Top 10 Jeux vidéo selon Originalcirce

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De la poésie en boite !
C’est beau, c’est mystérieux, c’est touchant, c’est simple, c’est magique, c’est effrayant, c’est apaisant, c’est Ico !

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Toute la série des Persona !
Notre monde, urbain et moderne, bascule dans l’horreur total pour un groupe de jeunes se voyant octroyer le pouvoir d’invoquer leur persona. On pourrait résumer la franchise comme ça… mais c’est tellement plus ! Chaque volet présente des personnages attachants, au background réussi, pour qui on s’inquiète et avec qui on s’amuse aussi souvent ! Avec un humour qui fait toujours mouche (l’épisode 4 obtient d’ailleurs la palme de ce côté-là !) les Persona allient ambiance lugubre et souvent malsaine (allez invoquer vos persona en vous tirant une balle dans la tête dans Persona 3 !) à une histoire souvent attachante et toujours mystérieuse (avec quelques rebondissement très originaux et osés… ex : Persona 2 m’a permis de latter la gueule de Hitler ! Merci, ça fait du bien ! :D). En prime, les musiques mélangent ambiance pop moderne (très réussis) à des thèmes plus sombres et symphoniques. La réalisation des premiers volets (principalement dans l’exploration des donjons) a vieillit et peut sembler austère mais on l’oublie vite une fois plongé dans l’histoire. Quant aux volets plus récents (P3 et P4) la réalisation, les environnements, le système de combat, tout y gagne en qualité ! La seule chose qui manque aux derniers volets et qui était une originalité des premiers : les discussions avec les ennemis ! On pouvait tenter de marchander avec eux (soit les convaincre de nous aider de différentes façons, soit instaurer une sorte d’entente cordiale). Ces discussions rentraient entièrement dans les tactiques de combat des premiers Persona… j’aimerais revoir ça d’une façon ou d’une autre dans les prochains.
Mais si on ne peut pas créer des liens avec les ennemis, les derniers persona ont instaurer tout un système de Social-link entre les personnages du groupe ET les personnages extérieurs au groupe qu’il est primordiale de faire évoluer pour obtenir les meilleurs pouvoirs des jeux (et voir tout un tas d’évènements bien souvent hilarant). Ce qui fait des Persona actuels un mixe entre D-RPG et simulation de vie (on va en cours, on passe des examens, on a des activités extra-scolaire, on peut sortir entre amis, lier une ou des (!) relations amoureuses, faire les magasins, allez à la page etc…)
Inventivité ! C’est le mot que j’utiliserais pour résumer cette série de jeux ^^

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Toute la série des Shadow Hearts.
Tout a commencé avec un p’tit RPG plein de défauts mais à l’ambiance unique : Koudelka. Une sorte de mélange réussi entre Survival-Horror et RPG le tout saupoudré de tactical. La même équipe a ensuite créé la série des Shadow Hearts (Koudelka y faisant une très brève apparition). Shadow Hearts 1 et 2 ont comme héros le même personnage : Yuri. Torturé par des pouvoirs étranges et qui le rongent littéralement de l’intérieur (on fait par exemple régulièrement le voyage dans son subconscient qui abrite… un charmant cimetière avec des têtes qui parlent !) Yuri va nous faire traverser l’Europe et l’Asie lors des prémices de la première guerre mondiale, où se mêlent magie noire, divinités démoniaque et monstres en tout genre. D’ailleurs Yuri va en baver durant son périple. L’ambiance très sombre héritée de Koudelka se mêle alors à un humour et a des personnages complètement décalés ! Rajoutez à cela deux scénarios excellents (surtout celui de Shadow Hearts II) et vous obtenez deux pures réussites.
Quand à Shadow hearts III : celui-ci nous amène dans le nouveau monde, donc l’Amérique, en pleine période de prohibition. Bye Bye Yuri, cette fois on prend les rênes de Johnny, un jeune New Yorkais apprenti détective. Aux couleurs beaucoup plus chatoyantes, le titre semble au début prendre une direction différente des précédents volets (même si on y croise encore des lieux du style opéra hanté). L’humour est toujours aussi tordu et efficace. Le jeu fini toutefois par retomber dans le sordide des précédents volets (dès qu’on ramène sur le devant de la scène le livre des morts ainsi que le fameux vieux fou Roger Bacon, seul personnage à apparaitre dans les 4 volets).
L’un des plus gros atouts (et y’en a beaucoup) des Shadow Hearts est son gameplay. L’idée de la roue du jugement (utilisée aussi bien en combat que hors combat), customisable selon sa façon de jouer et/ou son talent à l’utiliser, oblige à rester attentif et concentré à chaque instant et réussir des enchainements de « perfect » devient vite un challenge !

