Pitch: La guerre contre les covenants fait rage. Alors que la "Noble Team", encore en deuil de la disparition de l'un des leurs, accueille en son sein un nouveau membre, plusieurs pertes de contact sont à signaler sur la planète Reach. Le petit contingent de Spartans II va mener l'enquête pour finalement découvrir que l'enfer est aux portes de Reach.

Attendu depuis presque 3 ans, le studio Bungie (déjà responsable de la série Halo mais également de la fabuleuse série Marathon) nous livre finalement un nouvel opus de sa saga phare du moment. (Halo: ODST étant présenté comme une grosse extension) S'inspirant dans un premier temps de ces deux dernières productions ainsi que des nombreux retours des joueurs sur la Béta du jeu, le studio entend délivrer une expérience ultime pour ce dernier Halo à être signé Bungie ( la licence reste chez Microsoft mais pas le studio qui rejoint Activision).

Halo Reach se place comme un "Halo 0" au sein de la saga puisque que le jeu ne narre pas la suite des aventures du Masterchief (héros de la trilogie Halo) mais un évènement emblématique de la lutte entre humains et l'alliance extra-terrestre (les covenants) bien connu des fans: la "Tragédie de Reach". Exit donc John 117 et l'insupportable Cortana... S'inspirant du très bon Halo: ODST, le jeu nous plonge au sein d'une escouade de 6 Spartans II aux personnalités bien tranchées et au charisme évident (n'en déplaise à Poischich qui porte bien son nom). Cette fois, il ne s'agira pas d'incarner chacun de ces héros "bigger than life" mais la dernière recrue de l'équipe, Noble 6, qu'il vous faudra personnalisé avant de commencer la campagne. (Nous reviendrons plus tard sur la personnalisation du sujet). Vous côtoierez donc des personnages aussi attachant que "Jorg", le spécialiste en arme lourde avec un cœur aussi gros que sa mitrailleuse lourde, "Kat" le cerveau du groupe amputée d'un bras mais également amputée du cœur ou encore "Emile" (cela ne s'invente pas) le Tough Guy du groupe, adepte du poignard et de la réplique cynique. Des personnages aussi hauts en couleur que leur armures et que l'on croirait tout droit sorti d'un film de commando des 80's (d'ailleurs la caractérisation aussi habile que discrète n'est pas sans rappeler celle de The Expendables, film hommage - comprenez que la caractérisation passera par une punch line bien foutue ou par un attitude soulignée par la mise en scène). Et de la couleur il en faudra car il ne vont pas voir la vie en rose. Reach, c'est un peu le "Vietnam" ou "l'Alamo" de l'univers Halo et il ne faut forcément pas s'attendre à des évènements très joyeux au cours de la campagne. Les développeurs ont donc miser sur une ambiance plus sombre qu'à l'accoutumée au risque de se fâcher avec quelques fans de l'humour potache des précédents volets (les méchants ne parlent plus l'humain mais un dialecte incompréhensible, les bidasses sont moins loquaces et quand humour il y a, il est souvent désabusé et noir). Les couleurs des environnements et de certains ennemis (les grunts et les brutes par exemple) sont plus ternes mais l'on retrouve tout de même des couleurs d'armure improbables (les élites en jaune) et des explosions (très réussies d'ailleurs) aux teintes roses vives avec un peu de bleu pour agrémenter le tout. Mais le ton un peu plus "sombre" du soft n'est pas le seul remaniement qui rappelle le conflit vietnamien des années 70. Le déroulement des missions, et à plus grande échelle des opérations, se veut plus réaliste d'un point de vue militaire. Votre escouade se baladera régulièrement en hélico qui vous larguera sur une ZA plus ou moins sûre avant de venir vous repêcher par la suite, votre escouade se scindera souvent en deux pour mener des objectifs simultanés avant de se retrouver à un point de RDV donné, il vous faudra aider à l'évacuation de troupes militaires perdues au sein de villes envahies par l'ennemi... Ces situations apparaissent forcément d'un autre âge (par rapport à l'image que l'on peut avoir de la guerre moderne) mais fonctionnent fort bien dans le contexte du jeu. La mise en scène du conflit se voudra également assez réaliste dans son ton. Les amoureux de scène aussi improbables qu'épiques seront un rien déçus même si bien sûr le spectacle reste au rendez vous. Non, ici, il s'agit plus de montrer qu'à la guerre on peut mourir d'une bête balle perdue et l'héroïsme des soldats est rarement mis en emphase. Un sacrifice ou une action d'éclat ne sera pas magnifié par des ralentis ou d'audacieux plan de caméra comme on peut en voir dans les Call of Duty. Un point faible pour certains, un point fort pour d'autres. Il faut tout de même souligner que certaines cut-scenes immersives sont vraiment prenantes et bien mis en scène mais qu'elles sont un peu trop rares à être de cette qualité. Le jeu a également tendance à filer que ce soit la durée de vie en solo (seulement 8h et 6 minutes en normal pour un joueur lambda ! La difficulté du soft est supérieure aux autres Halo compte tenu d'une I.A plus efficace et de la puissance des élites) ou la narration qui va parfois un peu vite lors des cut-scenes où il peut être délicat de saisir lors d'une première lecture tous les tenants et aboutissants... En tant qu'ultime épisode issu du studio Bungie, la boîte de développeurs a voulu nous livrer un best-of de la saga et il faut donc s'attendre à revivre des situations emblématiques (ce que visiblement n'a pas compris le journaliste de gamekult, ce qu'il appelle "redite" j'appelle ça "hommage"...) rehaussées par quelques idées inédites foutrement (et ouais) bien pensées et jouissives une fois le pad en main. Les habitués retrouveront les embuscades habituelles, les escortes, les rushs dans des lieux infestés par la vermine ou les déambulations en warthog dans des décors fort bien designés (surtout les architectures de bâtiments) avec des décors célestes de toute beauté. (le ciel dont la teinte est altérée par les fumées d'explosions, les tirs orbitaux et les vaisseaux qui se crachent) Bohringer disait "c'est beau une ville la nuit." Une fois qu'on a joué à Reach, on a envie de dire "c'est beau une ville dévastée par les covenants"...


