Top 10 Jeux vidéo selon Mahg

Annotation :

Une énorme claque à l'époque.
Ce jeu m'a poussé à prendre la N64 juste pour lui, alors que j'étais résolu à prendre la PS1. C'est à cause de lui que je suis passé à côté de FF7 (qui aurait été dans cette liste sans ça).
Le mettre en première place n'a rien d'original, mais c'est le coeur qui parle: c'est clairement ma meilleure expérience vidéo-ludique.

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Expérience unique et inégalée encore une fois.
Une de celle qui vous marque, à un point tel que j'ai depuis complètement changé de perception dans mes visionnages de films d'épouvantes.
Uné épopée glauque, durant laquelle l'on éprouve à la fois répulsion et fascination.

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Le maitre du RPG qui m’a initié au genre.Je me souviens des longs ¼ d’heures passés à créer mon personnage, je n’avais encore rien vu de tel ! Et dans un monde plutôt libre en plus ! Nos personnages évoluent au fil du jeu, on peut leur changer d’armures et armes ! y’a du commerce ! Vite ! J’vais scalper du bandit pour m’acheter cette belle côte de plaques qui me fait de l’œil ! Quel brave héros prolétaire !
Bref, ce jeu m’a corrompu, tout simplement ^^

Annotation :

Mon RTS.
J'avais déjà aimé Age of Empire, WarCraft II et Command&Conquer, mais StarCraft avait cette brochette de choses en plus : Un univers SF passionnant, où chacune des trois races avait son histoire propre, mais également son gameplay unique. Et surtout, en tant que fan de la créature de HR Giger, quel plaisir d’incarner les Zergs !

Annotation :

Maestro du jeu de combat.
Des personnages charismatiques, des souvenirs de tournois entre pôtes.
Lui et StarCraft m'ont d'ailleurs également initié au monde de ce qu'on l'on appelle aujourd'hui "E-Sport". 20 ans que ce jeu fait saigner les doigts, et lui n'a pas pris une ride!

Annotation :

Ce jeu m'évoque mes plus lointains souvenirs de jeu.
Je me souviens encore du monsieur qui boit sa canette dans la cinématique d'intro, et de ce premier niveau où lorsque ce n'était pas un faux pas sur un scorpion, c'était "l'espèce de loup-Garou sombre" (Souvenirs lointains et parfaitements flous, souvenez-vous^^) qui nous prenait en chasse.

Annotation :

Pour son univers, purement et simplement.
Drôle et à la fois cruel, beau (temple Mudokkon!) et à la fois moche (RuptureFarm!), la direction artistique de ce jeu m'a toujours fasciné.
J'avais détesté les Lemmings pendant ma tendre enfance, j'ai paradoxalement adoré crever des 10aines de fois pour parvenir à sauver mes copains verts.

Annotation :

Une petite claque à sa sortie.
Ce jeu cassait les codes du RPG classique à l'occidental. Un monde bizarre sorti tout droit d'une autre planète, de grands échassiers remplacent les rébarbatifs dragons, une évolution du personnage dictée par nos actions (Un peu comme l’avait déjà fait Deus Ex en un sens), une sensation de gambader sur une carte infinie, on avait envie de fouiller chaque parcelle de terrain à la découverte d’une quelconque quête secondaire.

Annotation :

Ce jeu m’a appris les termes RPS et BADASS !
J’adore le mélange des genres, que ce soit en musique ou en jeu, et là cet hybride de FPS et de RPG avait tout pour me plaire.
Et c’est sans compter cet humour et ambiance à la Mad Max, un cel-shading du plus bel effet, ou comment mêler avec subtilité beauté et brutalité !
Un jeu burné, un pur défouloir : Badass !

Annotation :

Lorsque l’on a fait ses premiers pas avec des jeux tel que Rick Dangerous, difficile de ne pas avouer que la difficulté s’est amoindri au fil des années dans le domaine des jeux vidéo, ceux-ci devenant de plus en plus accessibles pour plaire à un public toujours plus large. Ce n’est pas vraiment une critique, car cela n’enlève généralement pas grand-chose à la qualité des jeux, mais le divertissement n’arrive pas toujours à son paroxysme sans un minimum de défi.
Quel rafraichissement lorsqu’un studio se risque à sortir un jeu punitif comme Demon’s Souls, où la moindre erreur est douloureuse, remettant ainsi au goût du jour nos vieux jeux où l’apprentissage par l’échec était la seule école disponible. Un RPG original d’ailleurs, dans le sens où il s’agit d’un style occidental … conçu par des japonais !
Enfin un jeu d’action subtil, où avancer prudemment le bouclier levé s’avère bien plus fructueux que de rentrer dans le tas comme une brute (Hello Kratos !)