Top plaisirs coupables

Annotation :

Sale et d’une vulgarité sans nom, Crank 2 repousse toutes les limites avec une énergie et un enthousiasme contagieux.
Je prévoyais un avenir flamboyant au duo Neveldine / Taylor, mais hormis l’adaptation de Ghost Rider, ils n’ont plus fait grand chose alors que franchement, niveau mise en scène de l’action, c’est autre chose que les frères Russo. Difficile à placer dans un top 100 de tes films préférés, il est parfaitement à sa place ici, comme une partie de la filmo du génial Jason Tatane d’ailleurs.

Annotation :

Russel Crowe possédé par le démon dans ce thriller d’une brutalité sans nom.
Le parangon du pur kiff plaisir coupable.

Annotation :

Vous vous souvenez de l’époque où Dwayne Johnson se faisait encore appeler The Rock et ne voulait pas mettre Hollywood en coupe réglée tel un dictateur africain qui maîtrise son image dans les moindre détails ?
C’était l’époque de Tolérance Zéro, Bienvenue dans la jungle, Faster et autres films de castagne à la cool. Sa meilleure époque. Et puis ce duo avec Johnny Knoxville, quel kiff !

Annotation :

En anglais je sais pas, mais en français, un pur plaisir coupable en bonne et due forme avec des répliques de l’espace qui en font presque une comédie tant le perso de Clubber Lang est over the top.

Annotation :

D’une nullité abyssale au point que tout ce qu’on en retient c’est la veste en cuir de Michelle Pfeiffer et le Gangsta’s Paradise de Coolio.
Et pourtant je le revois toujours avec un plaisir suspect

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Fut un temps où tous les prétextes étaient bons pour entendre ne serait-ce que quelques notes de rap US, y compris regarder Save the last dance régulièrement en développant un petit crush pour Julia Stiles. J’assume.

Annotation :

Je connais trop de répliques par coeur de The Substitute pour ignorer que je l’ai vu plus que de raison. Ni fait ni à faire, je me suis pourtant encore laissé happer par une énième redif sur une chaîne poubelle de la TNT pas plus tard que la semaine dernière

Annotation :

Au sortir de l’adolescence, j’avais quand même des goûts complexes. Et ça, c’était la plus belle histoire d’amour jamais écrite pour moi.
Pas vu depuis longtemps, mais affection au max. Kirsten Dunst est au top.

Annotation :

Je l’ai mis dans ce top sous l’influence de ses nombreux contempteurs qui en font un film d’une nullité abyssale. C’est certes pas très beau et parfois un peu curieux mais ça a le mérite d’être créatif et de revenir à une époque où la SF n’était pas que grise et catastrophiste. Respectons les créateurs d’univers !

Annotation :

A sa sortie en salles, je l’ai vu 3 fois en le défendant comme un chef d’œuvre qui s’ignore et qui ne tarderait pas à être réhabilité. Force est de reconnaître que je me suis planté. Porté par un The Rock tout en économie de mots et en violence pure, Faster reste pourtant un parfait petit plaisir coupable du samedi soir à 23h, quand t’es tout seul dans le salon et que t’as pas envie d’aller te pieuter.