J’ai aimé ce roman, cependant, je suis assez déçue, car l’amour des mots de Gioia passe très vite au second plan pour une romance entre deux protagonistes. Gioia s’enferme dans le monde des livres et des mots au son des « Pink Floyd ». Son air de rat de bibliothèque roux et impeccable attire quand même le regard de quelqu’un. Elle le remarque aussi. Lo est un jeune homme solitaire. Il aide Gioia à sortir de sa bulle et à remettre les pieds dans la réalité. Pourquoi ne pourrait-elle pas garder un pied dans les bouquins et un pied dans la réalité auprès de Lo ?
La suite de ma chronique :
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