Bien que ce soit, le deuxième volet des aventures de Quentin du Mesnil, maître d’hôtel de François Ie, c’est bien par celui-ci que j’ai commencé. J’étais très curieux de voir un auteur s’attaquer à la rencontre entre François Ie et Henry VIII. La fameuse rencontre du Drap d’or ayant fait l’objet d’une attention particulière dans l’exposition de la BNF et même d’un excellent double CD par l’ensemble Doulce Mémoire qui reconstitue la confrontation des deux chapelles royales.
Ce roman mérite un peu plus le qualificatif de « policier » que Le Prisonnier de l’Alcazar (sur lequel j’ai dit quelques mots ici). Il y a bien une série de meurtres mais Michèle Barrière échoue a en faire le littérairement quelque chose d’intéressant. Quand bien même le complot au coeur de l’intrigue serai historiquement justifié, il n’est qu’un énième avatar des complots dans l’esprit du Da Vinci Code. C’est le plus décevant des trois que j’ai lu (je suis actuellement dans le 1e opus de la série). Cependant, il faut reconnaître que ce petit roman se lit agréablement et permet de donner vie à un moment brillant mais finalement assez anecdotique de l’histoire de France.
Par déformation professionnelle sûrement, le début du roman, mettant en scène Thomas More, m’a plus intéressé.

Ybezin
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le 19 août 2015

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Ybezin

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