Ceux qui me connaissent bien comprendront pourquoi j’ai choisi de lire ce roman. De plus, on m’avait demandé peu de temps auparavant un roman sur le passage à la soixantaine et c’était ce que racontait la quatrième de couverture.
Bon, en réalité, ce n’était pas vraiment ce à quoi je m’attendais. Le nom de Rykiel ne me disait rien (je suis inculte apparemment), c’est une grande maison de mode parisienne. L’auteur est la fille de la fondatrice et raconte sa vie et ses relations avec sa mère. Mais les deux vies se ressemblent par moment (elles sont notamment divorcées deux fois toutes les deux), donc on mélange les personnages, d’autant plus que l’auteur porte parfois un regard distancié sur elle, à la troisième personne, ce qui m’a fait croire plusieurs fois qu’elle parlait de sa mère.
Autant certains passages sont intéressants et émouvants, autant le tout est un peu trop fouillis, ce qui empêche de différencier et d’apprécier les deux femmes.
Donc pour moi, ce n’est vraiment pas un coup de cœur, je suis un peu déçue par le résultat ! Dommage !