#WatchingClassicsChallenge

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2019

Janvier 2019 (Sélection de Denis Ménochet)

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1/ Japon

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Une vie de chasako... (cf critique)

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Janvier 2019

2/ Philippe Noiret

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Janvier 2019

3/ Darius Khondji (directeur photo)

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Février 2019 (Sélection d'Andréa Bescond)

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1/ Ukraine

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Février 2019

2/ Sami Bouajila

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Ce n'est pas du cinéma indigne, puisqu'il parait sincère, mais mon Dieu que c'est faible, à tous les niveaux (même les comédiens, pourtant remarquables, sont en roue libre), en particulier en terme de mise en scène. D'ailleurs c'est bien simple, il n'y en a pas...

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Février 2019

3/ Valérie Deseine (mopnteuse)

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Curieusement j'aurai maintes et maintes fois reculé le moment de voir la dernière œuvre d'un réalisateur qui aura tant compté pour moi. Probablement par peur de le quitter sur une déception, ce film ne bénéficiant pas d'une cote exceptionnelle.

Et pourtant tout s'est bien passé, j'y ai retrouvé la petite musique au désuet charmant de Resnais, son amour des dialogues pétillants, du théâtre, de l'installation minimaliste, du vaudeville à la ronde mélancolique, et par-dessus tout des acteurs, qui plus que chez quiconque semblaient heureux d'être là, de faire partie de la « famille ».

Et moi aussi Monsieur Resnais, en retrait, sans que jamais vous n'en sachiez rien, j'ai jusqu'au bout eu le sentiment d'être de cette famille. Une sorte de cousin très très éloigné, mais que le cinéma aura rapproché par (votre) magie.

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Mars 2019

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1/ Israël

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Pour vous souhaiter un bon dodo, un grand cri d'amour pour ce film que j'avais complètement oublié de noter, et pour cette merveille qui me manque tant, Ronit Elkabetz.

Son talent d'actrice était reconnue, et ici elle livre encore une prestation renversante, mais il ne faudra surtout pas oublier qu'elle a laissé derrière elle en tant que réalisatrice (à quatre mains avec son frère Shlomi) une trilogie admirable que vient conclure ce "Procès de Viviane Amsalem".

Quelle force maîtrisée, quel œil aiguisé, quel sens du rythme, quel acte artistique et politique redoutable ! En reprenant à son compte le procédé à la Asghar Farhadi, on pense bien entendu immédiatement à "Une séparation", les deux réalisateurs nous font progressivement passer de l'état de témoin à l'état d'acteur et donc protagoniste, et c'est ainsi que tout spectateur sera contraint de vivre et subir, par instants même physiquement, cette descente aux enfers kafkaïenne.

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Mars 2019

2/ Vittorio Gassman

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Là je pense que je vais recevoir des cailloux car difficile de toucher à l'un des fleurons du néo-réalisme italien. Le genre comporte de telles merveilles que j'avoue avoir été surpris en découvrant ce film certes passionnant par son engagement politique, d'où on peut extraire 2-3 scènes absolument grandioses, mais dans l'ensemble terriblement outré, clairement fait pour plaire à un maximum de monde en usant de procédés pas fins fins fins. Le politiquement correct n'est généralement pas mon ami mais je n'ai pu m'empêcher de voir un problème moral de taille dans le fait d'utiliser les actrices comme des morceaux de bidoche dans une œuvre censée défendre leur condition sociale.

Si vous avez l'occasion de le revoir, regardez la posture de Silvana Mangano (choisie par Dino De Laurentiis, producteur du film, pour son physique), on entend presque De Santis hurler : « La poitrine plus en avant Silvana, toujours plus avant ». Et c'est rudement efficace, la preuve, durant le visionnage j'ai posé une question à ma moitié concernant le type de soutien-gorge utilisé. Et il y a plus discret, ou plutôt plus sournois, je me suis amusé à examiner comment la mise en scène se débrouillait pour dévoiler le plus de chair féminine possible, surtout au niveau des cuisses et des poitrines bien entendu, sans avoir l'air d'y toucher, uniquement par les axes de caméra, c'est fascinant.

Moralité : les ritals ils sont trop forts, déjà en 1949 ils envoyaient maman au cinoche voir un film social, et hop ni vu ni connu j't'embrouille, ils se rinçaient l’œil.

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Mars 2019

3/ Maurice Jarre (compositeur)

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Quel bonheur de revoir ce monument !!! On en parle toujours comme d'une fresque classique, et très peu de la folie qui s'en dégage. David Lean filme aussi bien les tourments de la nature que ceux de Rosy "Bovary", souligné par la composition déboussolante de Maurice Jarre, et ces 198 minutes paraissent en durer deux fois moins tant elles nous envoient loin loin loin.

