Top 10 Jeux vidéo selon Nocturne

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Parce que ce jeu m'a fascinée comme aucun autre jeu vidéo.

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Oui Red Dead Redemption a des défauts. La narration est à la peine, les actions des personnages sont parfois en contradiction totale avec le scénario (ce qui laisse l'impression d'être les fesses entre deux chaises), les missions peuvent être répétitives et sont trop basées sur l'échange de coups de feu (avec des motivations assez peu crédibles) mais quelle ambiance ! Elle rattrape tout, pour peu qu'on y soit sensible. C'est ce qui m'a fait parcourir à maintes reprises les terres sauvages de New Austin, les chemins accablés de soleil de Diez Coronas ou encore les prairies de Great Plains, et je ne m'en lasse pas.

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Choc de la découverte avec les productions Rockstar et les open-world. Une expérience plus que positive. (Et une fois encore, cette ambiance instaurée !) Une durée de vie tellement généreuse que le jeu en est trop long, des thématiques assez bien amenées et un propos plus intelligent qu'il n'y parait.

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Un titre atypique et raffraichissant, doté d'un humour comme on en retrouve assez peu dans le jeu vidéo. Portal propose un challenge sortant de la norme des FPS, où la satisfaction que l'on tire du titre provient de notre capacité à résoudre les puzzles qui nous sont proposés. C'est grisant, surtout lorsqu'il a fallut opérer un renversement de la logique pour parvenir à nos fins (instant de flottement "mais pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt ?!" garanti). Et que l'absence de gunfights est reposante !

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Assassin's Creed II a beaucoup apporté à la série. Si la mise en scène n'est pas toujours des plus soignées (les combats épiques avec 3 pèlerins, on y croit moyen), il reste mon épisode de prédilection grâce à son contexte passionnant : arpenter Florence et Venise en pleine Renaissance, on aurait difficilement pu me vendre plus de rêve... Si la fin du jeu marque le point de rupture avec l'univers SF réaliste pour plonger à corps perdu dans le délire mystico-futuriste, je dois néanmoins reconnaître avoir un certain attachement pour les énigmes qui amène à dévoiler "la vérité".

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Remake du premier épisode qui le rend plus accessible et le modernise sans trop trahir l'original (à quelques remaniements près à l'intérieur des niveaux qui me font grincer des dents, mais je suis une puriste et une adoratrice du premier épisode).

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Enfin, une narration de qualité ! On s'aperçoit assez vite que la liberté laissée au joueur est finalement assez limitée, mais au moins l'expérience telle que pensée par les développeurs est elle retranscrite sans accroc.
(Ai-je encore besoin de préciser que l'ambiance du titre est géniale ? Rockstar a récupéré le bébé, il ne pouvait en être autrement).

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Le jeu est moins facile d'accès que les triple A auxquels je joue d'ordinaire, il demande au joueur une implication importante pour bien saisir toutes ses mécaniques (la mise à jour qui a réorganisé l'inventaire a bien simplifié les choses depuis) et son histoire. Même si le jeu apporte pas mal d'éléments quand on prend la peine de lire les ouvrages récoltés, il est indispensable d'aller chercher à l'extérieur des explications complémentaires pour mieux situer les personnages, leurs aspirations et les relations qu'ils entretiennent, sans quoi on passe à côté de pas mal de choses ce qui serait dommage au vu de la richesse de l'univers.
Et le Gwynt, c'est fabuleux.

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Des mécaniques de gameplay très simples et une idée géniale : la rencontre avec d'autres joueurs et l'instauration d'une relation éphémère. Brillant, et sublimé par une direction artistique de haute volée.

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Le premier opus de la saga développé par Crystal Dynamics n'est pas parfait (la progression à travers des couloirs - annonciatrice du level-design d'une foule de jeux sur la génération PS360 - l'excès de boss, le manque de diversité des ennemis...) mais il pose les bases d'un renouveau de la licence, qui a trouvé son aboutissement avec Tomb Raider Anniversary. Le gameplay a été intelligemment repensé, tout est désormais plus fluide, et si sortant de la PS One il m'a fallut deux heures pour m'adapter au concept de caméra désormais contrôlable, j'en garde le souvenir d'une sensation de liberté rafraichissante. Et puis c'est par Legend que je suis revenue à Tomb Raider, il y a forcément un affect particulier.

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Pour les dizaines d'heures passées dessus. Et parce que ce jeu est fun, tout simplement.

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Assassin's Creed ou la saga ultra frustrante parce qu'on perçoit tout ces possibles qui ne sont pas concrétisés... Et pourtant, je m'acharne et j'y retourne. Il fallait un représentant de la licence dans la liste, le III est le plus cohérent : il est à ce jour le meilleur opus de la saga et le plus abouti (malgré la persistance de défauts récurents).