Gregory, dernier célibataire de la famille Bridgerton, rêve de trouver le grand Amour. Il croit l’avoir trouvé en la personne d’Hermione, la plus belle fille de la saison, au détriment de Lucinda, la meilleure amie de cette dernière…
Même critique que pour le précédent tome : on retrouve le cliché du parent castrateur, on retrouve le cliché du coup de foudre au premier regard, on retrouve un couple compromis par le plus grand des hasards et pour une connerie… alors certes, tout cela est montré d’un point de vue fort différent que dans les autres tomes, prouvant que Quinn sait toujours raconter quelque chose mais, comme la conclusion de certaines de ses intrigues est assez… étrange, inutile de vous dire que ça nous laisse coi. Je ne suis pas sûre que Kate aurait réagi comme elle a réagi avec Hermione et le frère de Lucy, dix ans plus tôt. En tout cas, ça fait toujours plaisir de voir une personne aussi aimée revenir dans la saga pour si peu. Bon, je suis méchante : l’intrigue autour du chantage était assez sympathique, de quoi tenir en alerte jusqu’au bout. Mais du coup, c’est assez triste qu’elle arrive au milieu et se conclue à la toute-toute fin. Surtout si c’est pour, après, enchaîner sur la vie conjugale de Gregory et de Lucinda…
Donc fin de saga relativement satisfaisante mais encore heureux qu’il n’y en ait plus aucun de gosses Bridgerton à marier.
Et honnêtement, je ne suis pas sûre d’avoir envie de découvrir les « aventures » matrimoniales de leur propre descendance…