L'actualité sur Henri d'Ofterdingen
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Heinrich von Ofterdingen : Ein Roman
1802 • livre de Novalis
Résumé : "Foncièrement et par nature, Henri était né pour être poète. Tous les hasards semblaient converger et s'unir pour sa formation, et rien n'était venu contrarier le vif éveil de sa vie intérieure. Tout ce qu'il voyait, tout ce qu'il entendait n'était que pour, semblait-il, lui ôter un nouveau verrou au-dedans de lui-même, lui ouvrir une fenêtre nouvelle. Il voyait devant lui s'étaler le monde dans toute l'étendue et la diversité de ses modalités entremêlées et sans cesse changeantes. Mais c'était un monde encore muet, et son âme, la parole, n'y était toujours pas éveillée. Or, déjà s'approchait un poète qui tenait par la main une adorable jeune fille, afin que, par les sons de la langue maternelle et la caresse exquise et douce d'une tendre bouche, s'ouvrissent les lèvres stupides et qu'en mélodies infinies se développât le simple accord." Novalis.
Heinrich von Ofterdingen : Ein Roman
1802 • livre de Novalis
Résumé : "Foncièrement et par nature, Henri était né pour être poète. Tous les hasards semblaient converger et s'unir pour sa formation, et rien n'était venu contrarier le vif éveil de sa vie intérieure. Tout ce qu'il voyait, tout ce qu'il entendait n'était que pour, semblait-il, lui ôter un nouveau verrou au-dedans de lui-même, lui ouvrir une fenêtre nouvelle. Il voyait devant lui s'étaler le monde dans toute l'étendue et la diversité de ses modalités entremêlées et sans cesse changeantes. Mais c'était un monde encore muet, et son âme, la parole, n'y était toujours pas éveillée. Or, déjà s'approchait un poète qui tenait par la main une adorable jeune fille, afin que, par les sons de la langue maternelle et la caresse exquise et douce d'une tendre bouche, s'ouvrissent les lèvres stupides et qu'en mélodies infinies se développât le simple accord." Novalis.
Heinrich von Ofterdingen : Ein Roman
1802 • livre de Novalis
Résumé : "Foncièrement et par nature, Henri était né pour être poète. Tous les hasards semblaient converger et s'unir pour sa formation, et rien n'était venu contrarier le vif éveil de sa vie intérieure. Tout ce qu'il voyait, tout ce qu'il entendait n'était que pour, semblait-il, lui ôter un nouveau verrou au-dedans de lui-même, lui ouvrir une fenêtre nouvelle. Il voyait devant lui s'étaler le monde dans toute l'étendue et la diversité de ses modalités entremêlées et sans cesse changeantes. Mais c'était un monde encore muet, et son âme, la parole, n'y était toujours pas éveillée. Or, déjà s'approchait un poète qui tenait par la main une adorable jeune fille, afin que, par les sons de la langue maternelle et la caresse exquise et douce d'une tendre bouche, s'ouvrissent les lèvres stupides et qu'en mélodies infinies se développât le simple accord." Novalis.