Subjective mitigée
Je débute ma culture d'animés et j'ai voulu le voir parce qu'il était très connu et conseillé. J'ai bien aimé la première et dernière saison, en soit toutes sauf celle des fourmis. J'y ai appris que...
Par
le 23 nov. 2024
Ce livre étant défini comme "utopie écologiste radicale" selon Reporterre, je suis assez d'accord mais je pense que nous avons besoin d'un imaginaire positif pour motiver les lecteurs à croire à un avenir écologique meilleur, pas désirable pour tous, pas entièrement possible à échelle mondiale et en prenant en compte toutes les cultures, mais ça fait du bien de lire des solutions dans un monde où nous voyons beaucoup de problèmes ou de l'idéalisation de l'artificialité et de la mondialisation indirectement néfaste (réseaux sociaux). La couleur est donnée dès le titre pour que le lecteur ai un recul dès le début et qui attire l'attention, surtout aux déjà conquis par ces idéaux. Le récit fictif permet la distanciation et cette ambiguité d'utopie écologiste et de recul, permet de nourrir les lecteur du vocabulaire et du concret qui s'y trouve. Celui qui critique de manière trop positive ou trop négative, oubli la volonté de l'auteur à émettre son savoir et son imaginaire sur ces questions écologistes. Voilà ce que je pense à mi chemin du livre.
Créée
le 7 avr. 2024
Critique lue 5 fois
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