Top des films les plus surcôtés

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Le problème que tout le monde refuse d'admettre est que le scénario de ce film est nul. Point barre.
Expliquez-moi pourquoi Gabin et ses potes veulent s'enfuir des camps de prisonniers alors qu'ils sont traités comme des rois ? C'est à se demander si Renoir a vraiment été soldat ! C'est un camp de prisonnier ou le Club Med ? Grandes chambres, meubles, colis, spectacles, droit de sortir la nuit...Et moi qui croyait que les Allemands avaient la réputation d'être stricts et organisés !
Et ça creuse, ça creuse...oh lala...Cet humanisme patriotique à deux francs cinquante, quelle plaix !

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Non seulement je n'aime pas ce film mais je ne comprends pas non plus l'engouement pour ce film.
Je n'y ai vu qu'un repompage gore, chiant et maladroit de "The Wicker Man". Ce n'est ni angoissant, ni intéressant ni quoi que ce soit, ce sont juste plus de deux longues heures peu créatives.

Ah, on me dit que le film serait effrayant car on voit tout. Eh bien, sachez que percevoir l'horreur de manière frontale est le propre du cinéma horrifique depuis bientôt un siècle ! Il serait peut-être temps de se mettre à la page ou d'essayer d'autres choses.

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C'est ça le chef d'oeuvre horrifique des années 60 ? Ce truc super prévisible, chiant comme la pluie et caricatural ? Et bah putain, c'est probablement le film d'horreur le plus chiant que j'ai vu de ma vie ! Comment Polanski a fait pour faire quelque chose d'aussi soporifique et cliché avec une idée de base aussi intéressante ?

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Il est temps que vous compreniez, Carpenter n'est pas intouchable. Ouais, vous avez vachement envie de m'insulter là hein ?

Sincèrement, je ne comprends pas l'engouement autour de ce film. C'est basique, trop rapide et presque stupide par moment. Le personnage principal n'est ni sympathique ni classe, les scènes d'action ne valent pas grand chose, Snake avance dans le récit comme si il changeait d'une case de BD à l'autre, sans grands rebondissements ou tension. Un film d'action vide, qui aura le mérite de nous offrir de nombreux plagiats et nanars qui auront presque plus d'intérêts par leur créativité et leur idiotie.

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On m'a beaucoup critiqué pour ne pas avoir aimé ce film. C'es la raison pour laquelle j'ai décidé d'expliquer ce qui me déplaisiat dans chaque film de cette liste d'ailleurs. Le film tourne autour d'un concept simple mais qui n'arrive pas à être exploité correctement. Je pèse mes mots, le seul vrai bon moment du film est quand le héros trouve les lunettes et qu'il réalise qu'il y a des extraterrestres autour de lui. Le reste est un enchaînement de scènes de fusillades pauvres et de "révélations" dont on se fout complètement. Pour un avis plus détaillé, je vous invite à lire ma critique sur le sujet.

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L'incarnation même de tout ce que je déteste dans les Westerns classiques.

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"L'Exorciste" fait partie de ces films "cultes" facilement démontables. Outre les deux trois passages choquants et crados, il n'y a pas grand chose à garder. C'est très mal rythmé, pas intéressant et ça manque d'un liant entre les éléments. Quel est le rapport entre les fouilles archéologiques en Irak et la petite Regan ? Concrètement, aucun, ils ont été reliés avec un peu de fil de pêche pour ramener le vieux prêtre à la fin.
Le film incarne parfaitement "l'horreur racoleuse" des années 60 et 70, c'est à dire des oeuvres inutilement choquante qui surfent sur un important box-office uniquement car ils traitent de sujets tabous, tout en ayant un propos inexistant.
Enfin bref, c'est pas angoissant et inutilement choquant. Et ces slogans à deux francs cinquante sur l'affiche : ça va les chevilles ? Vous êtes sûr de pas vouloir prendre un peu de recul quand-même ?

