Entre Mussolini, Ceauscecu, Mao , Bokassa, ces messieurs ont eu des compagnes tumultueuses avec des destins tragiques pour la plupart. Elles accompagnèrent, pour certaines d’entre elles, ces bourreaux de la société géniteurs de mort. Amantes effacées, victimes parfois involontaires, d’autres se sont montrées plus dictatoriales que leurs maris comme Hélène Ceauscecu ou Jiang Qing. Catherine Bokassa représente l’exception sacrée impératrice par un débile mental. Mussolini en Apollon républicain collectionnait les femmes comme des timbres-poste. Quant à Mao, ses chois ne furent pas si heureux que cela.