Séries 2022

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Il va falloir attendre des années avant de retrouver une série aussi parfaite à tous les niveaux. Pleurons ensemble.

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Nouvelle série exceptionnelle de Ben Stiller (Escape at Dannemora). Un type capable à la fois des meilleures guignolades à la Zoolander et de "Corporate SF" de qualité. Plus inspiré que les dernières saisons de Black mirror, Severance fut d'abord intriguant avant d'être franchement prenant.

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Le parrain est un film tellement génial que tout ce qui y touche de prêt ou de loin se transforme en or. Au menu du The Offer : la bataille de la prod, la mafia, et surtout Bob Evans... certes très formaté dans la narration, le casting parfait transforme une célébration de film culte en série palpitante. Arriver à créer un suspense autour de la production qu'on a tous vu est un petit tour de force.

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Cf chronique.

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Une série passée inaperçue mais qui vaut son pesant d'or. Le binôme Will Ferrell - Paul Rudd (vraiment exceptionnel) vaut le détour. Une histoire vraie assez hallucinante.

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Une série qui vaut le coup d’œil. Ne connaissant rien de l'histoire d'Uber, j'ai un peu halluciné. Mélange entre social network, Silicon valley version bâtard et Succession (les mêmes producteurs sont aux manettes), on ne peut pas taxer de complaisance à l'égard de Kalanick. Casting aux petits oignons, addictif comme "le premier trajet" (je n'ai pas Uber). Bien mieux que the Drop out, dans le thème mauvais génie de la tech.

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Pour résumer c'est un peu un mix entre Dexter & En analyse. Carrel rappelle à tout le monde qu'il n'est pas qu'une machine à rire de malaise au sourire carnassier.

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Enorme surprise que cet Andor. Alors qu'on attendait rien de Disney après l'exécrable Obi Wan et l'insignifiant Bobba, Mickey dégaine une des meilleures créations de l'univers Star Wars.

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Mini série inspirée d'une histoire vraie. Black Bird repose beaucoup sur la prestation d'Egerton & Hauser. 6 épisodes qui se dévorent. Et si le salut se trouvait dans les anthologies de 6 épisodes ?

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La nouvelle saison de White Lotus est un peu décevante, mais le niveau d'exigence est suffisamment élevé pour que la série de Mike White se retrouve dans un top 10

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La 3e saison ne marque aucune baisse de qualité. Une réussite absolue d'HBO.

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Cf chronique

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Une seconde saison encore plus amusante que la première. Parlement est probablement la série française la plus injustement méstimée de l'année. On nous aura pompé l'air tous les jours avec "Drôles" ou "10%" sans la moindre explication rationnelle.

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Y a des moyens, y a des acteurs, on sait pas trop où ça, plaisant malgré tout, mais espérons que Prime ne se contente pas de faire son Lost dans la cambrousse.

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Une deuxième saison méta qui bénéficie de seconds rôles puissants (le Shack). Peut-être dispensable, mais toujours sympathique et anti feel good.

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Putassière clinquante démonstrative, Winning n'est pas sans défauts, mais la carrière sportive de Magic Johnson mérite bien de faire un petit effort et de passer outre le style McKaye.

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Les punks chez Disney, à priori c'est antinomique. Mais si on se rappelle du degré de cynisme des Pistols ça ne l'est pas tant que ça. Histoire romancée et clippée avec la touche Danny Boyle, Pistol fait passer un moment. Plutôt rigoureux sur beaucoup de points (Filth and fury a été scrupuleusement étudié), c'est déjà mieux qu'un biopic sur Take that ou Air.

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J'avais juré de pas mettre le nez dedans, tant Marvel est envahissant, mais la présence d'Oscar Isaac pousse à laisser une chance. Et sans être exceptionnel ou innovant, Moon Knight est divertissant sans être trop prétentieux ou moralisateur. C'est déjà ça.

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Cf Chronique

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Un compromis entre Sa Majestée des Mouches / Lost, à la sauce féministe (un casting essentiellement féminin et une B.O avec des nanas qui chantent, il n'en faut pas plus pour recevoir le label). Divertissant sans être dingo non plus. On sait déjà que les quelques éléments mystérieux qui tiennent en haleine feront pschitt dans la / les saisons d'après.

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Cf Chronique