Top 10 Jeux vidéo selon Elminster

Annotation :

Comment pourrait-il en être autrement ?

La saga des Baldur's Gate m'a fait comprendre que le jeu vidéo n'était pas un sous-genre. Que des studios de développements pouvaient avec leur seule passion créer un titre tellement impactant, qu’aujourd’hui encore beaucoup de personnes (moi y compris) considère cette saga (tirée de l'univers Donjons et Dragons) comme la meilleure saga de RPG de tout les temps.

Shadows of Amn s'est transformé en pierre précieuse en maximisant le potentiel du premier Baldur's Gate :

On a une immense durée de vie, un bon système de combats, un bestiaire très varié, et un scénario époustouflant peu avare en rebondissements et en surprises.

Le titre se montre aussi sombre et oppressant avec des graphismes en 2D magnifiques qui ont très très bien vieilli.

Les quêtes sont toutes bien écrites et certaines quêtes annexes pourraient servir de scénario à un autre titre ! Chapeau aux scénaristes et aux personnes chargées des dialogues !

J'ajoute à tout ceci qu'on dispose lors de la création du personnage de nombreuses classes qui apportent toutes une réelle plus-value à notre groupe d’aventuriers. Groupe qui ne cessera tout au long de notre quête d'acquérir de nouvelles aptitudes et des équipements légendaires.
La sensation de montée en puissance est au cœur du jeu et se ressentira à travers les dialogues et le scénario !

Et enfin comment ne pas parler des compagnons que l'on peut recruter tout au long de notre périple : très nombreux, ils disposent tous d'un background très approfondis. Par exemple certains sont de vieilles connaissances du premier jeu et ne cesseront de nous rappeler les anciens faits d'armes qu'on a pu partager avec eux. Je pense particulièrement à Viconia, qui est pour moi l'un des meilleurs compagnons jamais créé avec une quête personnelle qui s'étendra sur l'ensemble de la saga !

Un jeu comme on en fait plus, avec des studios tellement passionnés que même le manuel du jeu est de la taille d'un livre : il récapitule l'univers, les mécaniques du jeu et se termine par un discours poignant rendant hommage à un développeur décédé durant la conception du jeu.

Wow ...

Annotation :

C'est le premier jeu où la notion de temps s'est effritée. Où une simple session commencée après le repas s'est terminée bien après le coucher de soleil.

Age of Empires m'a donné envie de m'intéresser à la Grèce antique, à l'Egypte, ou simplement à l'Histoire.

Difficile aujourd'hui de dire qu'il est le meilleur RTS auquel j'ai pu jouer, Age of Empires II l'a très largement surclassé à mes yeux. Mais j'arrive encore à me rappeler mes premiers pas sur le jeu, lorsque j'ai été émerveillé par la musique, les graphismes ou simplement par les actions de mes petits villageois !

Annotation :

J'ai pu jouer à la plupart des jeux Final Fantasy (sauf le X-2).

J'ai beaucoup d'amour pour le 5, le 6 et le 10eme opus.

Mais aucun ne peut rivaliser avec le 12 à mes yeux !

Beaucoup de très bons souvenirs personnels sont liés à ce titre.

J'ai été aspiré dans cet univers d'Ivalice et j'ai été à l'époque vraiment impressionné.

Pour moi, le système de gambits est fantastique : les options tactiques pour les combats sont décuplées, et il fluidifie le "farm".

Les graphismes m'ont scotché et la modélisation des personnages est parfaite. Le scénario est quoique dise les détracteurs plutôt solide et classique pour un titre Final Fantasy. La durée de vie du titre sans solution est colossale et les musiques sont d'excellentes factures.

Et ce qui permet au titre de rentrer dans une autre dimension, ce sont les quêtes annexes, qui pour moi sont les meilleurs tout final fantasy confondu particulièrement les chasses et les éons (Yiazmat, Ultima, Zodiarche ...)

Annotation :

Ce jeu est pour moi la vraie définition du coup de cœur !

J'ai tout de suite était fasciné par le jeu.

Par ses personnages colorés et attachants.
Par les dialogues bourrés d'humour avec des voix françaises excellentes.
Par les missions originales et bien écrites.
Par la patte graphique en cell shading toujours aussi belle.
Par les environnements variés et les missions inventives.
Par le scénario simple mais terriblement accrocheur.
Et enfin par cette bande son trop peu reconnu, mais qui est l'une des meilleures que j'ai pu écouter dans un jeu.

Annotation :

Difficile de ne pas inclure l'une des sagas les plus marquantes de l'histoire du jeu vidéo. Et parmi tous les titres San Andreas restera pour moi le plus marquant.

San Andreas m'a donné le vertige à sa sortie, vraiment. La carte était gigantesque, les missions très nombreuses, et les quêtes annexes décuplent la durée de vie.

Aujourd'hui seul les graphismes un peu trop pixelisés empêchent San Andreas de terrasser les titres modernes. Il n'empêche que l'histoire est toujours aussi sympa à suivre, que CJ le héros a marqué une génération entière de joueurs, et que la bande son est toujours aussi incroyable tant par sa variété que par sa qualité.

Imaginez la profondeur de GTA San Andreas avec les graphismes de GTA V ...

Rockstar est vraiment un studio à part !