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Toute la série des Kingdom Hearts.
Disney rencontre Square Enix… qui aurait vraiment pu penser que ça marcherait aussi bien ?! J’avoue que quand il s’agit de Kingdom Hearts je suis une vraie fan-girl… j’achète les yeux fermés ! Même si certains des épisodes sont très gadget (Re-Coded) ou ont modifié le magnifique système de combat pour en faire un système dont je suis passablement allergique (les cartes dans Chain of Memories), globalement cette série de jeux c’est du pur bonheur ! Belles réalisations, bandes sons excellentes, système de combat dynamique et défoulant, belles histoires, personnages terriblement attachants, scénario bien plus complexe et dense qu’on aurait pu le penser au début et le plaisir de visiter les mondes de Disney et de collaborer avec tous leurs personnages c’est tout bonnement magique !

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Toute la série des Professeur Layton.
Vive les énigmes ! Vive les très belles musiques ! Vive la merveilleuse réalisation ! Vive le chara-design ! Vive ces merveilleux lieux ! Vive ces ambiances envoutantes ! Vive Level-5 !

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On est réellement impliqué dans l’histoire, comme un personnage à part entière… et le twist du (superbe) scénario en devient d’autant plus douloureux ! Ajoutons à cela que les décors sont une pure merveille, les musiques splendides et le gameplay, à base de cartes évolutives, très original. Pendant des années je me suis privé de ce jeu parce que le look des personnages me faisait mal yeux… comme quoi il ne faut pas juger un jeu trop vite ! Je n’ai plus qu’un rêve : réussir un jour à jouer à sa « suite » !

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Telltale a tout compris sur ce coup ! Les personnages et notre attachement à eux sont bel et bien la clé d’un jeu réussi. Quand en plus on nous offre un style très BD, de beaux moments de tension et un système de jeu simple mais addictif on obtient un p’tit chef-d’œuvre du genre !

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Une bonne partie des Final Fantasy.
La grosse machine (à fric ?) de Square Enix… pour moi elle s’enraye un peu/beaucoup depuis quelques années, mais ça n’enlève rien aux merveilleux moments que j’ai pu passer à y jouer et rejouer ! Mes opus préférés : FF IV (premier FF avec un vrai background pour les personnages, très prenant et avec un des meilleur héros de la franchise), FF VII (comme beaucoup c’est mon premier RPG), FF VIII (j’ai une affection énorme pour les personnages, et l’histoire sur fond d’académie m’a accrochée), FF IX (magique !!) et FF X (peu importe le nombre de fois que je le fais… j’suis toujours aussi émotive devant w_w).

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Que les éditeurs de jeux (plus spécifiquement de RPG) qui ne comprennent pas ce que c’est qu’un gameplay original en prennent de la graine ! Ce jeu fourmille de bonnes idées, accompagnées d’une ambiance unique avec cette tour immense qui sert de monde, l’histoire sombre et complexe côtoie un humour typiquement nippon avec des personnages sympathiques au possible. Les combats allient parfaitement tactique et dynamisme. Tout simplement excellent !

