombreux écosystèmes.
- La pêche est une cause de souffrance animale.
- La pêche n'est même pas rentable économiquement pour les Etats (qui subventionnent certaines sociétés de pêche).
- La pêche industrielle (très souvent illégale) en Afrique est la cause de famines, de crises et de conflits car les habitants n'ont plus de quoi manger/vivre.
- Aucun poisson industriel ne peut être éthique et écologique.

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Collusion et corruption dans le football belge.
https://www.rtbf.be/sport/football/detail_alain-courtois-apres-le-documentaire-le-milieu-du-terrain-ca-va-devoir-exploser-ce-n-est-plus-possible?id=10851377

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Dans ce documentaire, l'équipe d'ARTE s'intéresse à l'émergence et l'évolution du mouvement antivax.
Ce dernier apparait pour la première fois au UK dans les années 1990 après qu'Andrew Wakefield, un docteur en médecine, a falsifié une étude afin de montrer que les vaccins provoquaient l'autisme chez les enfants. Bien que cette étude ait été réfutée, il a continué son combat contres les vaccins, aux USA, avec un certains succès.
Depuis déjà des années, ce mouvement prenait de l'ampleur dans de nombreux pays développés (expl : Allemagne et France). La crise du Covid-19 et la question du vaccin ont été une opportunité idéale pour le mouvement, qui s'est d'autant plus répandu.
Pourtant, toutes les études démontrent bien que les vaccins sont fiables.
Le mouvement antivax trouve son moteur d'action dans des intérêts économiques. En effet, les plus grands critiques du modèle vaccinal proposent généralement des formules de soin alternatives, souvent inefficaces et dangereuses, mais toujours extrêmement coûteuses.
Ce mouvement joue sur les peurs (et surtout celles des parents), sur les espoirs (notamment sur ceux des parents dont les enfants sont atteints d'autisme et qui espèrent trouver un remède) et sur l'inquiétude et l'incompréhension générale des citoyens qui ont du mal à comprendre et donc à faire pleinement confiance au système vaccinal.
D'autant que, suite aux succès des vaccins obligatoires, de nombreuses maladies ont disparu, suite à quoi les gens s'imaginent qu'il n'est plus nécessaire de s'en protéger.