Ce court récit parut initialement en 2000 dans Vanity Fair, en forme d’hommage à Thomas de Quincey. Son charme est son point de départ, son dégoût du monde contemporain, ses fantasmes des fumeries d’opium et l’histoire de cette drogue depuis l’antiquité.

La quête de ce rêve dégringole vite vers quelque chose de sordide, tournée des bas-fonds et bordels d’Asie parfois émaillée de quelques malheureux clichés anglo-saxons, qui redécolle poussivement quand l’auteur goûte enfin à la drogue tant désirée.
MarianneL
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le 22 sept. 2013

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