Niveau gameplay, le tout est aussi soigné et intuitif qu'à l'accoutumée. La prise en main est immédiate que ce soit dans la maîtrise de votre Spartan ou pour la conduite des véhicules terrestres ou non. Attention cependant, les habitués de Halo 3, devront prendre le temps de se faire à la nouvelle configuration des touches ou alors modifier les contrôles du jeu via le menu option. Pour faire face à l'action non-stop que nous offre cet épisode plusieurs nouveautés font leur apparition. La première, et peut-être la plus gadget, est l'apparition de "la mise à mort" que l'on peut effectuer dans le dos (ou au dessus) d'un adversaire en maintenant la touche de corps à corps enfoncée. Cette action vous permettra de tuer directement tout adversaire (humain en multi ou bots en campagne) par le biais d'une action plus ou moins classe (couteau dans la gorge, nuque brisée, etc...). Dispensable et pourtant jouissive, cette action est bien mieux foutue que le système similaire que l'on trouve dans le dernier Aliens vs Predator. Dans ce dernier, le "finish move", trop lent ne sert qu'à se rendre vulnérable au feu de l'ennemi et n'est au final délectable qu'en mode solo. Ici, la mise à mort est brève (peut-être même un peu trop) et cela devient presque instinctif de tuer l'adversaire de la sorte quand l'occasion le permet. Autre nouveauté, et pas des moindres, le système de paquetages. Il s'agit de bonus permanent (que l'on peut échangé à certains moment de la campagne) qui ont besoin d'un temps de rechargement avant d'être utiliser. Au nombre de 6 bien différents, ils octroient ainsi des capacités spéciales à votre spartan comme celle de sprinter, de se rendre modérément invisible ou encore de décoller grâce à un jetpack! Il faudra donc savoir utiliser le bon paquetage pour tirer profit de l'architecture des niveaux toujours propices en possibilités d'attaques. Enfin, et c'est plus un retour aux sources qu'une nouveauté, terminé la vie qui se recharge et permet à n'importe quel planqué de se tirer d'affaire. Ici, si les boucliers se rechargent progressivement, il faudra mettre la main sur les rares pack de soins dissimulés pour pouvoir régénérer sa vie. Autant dire que toutes ces modifications ont une importance vitale en multijoueur. Du côté de l'armement, bungie nous offre quelque chose d'exhaustif comme à son habitude (une vingtaine d'armes). On retrouve la majeure partie de l'arsenal de l'UNSC à l'exception de quelques modèles remplacés par des versions plus archaïque (comme le BR -abusé- remplacait par un DMR moins simple d'accès). Comptez donc sur une panoplie allant du Pistolet Mg6 au lance missile en passant par le fusil d'assaut, le lance grenade, j'en passe et des meilleurs. même chose du côté extra-terrestre avec l'apparition de quelques inédits comme le needler rifler (sorte de lance cristaux à lunette) ou le lance missile énergétique à tête chercheuse. Il faut noter que les armes aliens semblent d'ailleurs plus efficaces -et c'est tant mieux car plus crédible- que les armes humaines. Même chose au niveau des véhicules. Il y en a une pléthore et la grande majorité sont pilotables. Cela va du quad tout terrain au char d'assaut en passant par la moto volante, la jeep armé d'armes différentes selon le modèle en passant par les speeder bi-place, les hélicoptères à double hélices, les chasseurs aliens en atmosphère et bien d'autres machines à tuer diverses et variées. Mention spéciale pour le Chariot élévateur qui ne sert strictement à rien! Au niveau du bestiaire, il est sensiblement identique à celui du tout premier Halo avec sa dizaine de races extra-terrestres, un seul nouveau venu faisant son apparition, une sorte de cousin éloigné des rapaces que l'on trouvait dans les autres épisodes. Leur design est toujours aussi réussi et leurs tenues / armures varient d'un ennemi à l'autre, apportant ainsi une diversité toujours bienvenue. Le gameplay est aussi solide que l'univers et c'est toujours un plaisir de se laisser porter par une telle aventure... Avant de s'essayer au multijoueur...


