TOP 2012

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Un univers fantasque au sein d'un proposé naturaliste. HushPuppy est destiné dès sa première apparition à devenir un personnage culte du cinéma. Le premier film et premier chef d'oeuvre de l'année.

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Une caméra qui refuse de bouger et un montage au micro-mètre; sûr de la solidité de son dispositif, le jeune cinéaste semble convoquer Bresson et éprouve avec subtilité et intelligence son spectateur. Un grand moment de Cinéma.

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La méthode Sokourovienne s'immerge encore dans sa radicalité, l'ami Tarkovski n'est pas loin. BlockBuster d'auteur qui écrase tout sur son passage, la démonstration théorique servie par une technique audacieuse atteint de nouveaux sommets avec Maestria.

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Nolan, génie des super-capes clôt sa trilogie avec un talent monstre. Au Polar succède le film catastrophe, le trio de scénariste redonne ses lettres de noblesse à l'un des personnages les plus fascinants du Bat-univers. Plus loin, plus fort, du grand cinéma de studio.

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Provocant, irrévérencieux, le mauvais gaYrcçon du cinéma trouve un sujet fascinant à la hauteur de son talent et de la bêtise de ses contemporains. Equilibre, audace et univers total. Les québecquois ont un accent de merde mais eux au moins ont Dolan.

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Beau, poétique et pressé comme les amours d'enfance. La troupe de comédiens s'aggrandit, on pleure un bonheur dont on se souvient et Desplast livre sa plus belle partition de l'année. On regrette quand le film se termine comme on regrette la fin des vacances de Noël.

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La caméra d'Andrea Arnold reste toujours aussi érotique et la tension sexuelle vit au sein de chacun des plans. Le travail de Robbie Ryan met au service du film un attirail impressionnant, adaptation hyper-contemporaine d'un livre classique, cas d'école.

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Hosoda est le véritable fils spirituel Miyazaki et Kon. Il répond aux attentes qu'il a suscité chez son public par un chef d'oeuvre écologique et familiale à la structure classique dont les personnages avancent vers le même point: se construire.

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Jacques Audiard est un découvreur de talents. Tahar Rahim, aujourd'hui Mathias Schoenaerts. Stephane Fontaine propose de montrer à la profession comment se servir d'une RED Epic et le film tient malgré la simplicité de son histoire.

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Une actrice habitée et incroyable dans l'un des univers filmiques contemporains les plus fascinants. Montage au scalpel, caméra affolée, Mendoza est clairement l'un des modernes les plus talentueux.

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Coppola confirme un retour en très grande forme malgré des choix esthétiques très...Personelles à certains niveaux. Ce cinéma rajeunit et s'accepte de nouveau.

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Fraicheur, réalisme... Le film pue Paris transporté par des comédiens à la même odeur, de beaux personnages qui nous montrent chacun une belle histoire individuelle.

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Hatters gonna hate... Et parce qu'ils n'ont que ça à faire. Chef d'oeuvre s'éloignant de son inspiration sans l'oublier, la direction artistique est impressionnante, on est ravi de retrouver Gieger et on espère que Scott nous amènera plus loin.

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BOUM! Ca pète de partout, les caractères sont exploitées pour ce qu'ils sont et c'est bien ainsi, Ruffalo séduit en Hulk et le Fury Black façon Grant Morisson est une réussite. Mention - à Scarlet Veuve Johanson, nulle et aussi inutile que son personnage...

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McFarlane est aussi génial sur Long qu'il est mauvais sur ses séries. On pleure du début à la fin en croquant les pépites d'humour Pop parsemant le film. +1 Whalberg rigolo.

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Mungiu fait ressentir la bêtise d'un certain obscurantisme par le temps et la répétition. Les comédiennes sont renversantes et la mise en scène en rien en reste.

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Le vieux Friedkin se montre facétieux et brutal. Rires et écoeurements au programme et le vieux Briscard prouve une nouvelle fois qu'il va continuer à surprendre.

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FIncher montre comment faire un film captivant avec une intrigue qui ne retient que peu, faire du personnage féminin la véritable raison du scénario. Rooney Mara illumine.

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P. Jackson ré-emmene son public en terre du milieu, la méthode ne varie que subtilement et on retrouve avec bonheur l'univers à l'écran, le truc en plus, nous documenter sur certains aspects de la trilogie précédente.

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La mise en scène confirme que Vinterberg est plus un réalisateur qu'un scénariste, mais l'écriture suffit ici à tenir le film et le réalisateur comme à son habitude transmet une colère qui s'étouffe dans chacun des plans.

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Siri livre un Biopic formidable sur un personnage trouble et ses obsessions. Le film passe comme une ligne de bonne coke et remet au gout du jour un talent injustement trop vite ringardisé.

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Film hybride entre Mockumenteur, teenage movie naturaliste et comédie assumée, le film emporte, il se termine on sort et rentre un peu déçu de ne pas avoir alors cassé plus de choses...

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Féerique et magnifique, aussi improbable que cela paraisse, DreamWorks subit et semble enfin délaisser ses gros sabots pour trouver un peu de poésie. On est pas encore dans la hauteur de "up" mais c'est prometteur...

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Erotique et lent, Jacquot impressione de nouveau avec une palette nouvelle.

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Michel Hazanavicius est immense. Immense cinéphile, immence cinéaste. Il se murmure que son cinéma va encore prendre de l'ampleur... Des prix enfin mérités et on est pour une fois content d'être français.

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Enorme. Le film s'assume autant que ses comédiens se moquent d'eux avec plaisir. On s'amuse avec eux d'un bout à l'autre.

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Cronenberg en forme livre un grand film de dialogue et un Patintson surprenant. On regrette tout de même le travail malheureux de Schuchitzky avec la Alexa...

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Une franchise nulle mais un film terrifiant qui se clôt avec une virtuosité horrifique géniale. Plaisir.

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Ca fait très très peur. On regrette une fin brouillonne qui perd toute la tension cumulée mais le reste est très beau, c'est vraiment une belle surprise dans le monde de l'épouvante.