Séries 2016 vues, aimées... ou pas

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Un des procès les plus médiatiques des Etats-Unis , dans les coulisses de la Défense et de l'Accusation, sur fond de tensions raciales.Un sans faute pour une série qui mélange fiction et réalité. Même si l'issue est connue le "suspense" ne faiblit pas. Pour moi, la série de l'année.

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Saison 2 . Aussi brillante que la Saison1. Un regard neutre porté sur une Amérique multiraciale, une étude sociologique au scalpel qui renvoie chacun à ses propres interrogations, à sa propre vision de "crime".

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Saison 2. Toujours aussi parfaite (cela n'engage que moi).

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Adaptée du roman de John Le Carré une série élégante, jeux de doubles, de fausses identités, à la lenteur bienvenue dans les premiers épisodes et au suspense implacable par la suite. Des acteurs impeccables, Olivia Colman en tête.

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Il y a quelque chose du "Club des Ratés de "Ca" de Stephen King. 4 "forts en maths" rejetés par les autres, de l'imaginaire, une "Bête", le Monde à l'Envers, des vélos, des frondes, des secrets, des talkie-walkies : les eighties, la dernière génération "non connectée". Un régal.

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Saison 2 . Note égale, une de nos meilleures séries françaises, rigoureuse, juste, brillamment servie par les comédiens même dans les plus petits rôles. Une série tendue, sérieuse, efficace et intelligente.

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Une série dont le scénario n'a rien d'innovant, disparition, séquestration, retour de l'héroïne. L'intérêt de cette série repose sur l'ambiguité du personnage d'Ivy Moxam victime mais inquiétante, fragile et tenace. Une approche très juste sur tout ce qui peut se passer dans une famille qui tente de reconstruire des liens treize ans après, la difficulté pour Ivy de se réadapter à un temps qui s'est écoulé sans elle. Jody Comer est juste fantastique faisant reposer sur ses épaules toute la crédibilité et la justesse de cette série.

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Saison 2. Aussi excellente que la première. Une série policière avec en toile de fond une dissection sociale pleine de noirceur dans un contexte banal, des personnes ordinaires dans une petite ville ordinaire,( voir Broadchurch) c'est ça qui fait la force de ces deux saisons et qui démontre encore le savoir-faire des Britanniques dans le mélange des genres et prouve leur indépendance d'esprit par rapport aux "codes" du monde des séries.

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Plus "classique" qu'Underground, cette série a le mérite de parler des racines africaines de l'esclavage quand des hommes ou des femmes étaient brutalement arrachés à leurs familles pour être embarqués vers la Virginie.

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Je ne sais toujours pas pourquoi j'ai mis cette note. Une sorte d'anesthésie en suivant une "héroïne" dont on ne comprend ni les motivations, ni la personnalité et dont on perd la trace chaque fois qu'on pense s'en approcher. Une photo superbe, glaciale, bleutée, des décors faits de miroirs et d'acier pour une série qui se veut sulfureuse mais c'est l'ennui qui est parfois (souvent) au rendez-vous.

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Pas si mal. Une vision sans manichéisme ni caricature des idéologies sectaires qui fait que l'on s'attache parfois à ces Meyeristes, une lenteur bienvenue dans le développement des personnages et des situations, une tension qui s'installe lentement. Voir si la Saison 2 sera à la hauteur...

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Du brut. Dans les paysages dépouillés et désertiques de l'Outback australien. Des trognes, des très méchants, c'est basique et efficace. Comment chasser son chasseur, c'est la violence qui engendre la violence. Mais pas de philosophie pour des personnages aussi arides que leur environnement. Une bonne surprise.

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Une inspectrice de police border-line (on pense à Saga Noren de Bron). Sans être particulièrement innovante, cette série est somme toute assez intelligente pour tenir en haleine. Mention à Sinead Cusack.

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Une adaptation qui démontre encore le savoir-faire des Anglais en reconstitution historique. Tout ici est soigné jusqu'au moindre ourlet de robe. Agréable mais pas renversant.

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Ben non, je n'ai pas vraiment aimé cette série, même si son parti pris n'est pas inintéressant,elle reste superficielle et stéréotypée. Et autant les BO de Peaky Blinders et de "The Knick" collent parfaitement, celle d'Underground n'est pas très inspirée.

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Pas une des pires adaptations de Stephen King, mais terne, sans ambition,les personnages manquent d'épaisseur et de développement et la série perd de son intérêt au fur et à mesure des épisodes. Beaucoup de scènes inutiles et de remplissage pour une série proprette qui finit par ennuyer. Mention spéciale à Daniel Webber saisissant dans le rôle d'Oswald .

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Une série-fiction sur le thème de l'Occupation, par qui on ne le sait pas vraiment (l'idée est plutôt bonne), mais trop stéréotypée pour que je m'y attache.

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Série formatée, fade, sans originalité. Beaucoup d'artifices, de longueurs, de poudre aux yeux pour un résultat peu convaincant des personnages sans chair auxquels il est impossible de s'attacher et une fin (pour moi) très prévisible.

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Déception après un pilote très prometteur. Et puis, tout s'effiloche dans un mélange de morale écologique, de conte nordique, de créatures qui font groink groink dans une baignoire. Le ridicule n'est pas loin (de tuer).

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Flop. Série d'anticipation faiblarde qui essaie de traduire la peur par rapport à la privation d'emploi, mais qui reste caricaturale. Des personnages peu attachants, mal dirigés,ça n'émeut pas, c'est raplapla.

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Ma note parle toute seule. Je n'ajouterai rien au Marseille Bashing.

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Je la place volontairement à la fin car cette série est déjà ancienne mais je l'ai vue récemment, les deux saisons sont d'égale intensité et d'égale qualité. Une série intelligente qui traite d'un sujet grave( la responsabilité du physicien par rapport à la bombe atomique arme de mort massive.) Et les tâtonnements de ces chercheurs en vase clos, persécutés par la bureaucratie et le manque de moyens.Sur fond de trahison, d'espionnage, de mensonge et de duplicité prémices de la Guerre Froide. Les personnages ne vont jamais là où l'on pense, reflets de leurs doutes et de leur enfermement. Mention spéciale à Olivia Williams.