Note de 9 inchangée

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Avril 2019

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1/ Argentine

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Rares sont les films d'horreur, et plus précisément ici de monstre, nous venant d'Amérique du Sud. Et il est fort à parier que celui-ci aurait eu du mal à être distribué chez nous sans sa sélection à Cannes dans la section Un Certain Regard.

Et un conseil à tous les amateurs de frisson et / ou de curiosités : notez la date du 15 mai car cette œuvre est certes imparfaite mais totalement folle et à mille lieues du cinéma horrifique servi par les gros studios.

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Avril 2019

2/ Gérard Oury

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Vu pour la 1256ème fois et note de 7 inchangée.

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Avril 2019

3/ Suso Cecchi d’Amico (scénariste)

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Ce mélo - road movie social et rital est définitivement une splendeur. Le regard de Bruno est un truc de fou, à te faire verser toutes les larmes du monde.

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Mai 2019 (Sélection de Jérôme Salle)

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1/ Hong-Kong

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Je ne vais pas mentir, c'est un Wong Kar-wai que j'avais un peu, même beaucoup, évité jusqu'ici, craignant sincèrement le pire.

L'avantage d'y aller à reculons est qu'on ne peut qu'avoir une bonne surprise et ce fut plutôt le cas. Même si "My Blueberry Nights" n'est clairement pas du très grand WKW, même si c'est une sorte de best-of aseptisé avec une bonne dose de guimauve et happy end à destination du marché US, il y a cette mise en scène qui peut parfois agacer car elle frôle la caricature, mais qu'il est doué quand même, que c'est beau.

Bref même en petite forme ce réalisateur a sur moi un pouvoir d'attraction phénoménal.

NB : Je m'attendais au cataclysme concernant Norah Jones et franchement elle ne s'en tire pas si mal. Par contre Jude Law a à quelque chose près la présence d'une endive.

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Mai 2019

3/ Harris Savides (directeur photo)

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Le #WatchingClassicsChallenge2019 amène à faire des choses inconsidérées comme regarder ce Gus Van Sant (et son chef op Harris Savides) que j'avais soigneusement évité jusqu'ici. Et j'avais bien fait, Dieu que c'est mauvais !!!"

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Mai 2019

2/ Delmer Daves

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Les films de commande ne datent pas d'hier et les USA en ont produit à la pelle depuis les années 30. En voici un signé d'un spécialiste du genre, Delmer Daves. Le résultat est donc sans surprise : pas désagréable mais très anecdotique...

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Juin 2019 (Sélection de Philippe Rouyer)

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1/ Pologne

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Juin 2019

2/ Elio Petri

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Un bijou de thriller politique signé Elio Petri. C'est violent et crasseux tel un giallo, cruel, désespérément drôle, Gian Maria Volonte est monstrueusement habité. Le tout porté par la partition d'Ennio Morricone. Grandiose !

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Juin 2019

3/ Sylvette Baudrot (scripte)

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Juillet 2019

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1/ Tunisie

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Mehdi Ben Attia a fait preuve de courage en se lançant dans "L'Amour des hommes". Film profondément engagé et féministe, quelques beaux moments en particulier dans sa réflexion sur le deuil, mais beaucoup beaucoup de maladresses qui appauvrissent forcément le propos.

Même Hafsia Herzi, actrice que j'apprécie pourtant beaucoup, a un jeu par instants plus qu'approximatif, et quand je l'ai vue pour la première fois avec un appareil photo entre les mains, ça m'a rappelé l'expression "Une poule qui a trouvé un couteau".

NB : Ne sortez pas tout de suite les bazookas, je ne compare pas cette jeune fille à une poule. Je préfère préciser, l'époque étant pour le moins susceptible.

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Juillet 2019

2/ Lino Ventura

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Comme je le craignais ces "Barbouzes" se revoient beaucoup moins bien que "Les Tontons flingueurs". Bien plus paresseux, attendu, même Audiard semble moins inspiré. Malgré tout on passe un bon moment, et cette galerie d'acteurs, quel bonheur !

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Juillet 2019

3/ Margaret Menegoz (productrice)

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Très malaisant, déstabilisant, jusque dans son esthétique aussi cradingue que son sujet, mais tellement percutant.

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Août 2019 (Sélection de Jean-Paul Salomé)

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1/ Allemagne

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Heureusement Sebastian Schipper signe là un film bien plus ambitieux que son récent et décevant "Roads" mais un peu de mal malgré tout à surpasser son aspect programmatique. Et tellement trop long.

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Août 2019

2/ Michel Deville

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On connaît assez peu les débuts de Michel Deville et pourtant dès son deuxième film on sent une ambition forcenée de sonder l'âme humaine et un réel talent de metteur en scène.

