Dans un premier temps, je tiens à remercier Gilles Paris et les éditions Albin Michel pour ce partenariat.
Didier van Cauwelaert fait parti de cet auteur que j’aime lire. Bien qu’il lui faille reconnaître une certaine irrégularité dans la qualité de ces romans. Mais cependant n’allez pas croire que « J’ai perdu Albert » est l’un de ces romans qu creux de la vague, bien au contraire. D’ailleurs, sachez que le roman à peine sorti, qu’il fait déjà l’objet d’une adaptation cinématographique, le film sortira le 12 septembre de cette année.
On se retrouve plongé dans un triangle amoureux entre Zac un apiculteur, Chloé une médium et l’esprit d’Albert Einstein.
Comme souvent avec Didier van Cauwelaert, on s’attache à ses personnages qui sont tous assez attendrissants au final. Zac cet apiculteur un peu perdu, un peu looser, Chloé la médium malgré elle et Albert ce squatteur de têtes qui souhaite faire reconnaître son dernier travail a travers les esprits qu’il occupe et fini en entremetteur bien malgré lui.
Un roman tendre, drôle et romantique qui rend également hommage a Albert Einstein, génie qui bien que génie connu une fin de scientifique compliqué et une vie de famille bien plus encore. En quelques lignes, l’auteur fait d’ailleurs allusion au fils d’Albert Einstein qui fut interné.
Un roman à peine ouvert que je l’avais déjà terminé, ce n’est certes pas de la grande littérature, mais est emplie de ce positivisme qui en fait une lecture agréable.
Sur le Blog : http://www.bouquinovore.com/2018/05/jai-perdu-albert-didier-van-cauwelaert.html