Une histoire sans fin

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La prévisibilité et les clichés étant des défauts aujourd'hui ancrés dans les codes de la comédie romantique, il ne restait à The Ugly Truth qu'une seule carte à jouer : celle de son humour. Le duo Butler-Heigl fonctionne bien, les gags font quelquefois mouche, l'abominable naufrage tant redouté est donc évité.

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Diaboliser la banlieue pour mieux la défendre, en voilà une idée intéressante ! Engager des non-acteurs pour camper les rôles principaux, quelle ingéniosité ! Créditer Tonton Luc Besson au générique, il fallait y penser !

Minable.

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Si la morale du premier volet laissait transparaître un arrière-goût démago fort questionnable, cette suite enterre définitivement le moindre doute possible. Racisme, homophobie, justification de la violence, voilà les ambitions de cet Ultimatum. Ne voyant pas en Luc Besson l'incarnation du Mal absolu, je préfère foutre ça sur le compte de son incompétence - ceci ne pardonnant évidemment pas la dangerosité de sa stupidité.

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Sans condescendance aucune, Sofia Coppola dresse le portrait ironique d'une jeunesse insouciante bercée dans la superficialité d'un monde d'or et de paillettes. Imparfait, certes, mais efficace tout de même.

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Blood Father n'apportera rien de neuf nulle part si ce n'est dans la filmographie du génial Mel Gibson. Reste un divertissement assez efficace malgré pas mal de lourdeurs.

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L'Islande est un pays merveilleux.
Malheureusement, la magnificence des décors ne peut compenser l'absence totale d'écriture. Ou alors on songe à se reconvertir dans la photographie.

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Un personnage créé de toutes pièces largué au beau milieu de la bêtise réelle d'une certaine facette de l'Amérique. Autant documentaire que docu-menteur, Borat parvient à transformer de simples rushes de caméras cachées (et donc imprévisibles par definition) en une histoire cohérente et intelligente. Et c'est drôle. Mais ça fait quand même un peu flipper.

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Un drame gothique en rouge et noir frappé par le décès brutal de son interprète principal sur le tournage d'une scène, tragédie d'autant plus marquante qu'elle renvoie directement aux thématiques d'amour éternel et d'immortalité dans les souvenirs développées dans ce film. De la simplicité candide de son histoire jusqu'à la noirceur désespérée de son traitement, de sa beauté tragique jusqu'à la violence de ses scènes de combats, The Crow parvient à décrocher son objectif : celui de s'imposer comme un véritable poème filmique.

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Le spectateur se prend en pleine gueule la futilité de cette série d'enfoncements de portes ouvertes moralisateurs.

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Quand on brade à 140 millions de dollars un film qui aurait dû en coûter le double, voilà ce qu'on obtient : un nanar mythologique aussi foutraque qu'une notice Ikea en hiéroglyphes.

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Un regard différent sur la guerre du Vietnam, loin des mitrailleuses et des bombardements habituels, porté à bout de bras par un Robin Williams sensationnel.

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Comme on dit souvent : c'est pas la taille qui compte, mais la manière de s'en servir. Gravity aurait pu en avoir une grosse que cela n'aurait strictement rien changé au résultat.

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Une histoire horrible enrobée d'un délicieux glaçage rose bonbon qui nous donnerait presque envie d'en rebouffer éternellement. Rien d'autre à souligner, si ce n'est la perfection absolue de ce long-métrage.

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-3 pour cette fin atroce (et un peu aussi pour Maïwenn). Des lumières somptueuses, une mise en scène savoureuse, un direction artistique à couper le souffle, Haute Tension avait tout pour lui (sauf Maïwenn). Mais à trop vouloir porter le tensiomètre au-delà des frontières raisonnables du twist improbable, on risque de voir sa course stoppée nette sur le câble dénudé de la ligne à haute tension (subtil). Tout était pourtant si (presque : Maïwenn) parfait.

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Comédie puérile pour futurs beaufs. Idée intéressante mais traitement lourdingue.

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Bien-pensance et victimisation au menu.
À ce prix-là, autant commander un jambon-beurre.

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Une comédie intelligente, drôle et joyeusement anticonformiste. Un modèle du feel-good movie.

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Une déconstruction brillante du rêve américain. Un chef-d'oeuvre.

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Un téléfilm Disney Channel dans toute sa médiocrité. Et qu'on vienne pas me parler de cinéma.

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Une comédie terriblement avare en intérêt. Blague surfaite pour un film qui l'est tout autant.

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Barry Levinson signe un road-movie poignant, à la fois drôle et touchant sans pour autant basculer dans la moquerie ou le misérabilisme. Hoffman est juste incroyable.

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Ovni bouffonesque sorti tout droit de l'ignorance de ses créateurs, cette propagande anti marie-jeanne relève bien plus du nanar que du film éducatif, à la seule exception près que le spectateur rira de sa stupidité, et non de sa naïveté.

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Ce n'est pas qu'un film sur la drogue. C'est un film sur toutes ces putains de solutions miracles, ces fabriques à faux-rêves qui entretiennent l'illusion du bonheur juste le temps de pouvoir nous fourguer leurs allers simples non remboursables direction les cauchemars. Et c'est bien fait.

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La Route est un film purement contemplatif qui s'appuie sur son ambiance, ses décors et ses acteurs plutôt que sur la complexité de son scénario. Une belle réflexion sur la peur, sur le pouvoir qu'elle exerce dans le processus de déshumanisation progressif de ceux qui s'y laissent emporter trop profondément.

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Du cul, du cul et encore plus de cul. Entre les décors de Star Trique et les moulinets de chibres lasers, préparez-vous à un voyage interstellaire dans les confins de la galaxie sexploitation.

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Une histoire de merde, une direction artistique à chier et des personnages minables. Même le film des années 60 paraît moins ridicule.

Annotation :

Un fermier qui copule avec une truie et qui bouffe des excréments.
Pas mon délire.