Theodosia, ou Thora, vit depuis 10 ans sous la terreur du Kaiser qui a conquis le royaume de sa mère et l’a assassinée. Elle est observée constamment par les ombres du Kaiser. Je dois dire que j’ai eu beaucoup de mal avec l’héroïne, je l’ai trouvé pleurnicharde. Je n’ai pas aimé son faux côté courageux car elle se cache pour pleurer au lieu de révéler ses peurs, ce qui est pour moi courageux.
L’histoire se met progressivement en place, trop doucement à mon goût. J’ai vite compris l’un des buts de Thora et de ses compagnons révolutionnaires, si bien que j’ai trouvé que le temps d’y arriver était très long. L’histoire ressemble à beaucoup d’autre du même genre.
Si j’ai eu du mal avec des Thora, j’ai beaucoup aimé Blaise, Artemesia et Heron qui font avancer l’histoire.
J’ai lu le dernier tiers en diagonale, voulant voir s’il se passait quelque chose d’intéressant qui me permettrait de replonger dans ma lecture mais je n’ai rien trouvé.
En bref, je suis plus que mitigée sur ce roman et je ne lirai dans doute pas la suite.