Halo a certes un univers en béton armé et chaque nouvelle campagne apporte un plaisir toujours renouvelé mais la licence tire toute sa force d'un mode Multijoueur aussi complet qu'addictif. Cet ultime opus made in Bungie se doit de faire honneur à la saga. Commençons par aborder le système d'XP complétement remanié par rapport aux anciens opus. Dans un soucis de rendre la jeu plus accessible au plus grand nombre, le système rigide et élitiste qui distribuait chichement les points d'xp a été abandonné. Maintenant, il vous ai donné la possibilité de gagner des crédits (Cr) en campagne ou en multi via certaines actions d'éclats, victoires, co-op ou par le biais de défis hebdomadaires et quotidiens. Ces Cr vous permettent 1/ de changer de grade pour avoir accès à plus de possibilités de personnification de votre Spartan, 2/ d'acheter les éléments qui vous intéresse dans la liste alors débloquée. Enfantin à comprendre, accrocheur dans son principe et relativement varié, ce système a tout pour plaire. Ce qui nous amène à l'aspect personnalisation de votre Spartan. Bungie nous offre un éditeur de personnage bien plus complet et délectable qu'à l'accoutumée, ce qui n'est pas négligeable, vu que votre personnage apparaitra dans les cut-scenes de la campagne. Il vous sera donc possible (une fois débloqués), de vous équiper de l'un des 20 casques disponibles (avec une ou deux variantes par modèle), de l'une ou l'autre des 20 épaulettes disponibles (avec possibilité d'en mettre une différente par épaule), de l'un des 15 plastrons disponibles sans oublier l'un des 6 "bras droits", l'une des 6 jambières droite ou l'une des 4 genouillères disponibles. Monstrueux? Ce n'est pas fini! Il vous reste la possibilité de choisir parmi l'une des 5 couleurs de visière différentes, de choisir, si le cœur vous en dit, l'un des 6 effets d'armures (de l'effet "puanteur" à l'effet "dieu du tonnerre" en passant par les confettis qui jaillissent de votre corps quand on vous fait un "headshot") ou de vous attribuer l'une des 12 voix disponibles (pour le mode baptême du feu.) Attention, tout cela a un prix et les pièces les plus rares nécessiteront beaucoup de crédits et un grade élevé! Vous pourrez toujours choisir parmi un grand panel de motif pour former votre insigne et ainsi vous rassembler une fratrie virtuelle sous le même insigne. D'un point de vue moins cosmétique mais qui sert toujours au plaisir des yeux, on retrouve le système de décorations/médailles qui récompense vos haut-faits... Les possibilités sont telles qu'il est tout à fait possible de se créer un avatar unique en son genre ou même de cloner les personnage du jeu ou même le Masterchief... Du côté des Elites, seulement 6 possibilités d'armures disponibles. Bah, ce ne sont que des aliens après tout... Mais venons en au modes disponibles.

