Vu ou revu en 2018

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01/01 (revu) : Je termine un cycle HP entamé en fin d'année 2017. Même avis qu'à la lecture du bouquin ou qu'après le 1er visionnage du film. Cette fin n'aurait pas du exister. Jamais.

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02/01 (sortie 2018) : Un honnête biopic qui en fait sans doute un peu trop.

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03/01 (cycle J. Gray) : Un point de départ intéressant et quelques beaux effets de mise en scène mis à part, c'est un drame qui sonne assez creux.

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04/01 (rattrapage 2017) : Touchant mais assez pénible ; et surtout beaucoup trop proche du documentaire (manque d'un fil directeur) pour être un grand film.

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05/01 (Cinémathèque - cycle S. Fuller) : La guerre racontée par quelqu'un qui l'a vécue. L'horreur est filmée sobrement. Pas de souffle épique, les soldats sont des zombis qui se traînent jusqu'à leur objectif. Sans doute pas le film de guerre indispensable mais plein de qualités.

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07/01 (cycle S. Spielberg) : Dommage que cette comédie satirique, genre assez rare chez Spielberg, soit aussi plate et redontante.

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09/08 (rattrapage 2017) : Evite les poncifs du biopic pour narrer une période de trois jours, décisive dans la création du mythe Kennedy. Des qualités évidentes mais le film reste malgré tout assez plat et froid.

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11/01 (cycle Himalaya) : Un film d'alpinisme divertissant qui alterne le très bon avec des plans magnifiques en vue subjective, et l'oubliable avec beaucoup de mièvrerie dispensable...

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13/01 (Cycle S. Fuller - raté à la cinémathèque, rattrapage maison) : La misère et la déchéance d'un homme qui tue par amour et devient craint par celle qui l'aime. Le propos est intéressant, la forme un peu plus banale.

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13/01 (Cinémathèque - Cycle S. Fuller) : Une belle plongée dans l'univers de l'hôpital psychiatrique, qui rend fou autant qu'il soigne. Comme pour Jesse James, le propos est passionnant, certaines scènes sont très poignantes mais j'ai trouvé dommage que les ficelles servant à résoudre l'intrigue soient aussi grosses.

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14/01 (Cycle 007) - "M. Bond, vous allez devenir Japonais et recevoir un entraînement de Ninja". Ah... Les mêmes défauts qu'on retrouve dans presque tous les Bond avec Connery (Goldfinger à part), sauf qu'on atteint un niveau de cliché et de n'importe quoi assez inédit. On passe d'une intrigue potentiellement intéressante à un film qui suscite le désintérêt dans sa partie finale.

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14/01 (revu, longtemps après) : Je sais que c'est nul mais ça marche avec moi, et je ne me vois pas mettre en dessous de la moyenne...

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14/01 (rattrapage 2017) : Une belle reconstitution historique qui manque un peu d'audace et qui est desservie par certains acteurs qui ne sont pas au niveau. On regarde comme on lirait un livre d'histoire.

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14/01 (Cinémathèque - Cycle S. Fuller) : Tout marche dans ce film, un bon scénar, de bons acteurs, un bon réal, un bon chien (!), qui ne traine pas en longueur et ne tombe jamais dans la facilité. Et en plus Morricone qui fait la BO, c'est la cerise sur le gateau !

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14/01 (revu - cycle S. Spielberg) : Spielberg lance sa carrière après deux films de course-poursuite un peu redondants. Un film plein de tension qui a plutôt bien vieilli grâce à l'utilisation du hors champ.

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15/01 (sortie 2018) : Je ne suis pas friand de biopics mais celui-ci est raconté comme il faut. On se concentre sur une courte période, on raconte l'histoire dans l'ordre et on évite d'enrober le tout de traumatismes d'enfance, de rise & fall... Le tout est servi par une réalisation propre et une performance excellente de Gary Oldman. (Un bémol : j'ai quand même toujours l'impression que ces films, aussi bons qu'ils soient, ont pour seule fonction de permettre à un acteur d'obtenir un oscar)

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17/01 (rattrapage 2017) : Un biopic assez oubliable qui se repose beaucoup trop sur des effets de mise en scène pour tenir le spectateur en haleine

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20/01 (sortie 2018) : Le genre "comédie dramatique" trouve ici son parfait représentant. Toutes les émotions y passent. Parfaitement interprété, rythme, tourné... premier coup de coeur de l'année. Digne d'un très bon film des Coen.

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21/01 (sortie 2018) : Les potentialités offertes par le pitch me semblent sous-exploitées. Des thèmes graves s'insèrent dans un film beaucoup trop léger qui ne sait pas trop où il va. C. Waltz pas gâté par un rôle à accent ringard.

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21/01 (revu) : Parce qu'il me faut bien ma dose annuelle de George Abitbol.

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24/01 (Cinémathèque - Cycle Odysée de l'Espace) : Film assez austère qui semble pourtant avoir servi de mètre étalon en matière de SF spatiale. Ça regorge d'idées géniales mais ça reste trop plat. On retiendra quand même le propos intéressant et quelques fulgurances !

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26/01 (sortie 2018 - Cycle S. Spielberg) : Un film qui n'existe que pour son sujet mais qu'il n'arrive pas à sublimer. Le film a tellement peu à dire qu'il se mue en fable féministe pour se donner un peu d'épaisseur en collant à l'actualité. C'est très fade, sans enjeu puisqu'on connait la fin et que la pression de Nixon est très mal retranscrite... Bref, c'est raté, loin des Hommes du Président. Mention spéciale à la BO de John Williams, complètement à côté de la plaque.

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27/01 (Films et jeux vidéo) : Un navet assez affligeant qui laisse penser que finalement, on a fait des progrès niveau adaptations de jeux vidéo (même si c'est pas encore ça). A côté de ça, le Tomb Raider prévu pour 2018 ressemble à du caviar.

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27/01 (Films et jeux vidéo) : Un bon gros nanar signé Uwe Boll. C'est fascinant de nullité, sur le fond comme sur la forme. Tellement nul que ça devient intéressant à regarder.

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28/01 (Sortie 2018) : L'intérêt réside dans la partie procès (encore que, assez prévisible) et la performance de Diane Kruger. Pour le reste, les ficelles visant à provoquer tristesse, colère, surprise ou incompréhension sont tellement grosses qu'on peut difficilement mordre à l'hameçon.

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28/01 (rattrapage 2017) : Un petit film qui retranscrit parfaitement la condition agricole. Touchant.

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28/01 (Cinémathèque - cycle S. Fuller) : Un film noir efficace

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28/01 (Sortie 2018) : Un bon vomi de moralité et de bien-pensance sur fond de musique déjà ringarde en 2018. C'est malaisant. La La Land est passé par là et on veut surfer sur cette vague, mais c'est en voyant ce genre de film qu'on se rend compte que Chazelle avait réalisé un très gros travail l'an dernier.

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29/01 (T. Kitano) : Si on retrouve des éléments qui font la personnalité du cinéma de Kitano, l'ensemble reste brouillon en comparaison de ce qu'on trouve dans sa filmo ensuite. Bon, la VF dégueulasse n'a peut-être pas aidé.

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31/01 (Cinémathèque - Cycle S. Eisenstein - Ciné concert) : Deuxième tentative de voir ce film qui m'avait ennuyé il y a un an. Le contexte (un ciné concert avec accompagnement au piano) change profondément l'expérience. J'étais mieux concentré et forcément, ai pu mieux profiter du génie d'Eisenstein qui, malgré un format daté, propose une mise en scène extrêmement moderne.