Ici aucune synthèse ne sera faite.
Chercheur, Carlo Rovelli, nous emmènes dans la vision du réel d'un physicien, il nous prêche sa conception lié à la théorie de la gravitation quantique à boucle, qu'il précise bien n’être qu'une théorie non prouvé. Il déconstruit pas à pas, au fil des mots et des chapitres, nos candides croyances en l'espace et le temps. Mais finit par se construire en éclair de lucidité un nouveau monde forgé par de nouveaux concepts, on se sent baigner dans un champs gravitationnel à boucle formé de nuage probabiliste de réseaux de spin lié entre eux, on se sent figé au milieu d'un mouvement terrible et perpétuel mais nécéssaire, aussi serré paradoxalement dans une durée relative aux mouvements cyclique d'objets physique, regrettant presque notre vielle conception du temps métaphysique, supprimé par une vision thermodynamique statistique, qui nous enferme irrémédiablement dans une étourderie intellectuel, le temps n'est que la somme de notre abyssale ignorance sur le monde, voilà qu'est le plus probable, mais si insupportable. La nature prend une autre forme, elle est métamorphosée, coud dans du fil de lin quantique et relativiste, toute chose se perd dans des conceptions conceptuel de champs, électromagnétique et gravitationnel, les boucles se confondent dans des états de plus en plus microscopique mais se délimitent dans des frontières infiniment petite.
Physique, chère et tendre disciple du réel, cerf de l'Univers, envoutes nous de tes vers.
Seul point que j'ai considérer avec un peu de mal, c'est la tirade politique de l'auteur, beaucoup trop naïf à mon gout, il en a d'ailleurs lui même conscience en la considérant comme un idéalisme.