Top 10 Jeux vidéo selon Meursault

Annotation :

Impossible de départager le deuxième de ce top et ce jeu.
Zelda le "moins" Zelda, Majora's Mask est l'un des opus qui divise le plus. L'ambiance glauque qui s'accorde avec la perte de contact avec le réel du jeune Link, a finalement causé bien des problèmes à de nombreux joueurs. Ces derniers sûrement trop flemmards pour faire un jeu plus exigeant (et encore...) qu'un Ocarina of Time 2.
Le jeu n'a pas eu la gloire de son ainé. Pourtant, il n'en mérite pas moins... C'est une lapalissade. Reste que pour Nintendo, ce jeu fut une petite glissade.

À faire sur 3DS plutôt, le remake rend le jeu encore plus parfait.

Annotation :

Impossible de départager le premier de ce top et ce jeu.
Un jeu culte, qui marque un avant et un après Ocarina of Time. Une ambiance poétique qui réveille le fantasme de tous les joueurs : jouer à un chef d'œuvre.
Le Zelda le "plus" Zelda.

À faire sur 3DS si possible, le remake étant juste incroyable.

Annotation :

Matérialisation de la folie, Silent Hill 2 reste le jeu sur lequel j'ai souillé le plus de couches. De nature peu peureux, je me suis soudainement rendu compte que j'étais quelqu'un à l'imagination douteuse. En effet, le jeu vous laisse le luxe d'imaginer l'horreur qui vous attend. Sensation horrible, qui cristallise le côté malsain de ce jeu.

Luxure, violence, impuissante, inconscience.

Annotation :

"Tuer pour survivre"

Trop à dire sur ce jeu. Cela serait trop long.

Final Fantasy IX n'apporte rien de neuf.
Il sublime tout ce qu'il touche. Ça fait mouche.

Annotation :

Avec un parti pris artistique controversé mais assumé, Nintendo a pondu un jeu XXL.
Ambiance enfantine, scénario niais, Link qui ressemble à rien... Tant de critiques pour rien. On s'en fiche. Dire que ce jeu est mauvais, c'est mentir. Se mentir à soi-même, pour se dire que l'on aime détester un jeu aux graphismes audacieux.

À faire sur Wii U si possible.

Annotation :

Final Fantasy VII, un j-rpg précurseur en Europe, pas si anodin au final. Il me reste plus qu'à souhaiter qu'il y ait beaucoup de jeux de ce calibre pour combler un peu le vide étouffant offert par les titres « grand public » d'aujourd'hui.

Annotation :

Dishonored, c'est avant tout un vent de fraîcheur dans un paysage vidéo-ludique bien huilé, bien rodé et bien structuré. Bien trop.
Avec un gameplay rare de nos jours, rapide et précis, l'ambiance steampunk très inspirée de l'air victorienne se marie à merveille avec un level design chic. Le tout offre au joueur le choix de tuer ou d'épargner.

Un cocktail à déguster sans modération.
Les deux contenus téléchargeables sont à la hauteur du jeu. À faire aussi.

Annotation :

Bioshock nous régale avec un environnement rétro-futuriste steampunk et son ambiance tirée des années 40/50.
Particulièrement oppressant, malsain, pessimiste par moment, le premier volet de cette série éponyme nous retourne juste le cerveau vers sa fin. Avec un secret qui nous pendait au nez. Et son scénario très creusé.
Essayer ce jeu pour se plonger dans une tuerie, c'est avoir le nez creux.

Une question à retenir : "À défaut d'une société parfaite, l'Homme peut-il faire un jeu parfait ?"
Peut-être.

Annotation :

Une direction artistique et une bande-son sans faille. Un gameplay qui se conjugue au presque-parfait.

Annotation :

Ridicule sur bien des points : mal rythmé, gâché graphiquement, idée de gameplay avortée, des incohérences TOTALES, macérées de naïveté, dans la réaction des personnages et des populations.

Bref, à cette vision géopolitique pathétique qui pulvérise "le bon sens", contre-balançons avec un scénario très pointu (quoique masquant, par moment, sa qualité avec sa quantité et son manque d'originalité par un gavage de références) et des réflexions qui savent lentement déchiqueter le monde actuel. Un "jeu" presque cadavérique au sens strict, mais stratosphérique au sens "abstrait".

Si voulez du ludique, Xenogears est insignifiant. Une histoire ? Foncez !

Annotation :

Trop poussif dans son scénario, conçu par des gens sous psychotropes hallucinogènes, système de combats ridiculement original. Bref beaucoup de mauvais points dans ce FF.
Mais alors la fin p****n... Notamment une cinématique, qui met vraiment en relief la condition de l'Homme, arrive à placer directement ce jeu dans mon top 10. Une séquence de quelques secondes. Le génie n'a pas besoin de beaucoup de temps pour exploser, je suppose.
(J'oublie le non-sens total, sur le forme du moins, qu'apporte la cinématique suivante. Ça doit être du troll !)

Annotation :

Sûrement l'un des jeux que je défends le plus, avec une mauvaise foi légendaire.
Le jeu n'a pas de défaut, vraiment aucun. Pourtant, quelque chose lui manque, je le confesse. Mais quoi ?
On retient donc le goût amer du jeu qui avait tout pour être le meilleur Zelda. Un gâchis ?
Non ! Hybride avorté entre Ocarina of Time et Majora's Mask, Twilight Princess est bipolaire. Tantôt au dessus du lot, tantôt quelconque, il crée un mélange, avec la froideur de corps vides et sourds et la chaleur de personnages familiers, qui ne dévie aucunement la lumière éclairant le chemin menant au titre de "jeu excellent" tracé par Ocarina of Time. Un mélange racémique. Pour une race de jeu finalement trop parfaite, trop lisse et qui surjoue alors que nous voulions juste jouer.

Pourtant, je l'aime, ce jeu !

Annotation :

Monster Hunter reste relativement inconnu dans le paysage occidental.
Bien dommage pour les gens qui sont passés à côté.
Ceci dit, le jeu doit être fait avec des amis et surtout pas seul !
Un petite bombe sur laquelle j'ai dû passer 250 heures.

La version "Freedom" sur PSP reste la meilleure.