L'humour toujours.
Jacques A. Bertrand nous livre dans ce court récit son combat contre la maladie, contre le cancer. Rien de triste ni de lugubre sous la plume de l’auteur. Il a choisi l’humour pour terrasser le...
le 24 avr. 2015
1 j'aime
Jacques A. Bertrand nous livre dans ce court récit son combat contre la maladie, contre le cancer. Rien de triste ni de lugubre sous la plume de l’auteur. Il a choisi l’humour pour terrasser le mal.
Tout y passe, les médecins un peu bizarres, les infirmières souvent si belles que l’on voudrait les avoir rencontrer dans d’autres circonstances, et puis bien sûr il y a les proches, les amis surtout qui ne sachant que dire, se contentent souvent comme entrée en matière d’un « Tu as bonne mine aujourd’hui ».
Et puis l’attente interminable dans des salles bondées en espérant que le diagnostic du médecin donnera un peu d’espoir.
J’ai aimé ce texte drôle, malgré la lourdeur du sujet. J’y ai trouvé belle leçon de courage et d’espoir.
Créée
le 24 avr. 2015
Critique lue 146 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Comment j'ai mangé mon estomac
Jacques A. Bertrand nous livre dans ce court récit son combat contre la maladie, contre le cancer. Rien de triste ni de lugubre sous la plume de l’auteur. Il a choisi l’humour pour terrasser le...
le 24 avr. 2015
1 j'aime
Comment j'ai mangé mon estomac, un livre qui en étonnerait plus d'un, tant le récit du difficile parcours de soin pour soigner un cancer se mêle, grâce à l'humour et la tendresse du narrateur, avec...
Par
le 23 févr. 2014
Du même critique
Je voudrais pour entamer cette critique citer Hervé Bazin : « On peut faiblir sur 1000 m et se reprendre. Sur 100 m, non. En face du roman, la nouvelle est dans le même cas : elle n'a pas droit à...
le 22 févr. 2015
7 j'aime
Rien ne prédisposait Oscar, modeste employé d’une maison de retraite à intégrer le cercle très fermé des amis d’Eden Bellwether. Lui qui ne rentre jamais dans une église a été littéralement happé par...
le 20 sept. 2014
7 j'aime
Un voyage en Estonie, en plein mois de Novembre, quelle drôle d’idée, il doit y faire un froid de canard, non plutôt un froid de Kratt ! Un kratt ! kesako ? Un objet volant et voleur. Un kratt est...
le 20 nov. 2014
6 j'aime