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Chrono Trigger est la référence en matière de voyages dans le temps… mais pour moi Radiant Historia a revu à la hausse l’idée ! Une histoire complexe et d’une richesse extrême flanquée d’un héros comme on en fait que trop peu ! (Encore un jeu Atlus *_*)

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J’aurai pu dire toute la franchise… mais je n’ai pas joué à tous les jeux :p Et puis le tout premier Silent Hill a une place particulière… dans mes nuits blanches ! Non sérieux, je ne suis pas du genre à avoir peur facilement, donc quand je me suis retrouvée à stressant comme une malade devant ce jeu… c’était tout simplement génial !! La première fois que j’y ai joué restera gravé éternellement dans ma mémoire !

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Une bonne partie des Tales of...
Je n’ai malheureusement eu entre les mains que 4 volets de la série des « Tales of » (Eternia, Symphonia, Vesperia et Abyss), mais ça me suffit pour dire que cette série me semble être l’une des plus équilibré point de vu qualité. Les histoires sont toujours prenantes, les personnages attachants, le plaisir de visiter et découvrir les mondes est systématique, l’humour est parfaitement dosé à chaque fois, les rebondissements sont assez classiques et prévisibles mais toujours appréciables, le système de combat est dynamique et agréable (même si j’ai eu un mal de chien avec la vue latérale vieillissante de Eternia), on retrouve toujours les mêmes spécificités qui font le charme de la série (ex : les p’tites cut-scene/discussions qui sont déclenchables durant l’exploration de la carte, et toujours très drôles) etc…
Du bon RPG, sympathique et amusant !

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Que dire qui n’est pas déjà été sur ce jeu ? C’est tout simplement un classique des jeux vidéo ! Chara-design de Akira Toriyama, réalisation encore aujourd’hui très belle, histoire dense avec ses multiples voyages dans le temps, quêtes annexes scénarisées et très intéressantes puisque centrées sur les personnages, personnages optionnels (oui, on peut finir le jeu sans tous les avoir !), fins multiples, système de combat excellent, on peut y rejouer encore et encore sans aucune lassitude, etc… Un must.

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Un jour des tentacules domineront le monde !!! Vous êtes prévenu !
Mais heureusement : l’intello Bernard, la frapadingue Laverne et le hard rockeur Hoagie sont là pour nous sauver… enfin on espère tous bien fort ! ^^;
Grâce au professeur Edison, nos trois losers, euh héros, vont voyager dans le temps (enfin sauf Bernard dont le pod temporel a eu un raté… faut dire qu’Edison a employé un faux diamant pour faire marcher la bête <_<).
Bref : Laverne se retrouve 200 ans dans le futur, et y découvre l’humanité devenue esclave des tentacules et Hoagie fait un bon dans le passé au moment même de la signature de la constitution américaine !
A nous maintenant de switcher entre passé, présent et futur pour créer les situations adéquates qui empêcheront la tentacule pourpre de conquérir le monde !
C’est complètement barré, avec une logique bien tirée par les cheveux pour les énigmes, mais c’est trop bon ! *_*

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La série des In Memoriam.
Sordide, sombre, oppressant, plein d’énigmes tordues et intelligentes, une immersion totale (on reçoit des mails du tueur !)… et en plus « Cocorico » c’est français \^^/

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J’ai rarement prit autant de plaisir devant un tactical (j’aime ce système de combat, mais à petite dose d’habitude, alors que là j’ai enchaînée les heures et les heures de jeu et de combats avec toujours un plaisir immense !). Pour accompagner son système de combat très addictif, on trouve également un chara-design et des décors magnifiques, une réalisation parfaite (cerise sur le gâteau : belle 3D), un scénario qui ne cesse de s’enrichir, des quêtes annexes immanquables sous peine de passer à côté d’excellents moments (et accessoirement des meilleurs personnages), un super système de liens à créer entre personnages agrémentées de cut-scene très drôles ou touchantes et une vraie épopée générationnelle avec en prime quelques choix qui influent la façon de vivre l’aventure ainsi que la fin du jeu… ce qui donne d’ailleurs immédiatement envie d’y rejouer une fois fini ! ;)

