Témoignage vraiment poignant de Natascha Kampusch, on n'en sort pas indemne. Lors de ma lecture, ce n'est pas son calvaire qui m'a le plus touché mais plutôt sa force. Oui, car il faut être forte pour subir des pressions morales et physiques durant huit ans et demi, il faut être forte pour vivre pratiquement huit ans et demi dans une cave de cinq mètres carrés, il faut vraiment être forte pour avoir cette volonté là, de ne jamais baisser les bras et ne jamais s'abaisser à être reconnaissante à son bourreau. C'est surtout l'épilogue, soit son retour dans la société qui m'a assez intrigué. En effet, lorsqu'elle parle du pseudo syndrome de Stockholm, point de vue plutôt "compréhensif". Un bon témoignage.
Miharuchan
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le 22 août 2011

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