Une grande scène pour un film

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Une évidence: la scène du braquage. Exemple de minutie, un travail appliqué où le virtuose du personnage de Montand contraste avec la sobriété de la scène.

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Une scène de course-poursuite dans les égouts labyrinthiques et sombres

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Cette scène en noir et blanc, comme un rêve, où les personnages dansent avec grâce. C'est beau, surréaliste

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La déambulation des anges dans la bibliothèque de Berlin. Un moment suspendu, contemplatif. Comble de la poésie de Wenders

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La scène finale du film. Toto adulte regarde la bobine que lui a légué le défunt Alfredo, son père spirituel.
Jacques Perrin, Ennio Morricone, les baisers censurés du cinéma des années 30. C'est magnifique. J'ai pleuré, ils sont peu à avoir réussi.

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La mythique scène du duel dans le cimetière, la tension de Leone rendue épique par Morricone. 3 gros plans sur les visages, puis la violence interrompt la musique. Fabuleux

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Autre sorte de tension, celle-ci fait office d'ouverture (+ de suite à l'œuvre au-dessus). Leone prend tout son temps, ~10min de construction silencieuse, de gros plans, d'observation. Jusqu'à l'arrivée du train, et là encore, les armes répondent au silence

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La plus mythique entrée d'un acteur, autant dans un film, qu'ici, dans l'histoire du cinéma. Robert de Niro, au ralenti, dans une lumière rouge, sur le Jumpin' Jack Flash des Stones. J'étais bouche bée.

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La réunion du personnage de Pierre Fresnais, avec les anciennes victimes de la malédiction. Un moment surnaturel, un banquet morbide et fascinant, sur fond de flashbacks d'un style expressionniste

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LA partition de Patrick Dewaere. Son premier plan, l'intro du film, jouant du air-saxophone sur la musique s'échappant de la radio de sa voiture, au milieu d'un terrain vague.

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Le face à face, un des plus grands du cinéma. La scène du restaurant et ses tirades, par coeur, récitées à chaque visionnage du film

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Il y en a plusieurs mais chacune de ces scènes de musique, dans le salon de Biswambhar Roy, est hypnotisante. Tout en longueur, Ray y prend son temps, filme tout, les riches spectateurs, le luxe que l'on sait éphémère et faux, et les musiciens. Des scènes irréelles

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L'ultime plan, ce personnage chimère, symbole, la vengeance des freaks sur leurs tortionnaires. On se demande qui est "freaky" à présent?

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L'ultime scène, comme un ultime espoir que les 2 personnages s'aiment et partent ensemble. L'attente au feu, le clignotant signifiant la fin et le départ chacun de son côté. C'est déchirant, j'ai pleuré bordel

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Ce film regorge de beauté et de scènes marquantes, mais c'est son générique qui marque. L'uppercut est réel, ce traveling sur un cimetière et la ville sur le Jockey full of Bourbon de Tom Waits.
Jarmusch, c'est la grande grande classe

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Difficile d'en choisir une
Entre la scène où Noodles observe, à travers un trou, Dorothée danser (sur le thème de Morricone, la plus belle des musiques de films).
Le terrible "Noodles, i slipped" (sur la flute de pan de Morricone)
"Le test des pénis"
La réunion de Noodles et Max
Ou bien sûr, cet ultime plan sur De Niro souriant à la caméra, dans le salon d'opium

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Une évidence, Gene Kelly amoureux, dansant sous la pluie. Une des plus iconiques scène du cinéma mondiale
"I'm happy again"

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L'exécution par strangulation d'un résistant trop gênant. D'une sobriété et d'un réalisme, dans l'émotion, le son et le jeu. A couper le souffle (lol)

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Le choc du choix de Max, de tuer son supérieur pour protéger la femme qu'il aime. Une grande scène de fin, l'homme au visage de fer (Max) qui laisse percevoir ses émotions, par le canon fumant de son colt chp

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La rencontre avec une entité, un fantôme tisseur qui prédit l'avenir et le destin funeste de Taketoki Washizu (joué par Toshiro Mifune). La voix étrange de l'esprit et la brillance de la scène, un moment suspendu autant pour le film que pour nous

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Y a que ça dans ce film mais je vais choisir le moment dans la chambre d'hôtel de Scottie, où Madeleine est 'recrée'. La folie amoureuse, la lumière verte et la présence fantomatique du personnage de Madeleine. C'est brillant, 2 histoires en une

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La scène du concours de danse m'a toujours fascinée, c'est beau, énergique, drôle. Travolta semble flotter sur le sol, le type pouvait bouger avec une incroyable facilité

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Ultime moment de la traque de Steve Zissou et son atypique équipage, Starálfur de Sigur Rós avec le requin-jaguar tout en lumière, et l'émotion qui prend le capitaine. Sublime

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La séquence d'exécution, longue, étirée, oppressante, déchirante, esthétique. Tout ce qu'il faut, avec ces tambours incessants, bruit sourd comme un bourdon.
Puis, le repas des 2 hauts gradés se félicitant du très bon déroulement de cette exécution, à quelle point celle-ci était plaisante, félicitant même les 3 fusillés.
Kubrick montre la cruauté et l'injustice, la pourriture humaine, comme peu l'ont fait.

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L'arrachage de poils de torse de Chuck Norris par Bruce Lee, c'est pas n'importe quoi