Annotation :

J'adore les jeux de gestion du studio Sierra. Ils arrivent à atteindre un équilibre entre un gameplay aux petits oignons, des graphismes très corrects, et une ambiance sonore qui colle juste.

Pharaon, c'est encore aujourd'hui un jeu de gestion qui peut se tarder de n'avoir jamais était égalé.

Les graphismes en 2D sont encore aujourd'hui très beaux, la difficulté est progressive et chaque nouvelle mission nous oblige à assimiler et à utiliser le nouveau bâtiment que l'on vient de débloquer. Une simple mission peut prendre plusieurs heures tant il y a de paramètres à gérer pour que notre cité tienne sur ses jambes : la population, la nourriture, la satisfaction des dieux, la gestion des requêtes du pharaon, la balance commerciale, et surtout résister à ces maudits bédouins qui n'hésiteront pas à péter en deux coups de lance votre pyramide !

Dense et au combien addictif !

Annotation :

Que ce fût difficile de choisir un opus dans toute la saga Metal Gear !

J'ai beaucoup d'admiration pour le travail de Kojima et son perfectionnisme.

Metal Gear Solid m'avait scotché par son scénario, le II m'avait émerveillé par sa réalisation. Mais, Snake Eater dégage quelque chose en plus, une aura difficile à définir, qui a fait rentrer dans la saga dans une autre dimension.

La possibilité de jouer Big Boss, personnage au combien important dans la mythologique de la saga, m'a évidemment bien marqué.
Les antagonistes, même s'ils ne sont pas aussi impactant pour le joueur qu'un certain Psycho Mantis (qui n'est qu'un sous-fifre dans Metal Gear et pourtant) font également bien le boulot.

Sauf deux personnages.

The Sorrow qui possède pour moi l'histoire la plus tragique tout personnage de la saga confondu.

Et (évidemment) The Boss, mentor de Big Boss, qui est au cœur de tout l'intrigue de la saga. Son traitement par Kojima est un modèle d'intelligence, et nous permet de comprendre les choix et les motivations de Big Boss. La saga prend alors une nouvelle dimension en brisant le manichéisme entourant le personnage depuis le début de la saga.

Côté gameplay l'ajout d'un côté survie m'a énormément plu, tout comme les tenues de camouflage.

La réalisation quant à elle, est digne d'un film avec des cinématiques ahurissantes !

Enfin la musique au combien marquante (notamment Snake Eater) aura bouleversé plus d'une personne.

Merci Kojima !

Annotation :

Quel jeu !

Beaucoup de souvenirs liés à ce titre au combien mythique pour la PS1 !

Une histoire tragique avec un des méchants les plus sadiques de toute l'histoire du jeu vidéo : Lucas Blight. Rarement un méchant m'aura fait une aussi forte impression !

Une durée de vie très importante voir colossale si on tente de retrouver les 108 étoiles (bonne chance sans solution) avec une fin qui varie beaucoup selon nos choix et nos recrutements, rien que ça !

On a ici une bonne vieille 2D au combien optimisée et toujours aussi impressionnante de nos jours, et qui m'a mis une sacrée claque à l'époque.

Les 108 étoiles sont tous intéressantes et la possibilité de former des duos voir des trios renforcent nos liens affectifs avec ces personnages.

J'ajoute aussi que le QG devient de plus en plus vivant à force de recrutements et propose des quêtes annexes bien fichu (le duel des cuistots !).

Une perle rare !

Annotation :

Beaucoup de titres sur la nouvelle génération de console furent marquants, mais aucun n'a atteint le succès critique mérité de Red Dead Redemption.

Grand amateur de western, j'ai apprécié le travail du studio Rockstar pour retranscrire au mieux une période de l'histoire peu connu : la fin de la ruée vers l'or et le début de l'industrialisation qui marqua la fin d'une ère où vécurent des légendes américaines, les fameux cow-boys.

On joue le désormais légendaire John Marston, qui dégage un sacré charisme : sa présence, ses cicatrices et sa voix en imposent.
Son récit lui, sera teinté de violence, de trahison, couplé à quelques moments (très brefs) de bonheur. On s'attache vite à ce cow-boy bourru qui veut juste revoir sa femme et son fils.

Côté gameplay on est sur un GTA IV avec quelques subtilités : par exemple les déplacements avec les chevaux qui sont très simples et nous pousse rapidement à sortir des sentiers battus à la recherche de bandits, de trésor ou simplement à flâner.

J'ai beaucoup de souvenirs vidéoludiques avec Marston, où je partais simplement à dos de cheval visiter des cols enneigés pour le simple plaisir de la découverte.

L'histoire est très bonne avec un travail sur les dialogues assez impressionnant. Évidemment difficile d'occulter la fin mémorable tant elle est forte et m'a presque fait verser une larme à l'époque.

Du grand art de la part de Rockstar une nouvelle fois !

Annotation :

C'est l'aboutissement d'une des sagas les plus ambitieuse de l'histoire du jeu vidéo. Le commandant Shepard restera une icône pour des millions de joueurs.

J'ai étais transporté dans un excellent univers de science-fiction, avec un doublage français fabuleux et des quêtes annexes avec de vrais choix moraux, où j'ai eu la sensation d'avoir vraiment le contrôle sur la destinée de milliers de planètes.

La fin est un peu décevante, mais je n'oublierai pas mes premiers mots quand les crédits sont arrivés : " C'était phénoménal ".