Comme le dit plus loin Béru, entre "le château, le revenant, les suspects dont la liste s'allonge, les interrogatoires qui apportent leur provende de révélations", cette histoire "ressemble à ces bons romans policiers de jadis". À tel point que cet épisode, assumant en effet ses airs Agatha-Christiens et respectant toutes les contraintes qui vont avec, finit par réunir tout le monde sur les lieux du crime pour une confrontation générale. Il se produit alors un coup de théâtre et le coupable tombe le masque ! Mais avant cela, il plonge le lecteur dans une intrigue sordide et poignante, à l'atmosphère tendue, que même les réflexions de l'auteur sur la vie campagnarde, ses traits d'esprit, ses calembours et ses bons mots ont du mal à détendre. Et puis, ce geste de Béru dans la scène finale... Bigre !
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