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« Fun » est le premier mot qui me vient à l’esprit en pensant à ce jeu. Oui c’est fun de jouer les pirates de l’air dans cet univers aérien, de naviguer au milieu des nuages et de découvrir et accoster ces nombreuses îles flottantes. Créer son camp de pirate, amasser les trésors et participer aux combats aériens entre navires sont des expériences à faire au moins une fois dans sa vie ! Allez, en route mauvaise troupe ! :D

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Mon jeu préféré de la Mégadrive ! J’y ai joué un nombre incalculable de fois avec toujours autant de plaisir : réalisation magnifique (encore aujourd’hui ce jeu est tout simplement beau !), musique réussie, super maniabilité, adaptation de très grande qualité, fidélité à toute épreuve au film de base, des p’tites originalités dans le gameplay (aaah le passage à dos de tapis volant*_*) très sympathiques. A faire et refaire sans modération ! (Attention : ne pas confondre cette réussite avec l’autre portage raté de la SNES)

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Je me le suis fait offrir à Noël dernier… ma famille me prend maintenant pour une obsédée <_< Mais on s’en fiche ! Un casse-tête unique signé Atlus, avec une ambiance adulte, des fins multiples, une réalisation magnifique, une ambiance oppressante et malsaine à souhait, en un mot : génial et unique (quoi ça fait plus d’un mot ? :o)

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Mon Mario préféré sans aucune hésitation. J’y ai passé des heures étant petite, à le refaire encore et encore sans jamais me lasser et cerise sur le gâteau : même aujourd’hui il reste très beau !

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La série des Zero Escape.
9 Hours 9 Persons 9 Doors & Virtue’s Last Reward sont deux huis-clos oppressants, où le mystère du pourquoi du commun et la découverte des lieux, des pièges ainsi que des background des différents personnages rendent le tout hyper addictif ! Les salles/énigmes sont un pur plaisir à résoudre tout comme le déblocage des multiples fins (qu’il faut absolument toutes faire pour réellement avoir une vision complète du scénario). Les deux épisodes sont liés de façon inattendue et l’impatience de voir la suite à la fin du deuxième volet est énorme !

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La saga des Mass Effect
On va faire simple : Mass Effect c’est tout simplement épique ! Moi qui ne suit pas accroc à ce style de gameplay j’ai (plus ou moins) réussi à m’y faire et j’ai même fini par m’amuser follement à utiliser l’artillerie lourde ^^. L’immensité de l’univers qu’on nous présente, les nombreuses races et cultures, la multitude de planètes à visiter, la tonne de quêtes annexes et le scénario monstrueusement bien construit et aux enjeux colossales font de Mass Effect un incontournable !

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J'aurai pu dire toute la série des Star Ocean, mais j'en reste au 2 premiers volets, et ce pour deux raisons : déjà parce que je ne les ai pas encore tous fait, et ensuite je n’ai absolument pas eu le même plaisir de jeu sur Star Ocean 3 que sur les deux premiers !
Ma première expérience avec cette série de jeux a été sur Star Ocean 2 version PS1, qui m’a réellement prit dans ses filets ! La découverte de l’univers, le système de combat très dynamique et le fait de devoir faire des choix entre qui nous accompagnera ou pas (à moins de se laisser porter sans réfléchir, c’est faisable aussi) m’avait fait vivre une vraie aventure qui m’avait marquée. J’ai donc foncé tête baissée sur la ressortie PSP des deux premiers volets. J’ai pu découvrir alors que le 1er était tout aussi réussi et addictif que le second, second que j’ai refait avec autant de plaisir que la première fois !! Les derniers Star Ocean n’ont pour moi pas le charme de ces deux premiers volets.

