Top 10 Séries selon Loïc Coenen

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J'ai aimé cette série. Son ambiance est parfois étouffante, le rythme est tour à tour soutenu et doucereux, la bande son est terrible. Le caractère des personnage est dure à oublier : je me souviendrais longtemps de Jessie Pinkman, de Walter White (Heisenberg), de Gustavo Fring et du traffic de méthamphétamine qu'ils ont mis en place.

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Ici aussi, on se situe à un niveau atmosphérique. En cinq saison, la série se penche sur le crime et la drogue à Baltimore (au nord de Washington DC), en se penchant sur ceux qui la vivent au quotidien : dealer de rue, toxicomanes, policiers, parrains de gang, politiciens, dockers, professeurs,... Écrite par un ancien policier et un sociologue, le meilleur adjectif que je puisse lui donner est "intelligente" (sans oublier d'être éminemment addictive).

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J'aime les fiction ayant pour thème l'espionnage, en général. Dans Homeland, ce thème prend une dimension supplémentaire : celle de la lutte des civilisations entre islamisme radical et hégémonisme américain, dont le 11 septembre est la manifestation la plus visible. De plus, les personnages sont fascinants : l'agente de la CIA souffrant de troubles bipolaires est touchée par la passion amoureuse envers le héros nationnal qu'elle soupçonne d'être un agent à la solde d'Al-Qaida. Le synopsis promet le meilleur. C'est réussi!

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J'ai essayé de convaincre tout mes amis de regarder cette série. Pas un seul n'a daigné ouvrir un tant soi peu son esprit. Tant pis, je garderais la perle pour moi, et serais donc le seul à apprécier à leur juste valeur ce petit moment décalé, drôle et sensible. La série parle de deux néo-zélandais un peu indolent qui débarquent dans la grosse pomme pour enfin trouver la gloire qu'ils méritent (ou pas). J'ai vraiment adoré!

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J'ai remarqué que les séries anglaises, souvent, sont plus fines, plus poétiques et dans un tout autre esprit que leurs homologues américaines. Tandis que les secondes vont avoir les moyens de leurs ambitions et remplissent (parfois) leurs contrats à la perfection, la vision d'une série britannique me laisse toujours un petit peu perplexe - pour ma plus grande joie. Qu'est ce que je viens de voir, exactement? C'est mon sentiment alors que je viens de terminer la première saison de Hit & Miss.

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N'en déplaise à certain, j'ai adoré cette série. Bien sur, c'est adolescent, de mauvais gout et revanchard. Bien sur, il faut accrocher à l'humour particulier. C'est justement ce qui me plait - ils sont plus impertinents que n'importe quel américain ne pourrait en rêver.

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Une histoire assez curieuse de personnage fragile face à une mystérieuse conspiration impliquant virus mortel, manuscrit, folie et tueurs psychopathes. Le tout servi avec finesse et dérision. Assez chouette!

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Ici, on est dans le show à l'américaine. Bienvenue dans la vie quotidienne d'un gang de bikers trafiquants d'armes - avec ses codes, ses guerres, ses problèmes, mais aussi l'histoire familiale du héros, pour le moins mouvementée.

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La mère de famille BCBG dans une banlieue tranquille américaine se met à revendre de l'herbe pour payer les factures. C'est la première série qui m'a prouvé que le format court pouvait être beaucoup plus addictif que le cinéma. A mi-chemin entre la comédie et le drame, on s'accroche très facilement aux personnages, qui touchent volontiers au pathétique.

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Si l'histoire fini par tourner en rond, que c'est clairement dans la suite de Friend, que c'est ultra-ultra-suivi et que le ton reste toujours très politiquement correct, les cinq premières saisons restent excellentes. J'en rigole parfois encore.

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Ici aussi, on est dans l'humour crasse anglais, la dirty old town de Bristol, la drogue, l'adolescence et la débilité. Et j'en redemande!