Encore une fois, d'un point de vue quantitatif, Halo écrase la concurrence en proposant un nombre de modes de jeu aussi variés qu'addictifs. Bien sûr, tous les détailler ici serait rébarbatif. Sachez donc que l'on retrouve tous les classiques du genre de la mêlée générale au match à mort en équipe en passant par "la patate chaude", les captures de drapeaux (avec plusieurs variantes), les "rois de la colline", les bombes à poser, j'en passe et des meilleurs. En gros une quinzaine de modes classiques est disponible. Ajoutez à cela certains modes originaux comme le mode invasion, sorte de matchs thématiques opposants Aliens et Spartans dans des parties en équipe à objectifs évolutifs où il s'agira de prendre / défendre des bases avant de voler/surveiller un module puis de rejoindre / intercepter un vaisseau. Le mode baptème du feu est toujours présent et vous plongera au cœur d'une invasion ennemie (jouable seul mais taillé pour le jeu entre potes) qui cette fois pourra compter de vrais joueurs face aux malheureux défenseurs! De plus, nombres d'options sont paramétrables pour ce mode, de la gestion des ennemis présents au nombre de manches... D'ailleurs les menu sont très nombreux et nous sommes vraiment en présence d'un produit complet et abouti. Vous pouvez paramétrer votre "profil" de jeu pour éviter de vous retrouver avec des couineurs / campeurs / gueuleurs ou au contraire rechercher ce genre de personnes! Néanmoins plus le nombre d'options que vous attribuez à votre profil est grand moins vous avez de chances de trouver des joueurs. Dans le doute j'ai tout laissé en "sans préférence". Il y a même un menu qui analyse votre type de connexion si celle-ci a du mal à suivre! Perso, cette option chez moi est inactive du fait que je n'ai eu aucune déconnexion pour le moment mais on sait que ceux qui ont une connexion médiocre ont tendance à être kické du jeu. Moi et mon actuel partenaire de jeu n'avons eu aucun problème dans tous les modes disponibles. Il est encore un peu trop tôt pour parler des matchs double xp du week-end même si on peut parier qu'ils seront bel et bien présents et offriront des matchs aussi improbables que les parties de basket ball avec Marteau énergétique ou les courses de quads. Bien sûr, comme à l'accoutumée, la campagne est faisable de 2 à 4 joueurs en co-op. Cerise sur le gâteau, on retrouve le mode cinéma qui permet d'enregistrer et de "monter" les vidéos de vos parties en solo ou en ligne pour en faire de petits clip (utile pour dénoncer les actes de traitrise ou les tristement célèbres T-Bags) et les envoyer à vos amis (en plus ca rapporte 2 succès) et surtout on retrouve le mode Forge encore plus complet qu'auparavant. Ce mode permettra à tous les créateurs en herbe de se lancer dans la conception de maps multi joueur (attention cet outil est bien moins complet qu'un éditeur PC comme Doom builder) comme timesplitters en son temps. La bête est un peu délicate à prendre en main et demandera quelques heures d'apprentissage, heureusement récompensées par des crédits facilement gagnés, mais la meilleure récompense étant le plaisir que vous pourrez en tirer avec vos amis en vous égorgeant joyeusement au nom de la créativité...