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J’étais en primaire et malade. De son côté mon père avait dû tomber sur la tête puisqu’il s’était ramené avec deux jeux NES (un vendeur avait dû l’aider à choisir) rien que pour moi, deux cartouches de jeux NES entièrement dorée (c’était trop beau), appelé The Legend of Zelda & The adventure of Link… et franchement je ne savais pas à quoi m’attendre ! Finalement c’était une merveilleuse surprise :)Si Zelda II a passé plus de temps à me frustrer qu’à réellement m’amuser (c’était difficile x_x) j’ai par contre passé des heures sur The Legend of Zelda ! Encore aujourd’hui, dès que j’entends la musique j’ai des frissons et une nostalgie énorme me prend… c’était le bon temps ^^

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Toute la série des Monkey Island.
Vous avez l’esprit complètement tordu et une logique tirée par les cheveux, vous rêvez secrètement de vous battre en duel à coups d’insultes et de devenir le plus grand pirate de toute l’histoire : la série des Monkey Island est faite pour vous ! Un classique des point & click signé Lucas-arts (que Disney a tué ! <_ <) !

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La série des Devil Survivor.
Pourquoi ? Euh... parce que c’est du Atlus ! :p Ok, je développe ^^. Atlus nous sert ici ce qu’il fait de mieux et maîtrise : une ambiance urbaine et moderne, qui bascule dans l’horreur. Les démons, anges et divinités qu’on y croisera sont des entités qui nous sont maintenant devenu familières (enfin à ceux qui jouent aux différents jeux d’Altus), et c’est sympa d’être en terrain connu. Le système de combat (du tactical) savère très agréable… mais corsé ! Car oui, Atlus est plus souvent sadique que gentil, et on en bave dans leur jeux ! Le challenge est donc là, accompagné de scénarios aux multiples rebondissements et qui évoluent en fonction de vos choix : de nombreuses fins et des personnages jouables à côté desquels on peut passer donnent forcément envie d’y rejouer !

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Avant Dark Chronicle il y eu Dark Cloud. Un p’tit D-RPG passé assez inaperçu, mais qui malgré ses nombreux défauts avait tout un tas d’idée super addictives (avec en tête de file la construction des villages). Dark Chronicle reprend toutes les bonnes idées de Dark Cloud, gomme tous ses défauts, et y rajoute une réalisation magnifique en cell-shading et une tonnes de quêtes annexes ! La construction des villages est vraiment fun, l’environnement et les décors sont beaux, les musiques variés et très agréables (même sonorité que les Professeur Layton)… encore du très bon Level-5 *_*

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Et encore un « Cocorico » ! :D Encore un souvenir très présent dans ma mémoire… et d’ailleurs c’est relativement ironique vu que notre personnage commence l’histoire totalement amnésique ^^ Un univers visuel très marqué, une histoire qui se découvre petit à petit, une ambiance cyberpunk, des guns futuriste et des énigmes bien foutues !

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Un dauphin, une mère bleue, plein de poissons de toutes les couleurs, des bruitages et musiques calmes et paisibles et… des entités extra-terrestres (?) qui enlèvent tous les copains dauphins de Ecco dans un violent tourbillon o_O; J’ai joué à ce jeu un paquet de fois, et pourtant il n’a toujours aucun sens pour moi (des voyages dans le temps se rajoutent à l’histoire) mais qu’est-ce qu’on s’en fiche ! :pEcco est trop mignon, le diriger un pur bonheur (même si des fois c’est corsé), l’aider à sauver le monde (!) te donne l’impression d’être un héros de l’écologie que rien ne peut arrêter… le tout dans des décors superbes :)

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La série des Fear Effect.
Je me rappelle qu’à l’époque j’avais acheté Fear Effect sur un total coup de tête sans rien savoir de la chose... et je n’ai pas regretté un instant ! Un univers mature, sombre et violent, avec un style graphique clairement à part, les deux Fear effect font partie de mes meilleures et plus étranges souvenirs vidéoludiques !