Scandaleusement parlant

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Aurea : Régine Deforges a été accusée d'avoir plagié Margaret Mitchell dans Autant en emporte le vent car l'intrigue est absolument identique et les personnages aussi, hormis leurs noms .

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Aurea : "Un livre qui avait fait scandale car Matzneff y racontait par le menu son goût pour les jeunes filles et les jeunes garçons, pas regardant le gars..., ses aventures aux Philippines avec de très jeunes mineurs, et ses galipettes avec des collégiennes pas farouches du 16e arrondissement (mais bon, elles étaient consentantes, hein, attention !!!)"

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Kalimera : oeuvre si scandaleuse pour l'époque qu'elle a été étouffée dès son édition et Lautréamont s'est désavoué lui-même en écrivant du "politiquement correct" par la suite.

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Outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes moeurs
« le réalisme vulgaire et souvent choquant de la peinture des caractères »
"Ernest Pinard (procureur à l'époque du texte) a blâmé l'immoralité absolue du roman et a démontré sa nocivité philosophique."

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Outrage aux bonnes moeurs. Interdit légalement jusqu'en 1949

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Melusca : oeuvre qui a essentiellement choqué la société victorienne à cause de son contenu homosexuel.

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Aurea : "Si certains passages de l’œuvre avaient été jugés licencieux à l'époque, cela tient au fait que ces six nouvelles se concentrent sur un thème cher à l’auteur : le Mal, étudié et analysé du point de vue d’un « moraliste chrétien », comme Barbey se définissait lui-même dans la préface."

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Roman-feuilleton dont les chapitres ont été publiés dans un journal. Les lecteurs ont été si choqués qu'il a fallu stopper la publication. Il y est question de l'initiation au corps et des plaisirs de la chair, par Mme Dalleray envers le jeune Phil

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Intitulé initialement "Ces plaisirs..." en 1932 puis "Le pur et l'impur" en 1941
Amours lesbiens, misogynie, alcool, fumerie d'opium...

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John Gordon, éditeur du Sunday Express, répond à Graham Greene (qui avait sélectionné l'oeuvre comme l'un des trois meilleurs livres de l'année 1955) : « Sans aucun doute, c'est le livre le plus obscène que j'aie jamais lu. C'est de la pornographie sans retenue...Quiconque prendrait le risque de l'éditer ou de le vendre ici irait sûrement en prison. »

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Melusca : point focal de la lutte entre les romantiques et les partisans du théâtre classique

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Melusca : la pièce a été interdite de représentation suite à l'image des hommes d'église qu'elle véhiculait.

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Aurea : "Les Versets sataniques est le quatrième roman de Salman Rushdie, publié en 1988, pour lequel il gagne la même année le Whitbread Award. Le 14 février 1989, l'ayatollah Khomeini publie une fatwa de mort contre lui en mettant en cause son œuvre et force l'auteur à entrer dans la clandestinité."

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pripri : à la fin de l'été (le roman tient dans cet intervalle de temps), Cécile se fait déflorer par son amour de vacances. Autre chose : c'est plus ou moins la faute de son père et d'elle si la gentille de l'histoire (celle qui incarne l'intelligence et l'ordre social : Anne, une des maîtresses de son père qu'il trompe à cause de sa fille) se tue/suicide en voiture.

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Aurea : "Roman sur la soumission d’une femme, jusque dans ses plus cruelles conséquences, écrit selon les canons du style le plus classique mis au service d’un précis de composition sado-masochiste, Histoire d'O est publié en 1954 et sera bientôt interdit à l'affichage, aux mineurs et à la publicité ce qui ne tarde pas à en faire un best-seller érotique."

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Aurea : "parfum de scandale lié à sa dimension autobiographique, elle-même amplifiée par la médiatisation sans précédent de l'auteur."
Sa liaison avérée, à l'âge de 16 ans avec un riche Chinois qui avait plus du double de son âge à une époque où ce genre de relation était absolument impensable.

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Aurea : "La publication du livre a provoqué un scandale en raison des scènes explicites de relations sexuelles, de son vocabulaire considéré comme grossier et du fait que les amants étaient un homme de la classe ouvrière et une femme de l'aristocratie."

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Kalimera : ses publications se sont toujours faites sous le manteau et pour cause !
Il a passé les trois quarts de sa vie en prison. On pense maintenant qu'il a poussé le "sadisme" jusqu'à la mort de certaines femmes.

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pripri : un gentil noble parle avec une de ses futures conquêtes, de toutes les baises qu'il a faites avec d'anciennes conquêtes. Tous les types y passent : brune, blonde, rousse, gitane, grosse etc. et presque à chaque fois une technique de séduction/de résistance différente a été expérimentée. Finalement il couche avec la meuf qui écoutait ses histoires de fesses (dans le lot il y a des nobles).

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pripri : Joyeux condensé de perversions : des nobles qui font venir de jeunes gens en leur promettant la belle vie (domestiques pour un grand seigneur) pour les amener dans un château loin de tout puis rapidement les transformer en esclaves et esclaves sexuels. Les seigneurs, les matrones et quelques électrons libres exécutent alors différentes scènes de scatophilie, pédophilie, MMM (plan à trois entre mecs), tortures non consenties évidemment, exécution

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Joeyisover : la vie d'un (wannabe) tueur en série, raciste, homophobe, et misogyne.

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pripri : Le récit des orgies de la fondatrice d'Art Press qui avait un peu défrayé la chronique : "dans ce livre, elle présente son histoire sexuelle, de la masturbation enfantine jusqu'à sa fascination d'adulte pour la sexualité de groupe" (Wikipedia).

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« la hardiesse d'un farceur, qui fait plaisanterie de la religion, qui tient école de libertinage, et qui rend la majesté de Dieu le jouet d'un maître et d'un valet de théâtre, d'un athée qui s'en rit, et d'un valet plus impie que son maître qui en fait rire les autres » (Edition critique du texte d'Amsterdam)

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Electron : "suite à la publication de L'Amour, roman, son mari l'assigne en justice pour atteinte à la privée"