Techniquement, le soft est bien plus beau que Halo 3 mais reste un bon cran en dessous de ce qui peut se faire en matière de FPS actuels (Modern Warfare 2). En même temps c'est tout à fait normal du fait qu'il ne s'agit pas d'un FPS de type couloir mais d'un jeu offrant de vastes étendues ouvertes. (principe élémentaire que certains ont du mal à comprendre)Le jeu reste cependant très agréable à regarder notamment les arrières fonds vraiment magnifiques ainsi que les détails des personnages ou extra-terrestres. Ce que Halo Reach perd graphiquement il le gagne largement en qualité de design et dans la richesse de son éditeur de perso. Un problème bien plus gênant est pourtant présent. Certaines petites saccades sont présentes lors des cut-scenes. Par sur la totalités de celle-ci mais sur certaines ce qui est légèrement désagréable. Les solutions à ce problème sont variées. Certains joueurs passent leur console en 720p, d'autres prétendent qu'il suffit de ne pas installer le jeu sur le DD (comme pour Mass Effect 2). Je suis trop feignant et je tiens trop à ma XBOX Slim - Edition Halo Reach (^^) pour risquer le coup et ces micro saccades ne sont pas une gêne qui suscitent ses efforts à mes yeux. De même, la gestion du flou cinétique n'est pas au top. Ne nous lerrons pas, tout le monde sait qu'Halo n'est pas une vitrine technique. Du côté de la musique on retrouve les compositions toujours très inspirées de Martin O'Donnell qui se situent entre le côté mélancolique de Halo 3: ODST et le côté résolument bourrin de Halo 3. Le son des armes a été également retravaillé pour un meilleur rendu et si la qualité de doublage en V.O est excellente on ne peut pas dire la même chose de la VF qui est inégale. Certains doubleurs français sont tout à fait impliqués dans leur personnages (on en reconnait certains) alors que d'autre ont des variations de ton complétement inapropriées. C'est surtout génant pour les cinématiques. Ingame, les doublages sont assez efficaces ("on va casser du moche!"). Les fans preferont switcher leur console en langue anglaise pour profiter d'un spectacle plus agréable...

En résumé, Halo Reach est la version ultime de la saga Halo. Tout y est, une campagne prenante bien que trop courte et un multijoueur au top. Qu'on aime ou pas Halo, il faut lui reconnaître une qualité: c'est un jeu ultra complet qui a le mérite de proposer le contenu multijoueur le plus conséquent dans sa catégorie. Il reste certes bien plus exigeant qu'un Call of Duty mais offre une expérience de jeu unique. On regrettera que graphiquement le jeu est du mal à suivre mais le fun est si présent que l'on oublie vite les carences superficielles pour revenir à la vraie nature d'un jeu: s'amuser. Entre amis, ce jeu est une merveille offrant moult situations riches en improbables rebondissements... Halo: reach est pour moi, le FPS Multijoueur le plus abouti et le plus fun du moment.
Manji1981
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le 14 déc. 2010

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Manji1981

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