Dans cet épisode, qui se déroule donc au pays du Soleil-Levant, San-Antonio glisse tous les poncifs les plus éculés sur le Japon et les japonais. Les morts par Hara-kiri se succèdent, les personnages et les lieux sont affublés de noms qui sont autant de jeux de mos idiots et Béru passe inaperçu du fait de la jaunisse dont il est atteint dès le début de l'aventure.
Comme l'auteur sait ficeler une intrigue, les deux fils narratifs finissent par se télescoper, l'attentat à l'ambassade et la disparition d'Hector. C'est au terme de cette enquête, qui manque de finesse mais pas de fluidité et dans laquelle le lecteur a le bonheur d'apprendre la recette de la patte d'alligator farcie, que Bérurier passe inspecteur chef. Et verse sa petite larme.
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