Top 10 Films selon kyope

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Depuis mon adolescence ou j'ai sillonné le wasteland dans Fallout et Fallout 2, les mondes post-apocalyptiques me font frissonner. Celui la, je l'ai vu chez moi, ayant raté totalement sa sortie au cinéma, et j'y croyais pas trop. Les films postapo sont tous un peu bidon... Celui la, j'en avais même pas entendu parler... Mais bon quand même, Viggo je l'aime bien. Allez hop, je le lance.
La claque.
J'ai mis plusieurs jours à m'en remettre.
Non pas que le film soit une merveille de cinéma, mais cet univers, cette ambiance, ce pessimisme, ce réalisme... Bordel, je peux même pas dire que sur le coup j'ai aimé ça. Ça s'est juste violemment imprimé en moi. Il n'y a même pas plus d'explication, ce film m'a scotché comme aucun film ne l'avait fait.

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La c'est confus, je l'ai vu très jeune, alors je ne me souviens pas des circonstances exactes. J’étais fan de Bruce Willis, surtout pour les Die Hard. Je trouvais qu'il ressemblait à mon père. Dans les mimiques, sa calvitie, son rire désabusé... Je me souviens vaguement que j'avais pas trop envie de voir un film qui parlait de singes, ni la tronche de Willis tout chauve, beurk.
Après l'avoir vu, j'ai lu le bouquin et vu le roman photo de Chris Marker. Je voulais tellement faire renaitre un peu ce pauvre Cole.
Je m'en rend compte maintenant, mais si je me suis tellement identifié à ce personnage à l'époque, c'est bien parce que mentalement il est resté bloqué à une dizaine d'année, ce qui était à peu près mon age, et que Willis le fait super bien.

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Je crois que j'ai vu ce film avec ma toute première petite amie. Ça la fou mal, c'est que je suis instantanément tombé amoureux de Scarlett. Ce film présente LA rencontre que je souhaiterais faire à chaque voyage et qui n'arrive jamais. Je vie tout le reste pourtant, le décalage, le dépaysement, le fait d'être largué avec des gens qui te parlent une autre langue comme si d'évidence tu les comprenais. J'ai surtout ressenti tout ça en Égypte et en Russie. Et à chaque fois c'est la déception sentimental, alors merci Sophia pour avoir comblé cette frustration au moins en fiction pendant 1h30.
J'ai aussi appris a apprécier les plans contemplatif ou la simple expression de l'ennui au cinéma. Ça m'a permis de kiffer Kitano par la suite.

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J’étais dans une espèce de colo quand on m'en a parlé pour la première fois... J'ai rien compris a ce qu'on m'en avait dis sur le moment. Mais le mec était tellement habité quand il en parlait... En rentrant chez moi, j'ai demandé à mes parents à ce qu'on le loue. Bon bah je suis tombé amoureux de Fincher, des schizophrènes, du langage cinématographique, des mises en abimes, de Marla, de Tyler, de Norton, de Pitt, de Jack...
"Sur une durée suffisamment longue, l'espérance de vie tombe pour tout le monde à zéro."

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Une ambiance au top. J'y suis allez comme beaucoup en pensant voir un film de poursuite décérébré, et j'ai découvert un monde. Pas grand chose a dire, un film coup de point, tu te le prend dans la gueule, ou tu t'emmerdes.

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Plus délicat ici de trouver une genèse intéressante. Je l'ai vu parce qu'il etait bien noté sur ce site, et que je voulais voit un autre LVT après Mélancholia et Nymph()maniac.
J'ai eu du mal à entrer dans le film, j'ai eu du mal à ne pas arrêter le film au milieu, à plusieurs reprises. Et puis la fin. Et puis aucun regret. Et puis une marque profonde et une bonne humeur d'avoir découvert un film si singulier.

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Aaaah Kitano. Mince, comment je l'ai découvert lui ? On m'a offert le dvd de Zatoichi je crois. J'ai trouvé ça lent, mais très singulier. J'étais aux beaux arts de Valence, alors j'étais avide de découvrir du cinéma d'auteur qui me sort de mes expériences de blockbuster d'adolescent.
Hana-Bi et la quintescence du cinéma de Kitano, je trouve. Voila, il est la surtout pour représenter son œuvre dans sa globalité.

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D'habitude, ce qui me plait, c'est le POST-apo. La c'est l'apocalypse, mais poétique, romantique même, pas une merde qui te montre des villes numérique exploser dans tous les sens. J'ai découvert LVT tout bonnement.
J'ai failli abandonner plusieurs fois avec cette camera houleuse durant toute la première partie, mais le malaise de la protagoniste joué par Dunst m'avait déjà trop captivé. Et puis l'angoisse de la fin, de l'explosion, ça m'a tellement pris au tripes. Je l'ai tellement vécu en songes, et dans ma petite enfance. Voila, encore des raisons très perso allié a une qualité cinéma qui propulse se film dans mon top.

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J'ai une fascination pour cet Alien. J'aime tout ce symbole phallique, ce dégout du purulent baveux, ce danger perforant, cette angoisse de l'enfantement, ce rapport étrange a la mère... Toute la saga est fabuleuse en fait, mais ça reste la genèse, le premier effroi, la terreur fascinée... L'un des rare film d'horreur que je respect intellectuellement.

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Premier film que je vois qui parle de monde virtuel intelligemment pour moi. En 99 j’étais encore jeunot, j'ai pas tout pigé, mais j'ai pris mon pied comme rarement. Merci Cro Cro !

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Relation amoureuse, solitude, Personne "virtuelle", homme sensible... Merde mais ce film me connait ???

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Cte poilade ! Découverte d'un réal que je porte haut dans mon estime, parce qu’il a l'air d'être l'un des nôtres.

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94 attend c'est vieux ! Je sais plus. Je sais juste que je l'ai matté en boucle, que je connaissais toutes les répliques et qu'avec les potes, les frères et sœur et les cousins/cousines, c’était LA ref' incontournable.

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Du joli postapo ! \o/ De la solitude \o/ Du romantisme tout choupie \o/
Mon pixar et film d'animation pref' :3

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95 aussi c'est trop vieux, je ne me souviens pas de mes impressions ni de comment je l'ai vu la première fois. M'a juste laissé l’impression d'un univers ultra original, des personnages incroyables, un contes ou les enfants sont les héros sans être des crétins ou des images d'enfants d'adultes.

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The expérience sensationnel au cinéma. Un tour de grand huit dans l'espace. Voila c'est tout. Le reste ne m’intéresse pas.

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Ah oui je l'ai mis la lui ? Non mais il est très bien... Mais j'y attache pas de valeurs personnelles..

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Voir Hana-Bi