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On m'a vendu un monument de la comédie horrifique, je me suis retrouvé face à un remake/suite pas assumé du film de 1931.
Quand je pense à Mel Brooks je pense à une avalanche de gags, mais là il y a rien ! C'est essentiellement le même film que celui de 1931 sauf que Gene Wilder incarne le petit fils du baron von Frankenstein ! L'essentiel des blagues repose sur des remarques sur l'anatomie de la créature et deux trois running gags. Il n'y a que Marty Feldman en Igor qui sauve le film de la catastrophe, mais à part ça je n'ai rien trouver de fantastique au film.
C'est une parodie trop sage et longuette. C'est peut-être excusable du fait que c'est l'un des premiers films du réal. 'Fin bon...

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Rien de transcendant. En général, Klaus Kinski incarne toujours des personnages géniaux, mais là il est juste un méchant pas terrible. Le héros n'est pas attachant, il n'est pas mystérieux comme d'autres cowboys de westerns spaghetti, et il meurt comme un caca à la fin. Oups, j'ai spoilé.

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Longuet et pas très effrayant, avec des personnages qui parlent et qui parlent...Et la musique qui s'arrête jamais...

Ah, et pour la quarantième fois, NON, Romero n'a mis AUCUN message politique dans son film. Ni celui-ci, ni les deux autres de la saga.

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Je n'aime pas les films sur le harcèlement. Probablement parce que ça me rappelle une période obscure de ma vie, mais surtout parce que je trouve ça toujours très cliché et exagérée.
"Carrie" en est un bon exemple. L'héroïne se fait bollosser sans aucune réelle raison, absolument tout le monde autour d'elle est un connard, sa mère chrétienne est ridicule, et je n'ai vraiment pas eu pitié pour elle. Tout comme "Salem's Lots", la narration est très caractéristique de Stephen King : un long cheminement où il ne se passe pas grand chose et une fin où tout se réveille. Ce genre de développement marche bien dans un livre, mais pas au cinéma.
Et outre l'histoire et la narration, je n'ai pas été transcendé par la réalisation. La scène finale avec les écrans splités est bordélique et le plan où les deux tourtereaux dansent m'a presque fait gerbé. Pas ouf DePalma, pas ouf.

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Film adulé par les gens de mon âge, ce film est pour moins typique du syndrôme du "Moulage de Pâques". J'explique.
De la même manière qu'un moulage de Pâques en chocolat, l'extérieur est très joli. L'oeuf a de beaux détails et il donne grandement envie d'être mangé. Mais une fois ouvert....c'est vide !
Quel est le propos ? Il est impossible de changer ? Ce ne devrait pas être la morale inverse dans un film pour gosse ?
Malgré l'abondance de chansons et de décors, presque aucun personnage n'est développé. Même Jack, il est difficile de savoir si il veut simplement répandre la joie de Noël ou simplement foutre le bordel tant ses propos semblent incohérents d'une scène à l'autre.

Enfin bref, l'exemple type du film très joli mais creux.

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Au début, tout allait, jusqu'à la fameuse scène de viol (quoi soit disant passant n'a rien d'extraordinaire).
Je trouve idiot que les protagonistes cherchent à se venger, ça les mets dans une position de force qui les rend plus forts que leurs adversaires. Or, ce qui rendait l'intrigue intéressante, c'était de voir quatre types dépassés par les évènements dans un milieu hostile !
La fin aussi, qui s'étire vers l'enquête, n'est vraiment pas utile. J'aurai préféré voir une conclusion ouverte ou un cliffhanger plutôt que de suivre cette espèce de quête de vérité.

