Top 10 Jeux vidéo selon Grégory Rivière

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Il m'a complètement subjugué, englouti. Tout y est ; c'est l'ultime jeu de rôle auquel j'ai joué. Je lui mettrais 15/10 si je le pouvais.

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Le meilleur jeu NES pour moi.

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Je l'ai rongé jusqu'à l'os. Je crois que je n'ai jamais voulu quitter Rapture, je m'y sentais chez moi. Bioshock, c'est plus qu'un jeu commun.

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Le jeu le plus chronophage auquel j'ai joué. Il faudra que j'écrive une critique pour parler de ce jeu car il y a de quoi dire. La simulation de football absolue ! Celle qui avait compris que le vrai réalisme, c'est celui manette en main. La clarté des actions, la sensation que tout a une justification sur le déroulement d'un match, et que l'on a la main sur tout. Les innombrables soirées passées dessus...

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Cette rigidité carré dans le gameplay, le charme de la machine à écrire pour la sauvegarde. Sa séquence d'introduction avec de vrais acteurs, et la suite dans le manoir...Inoubliable.

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Rien que le souvenir du thème de l'écran titre me fait voyager dans le temps. C'était les joies du jeu en ligne massivement multi joueur console, bien avant le Xbox live.

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Jet set radio, un jeu vraiment unique et une bande son inoubliable. Il fait partie de la crème des jeux Dreamcast (RIP)

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Halo 3 c'était un peu le dernier rempart, non pas contre la menace covenant, mais plutôt contre l'empire grandissant du casual FPS. Halo 3, ce dernier survivant du quake-like console (pour le jeu en classé) donne une marge de progression au joueur quasiment infinie, en subtilités et en pur skill, manette en main. Jouabilité irréprochable par ailleurs. Ce jeu est ultra chronophage.

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J'aurais pu citer Wipeout joué plus tôt sur playstation. Mais F-Zero GX, c'est un peu l'ultime Wipeout. Jouabilité parfaite, sensation de vitesse bien présente et la possibilité de détruire tout ses adversaires, de baser toute sa stratégie de victoire sur ça, par le biais d'une certaine maîtrise. Les personnages sont tous uniques. On se surprend à acquérir des réflexes quasiment robotique et c'est vraiment jouissif. Puis l'association Sega-Nintendo, c'est une incitation à la paix dans le monde.

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La jouabilité carrée et mathématique de Prince of Persia en 3D. Le tout dans des décors majestueux et insaisissable, d'une complexité vertigineuse. Pas de musiques envahissantes ou de scène d'actions surjouées, mais des mélodies discrètes qui resteront gravées à jamais dans ma mémoire, une mise en scène sobre voire absente pour le plus grand bonheur (sincèrement). Le jeu nous laisse seul dans des ruines enfouies totalement immersives et bien pensées avec le minimum nécessaire, faisant confiance en nos capacités cognitives (tellement rare de nos jours). En plus, j'étais tout émerveillé devant cette 3D quasiment révolutionnaire, ce T-rex. Puis les seins pointus, il y a pas à dire... tout est épique.