Poésie de l'enfance
???????????? Que c'est beau le temps des vacances, le temps où on a du temps, le temps qui passe, la solitude qui fait germer les inventions pour fuir l'ennui. Un jeune garçon passe chaque année ses...
le 21 nov. 2023
???????????? Que c'est beau le temps des vacances, le temps où on a du temps, le temps qui passe, la solitude qui fait germer les inventions pour fuir l'ennui. Un jeune garçon passe chaque année ses vacances chez son oncle fantasque dans sa maison au milieu du maïs. Petit à petit le vélo de son oncle devient à sa taille pour partir à l'aventure. Il découvrira ce qu'il se trouve au-delà des dunes et qui changera sa vie. Il comprendra que la maison de son oncle n'est pas qu'une maison seule au milieu du maïs des champs de maïs.
.
Une poésie de l'enfance, une poésie de l'ennui, des phrases du bonheur, des phrases de rien, tourner les pages pour connaître le lendemain, sourire, tourner les pages, sourire encore! Avoir la sensation de ne pas prendre les enfants pour des idiots.
.
Et puis un trait fin, poétique à lui seul, un petit air de Sempé.
.
Créée
le 21 nov. 2023
Critique lue 13 fois
D'autres avis sur Esther Andersen
???????????? Que c'est beau le temps des vacances, le temps où on a du temps, le temps qui passe, la solitude qui fait germer les inventions pour fuir l'ennui. Un jeune garçon passe chaque année ses...
le 21 nov. 2023
Du même critique
L'anthropologie de la nature dans un microcosme : la ZAD de Notre-Dame des Landes. Alessandro Pignocchi s'y trouve en 2018, lors des expulsions de la ZAD alors que le projet d'aéroport est abandonné...
le 13 août 2019
3 j'aime
"Le quatrième mur, celui qui empêche le comédien de baiser avec le public…Cette façade imaginaire que les acteurs construisent en bord de scène pour renforcer l'illusion." J'ai découvert le texte de...
le 17 nov. 2016
3 j'aime
1
Si ce roman graphique décrit un drame familial avec sûrement une réalité profonde et une actualité tout aussi brulante, je trouve qu'il surfe un peu sur la vague et ne va pas assez loin dans les...
le 7 nov. 2016
3 j'aime
1