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On ne pourra pas retirer à Zulawski l'incroyable originalité d'un tel projet, et il est regrettable de voir comment le gouvernement polonais la lui a mis à l'envers.
Cependant, malgré les trous dans l'oeuvre, il faut admettre qu'il y a déjà des trous dans l'oeuvre restante. Je pense notamment à un scénario trop compliqué et incohérent (même avec tout l'amour du monde, deux humains ne peuvent pas créer toute une civilisation), et évidemment, ce que je pourrais reprocher à 60% des films d'Europe de l'Est que j'ai vu : c'est beaucoup, BEAUCOUP trop verveux.
Les dialogues ne s'arrêtent jamais, et surtout, ils sont creux. Je n'ai rien contre la cabotinage et la théâtralité, mais le film est vide de tout propos, si ce n'est des personnages qui passent leur temps à se plaindre. Et le problème c'est que cet abus de dialogues impactent les images : il est impossible de profiter des décors et des choix visuels puisqu'on est sans cesse en train d'essayer de mettre en ordre ce puzzle de mots fanfarons.
J'ai pardonné à Tarkovski, et à "Stalker", mais il est peu probable que je donne une seconde chance à "Sur le globe d'argent". Ce que Zulawski n'a pas compris contrairement à Tarkovski, c'est que parfois, le film est bien plus intéressant que les personnages ferment leur gueule.
Une oeuvre épuisante, qui perd lentement sa saveur au fil du temps, tant non seulement le récit est dur à suivre, mais en plus, tout ne semble devenir qu'un foutoir ridicule.

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Si j'ai beaucoup aimé la fin et son retournement de situation, tout le long est assez pénible, limite inintéressant.
Les villageois sont des archétypes, il n'y a pas de tension, et ne parlons pas du personnage principal qui est l'un des plus gros connards que j'ai pu voir en tant que protagoniste ! On parle quand même d'un type qui revient d'entre les morts pour chercher sa vengeance et qui en profite pour abuser de la naïveté des riverains.
Les méchants aussi, qui sont présentés comme de vraies terreurs mais qui en fin de compte n'ont que l'allure de bandits déjà vu mille fois dans des westerns.

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L'idée de base est sympa mais ça reste un film pauvre et maladroit. Les majorité des personnages ne sont pas développés et les chansons sont pas terribles. Le fait que Grand Corps Malade double un personnage censé avoir douze me fait rire rien que d'y repenser.

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Dis donc Tobe, il fait pas peur ton film dis moi. Serait-ce parce que ce bon vieux Steven détenait la bourse ? Possible.
Je m'attendais à un film d'horreur, on m'a offert le train fantôme de Disney Land. Malgré une certaine originalité c'est vraiment pas effrayant et subtil. On dit pas non à un ou deux jumpscares des fois.

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Je ne vais même pas rentrer dans le débat sur l'authenticité objective du documentaire. Ça me fatigue rien que d'y penser.

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Ce film ne fait pas vraiment honneur à la nouvelle qu'il adapte.
Bien sûr, notre cher Jean Epstein n'a pas pu s'empêcher de changer l'histoire, ce qui crée des incohérences. Au début il y a une histoire avec un portrait qui semble magique (à croire qu'il s'est trompé de livre), mais sur la fin ça redevient à peu près comme le récit original, et on oublie l'histoire du portrait. En plus de ça le film s'étend sur des éléments pas toujours utiles, quite à rajouter des incohérences, et Epstein ose terminer le film sur une note positive ! Une histoire de Poe qui se termine bien ?! Sacrilège !

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Certes novateur et unique pour son époque avec sa violence et sa mécanophilie brutale, le premier "Mad Max" est en fait un sombre nanar qui fait plus pitié que bander.
Les vingt premières minutes sont cools, après ça devient tout et n'importe quoi. Il faut choisir un peu ! C'est "Kill Bill", "Les Nerfs à Vif" ou "Judge Dredd" ? Difficile de savoir si ça veut sérieux, sarcastique ou badass...
Et oh lala comme c'est bruyant ! Des pneus qui grinçent, des moteurs qui vrombissent, des bébés qui pleurent, des gens qui crient, une bouillie orchestrale qui s'arrête jamais...Imaginez voir ça au ciné, ça vous rend sourd en seulement une heure et demie !
Et c'est dommage parce que ça commence plutôt bien et que c'est esthétiquement plutôt sympa. Enfin bon, au final ça reste un film de vengeance mal écrit qui tient à peine la route grâce à certaines scènes de bagarre.

Fatpooper a complètement saisi ma pensée : https://www.senscritique.com/film/mad_max/critique/1848898