Anna Karina, Claude Rich et Françoise Dorléac illuminent ce délicieux huis-clos vaudevillesque et mélancolique sur les méandres de l’amour et les jeux de séduction.

Deville n'a jamais appartenu à la Nouvelle Vague, il disait même vouloir en prendre le contre-pied, et pourtant on y pense sans arrêt durant ce "Ce soir ou jamais".

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Août 2019

3/ Annie Girardot

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Un Lelouch pur jus. Éreintant, too much, caricatural, agaçant mais quel amour du cinéma, des acteurs, quelle candeur presque enfantine donc tantôt ridicule tantôt émouvante ! Et Annie Girardot qui irradie la pellicule.

Plus j'approfondis la filmographie de cet homme plus je comprends qu'il ne s'est jamais remis, pour le meilleur et pour le pire, du succès d' "Un homme et une femme". Tout son génie mais aussi ses tics pénibles y étaient déjà, il inventait et ressassait tout à la fois, se prenait pour un grand réalisateur hollywoodien, travaillait l'art de se filmer en train de filmer du cinéma jusqu'au dérapage grotesque.

Pour mon plus grand bonheur j'entretiens depuis fort longtemps une relation ambiguë avec ce réalisateur et je sais que cela durera jusqu'à ce que j'ai vu tous ses films. Encore une fois je suis passé par tous les états au cours du visionnage de ce "Vivre pour vivre" : admiratif, consterné, amusé, désabusé...

Bref Lelouch me fait me sentir vivant...

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Septembre 2019 (Sélection de Micheline Presle)

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1/ Russie

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Le moment était donc idéal, quelques jours plus tard, pour découvrir cette première version de montage d'"Andreï Roublev". Et pour une fois j'irais presque jusqu'à remercier la censure, en effet les 23 minutes supplémentaires sont un réel handicap, alourdissent le récit en n'y apportant rien de fondamental.

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Septembre 2019

2/ Irene Dunne

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Quitte à enfin découvrir "Elle et lui" de Leo McCarey, autant faire d'une pierre deux coups et enchaîner le film de 1939 et son remake de 18 ans son cadet, en commençant par le plus ancien.

L'efficacité du récit vient clairement de la prise de risque, du mélange étonnant entre légèreté et gravité, et une fois n'est pas coutume, j'ai pris plus de plaisir dans la première partie, en mode comédie romantique succulente, que dans la seconde, mélodramatique et un peu trop appuyée à mon goût. Mais ma passion coupable pour le Champagne rosé n'est probablement pas étranger à l'affaire...

Du beau monde a travaillé sur ce film, Rudolph Maté et Edward Dmytryk entre autres, et ça se voit car le film est techniquement remarquable.

Je vais oser le dire, le talon d'Achille de ce très bel objet réside à mes yeux dans l'interprétation du duo Irene Dunne - Charles Boyer, à tel point que je n'ai jamais vraiment réussi à croire en leur histoire d'amour.

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Septembre 2019

3/ Jean Aurenche (scénariste)

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Un grand Tavernier (presque un pléonasme) qui s’ouvre comme un Sautet avant de se muer en film noir où deux monstres sacrés (et amis dans la vie) se font face : Noiret et Rochefort, majestueux. Si on ajoute à ça la magnifique partition de Philippe Sarde, ça commence à faire du monde, et du beau. En résumé c'est un régal.

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Octobre 2019 (Sélection de Stéphane Foenkinos)

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1/ Islande

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Avec "Béliers" Grímur Hákonarson, signe un "Petit paysan" islandais rugueux, dépaysant et déchirant, tellement supérieur à son récent "Mjólk, la guerre du lait", dans lequel il a tenté, certainement à tort, de réemployer la même recette.

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Octobre 2019

2/ Whoopi Goldberg

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Il y a des fois où tu paies d'avoir voulu faire le malin en participant à un challenge, et là clairement quand j'ai vu qu'un des choix de Stéphane Foenkinos s'était porté sur Whoopi Goldberg pour le mois d'octobre, j'ai compris que j'allais morfler. Comme je le craignais, en épluchant sa filmographie de haut vol, j'ai constaté que j'avais déjà vu ce que la dame avait pu faire de vaguement regardable, alors hop je me suis retrouvé à mater ça sur Warner TV. Résultat des courses : Whoopi, Charlie Sheen et Gina Gershon galèrent visiblement un peu pour payer leurs impôts et se vautrent donc dans cette bouse géante apte à faire passer le "World Trade Center" d'Oliver Stone pour du Bergman.

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Octobre 2019

3/ Margot Capelier (directrice de casting)

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Un classique de Bertrand Blier, ce réalisateur dont la fameuse petite musique mécanique a fini par me lasser. Restent 30 premières minutes magnifiques, Schubert qui brise le cœur, et un trio d’acteurs formidable.