L'actualité sur J'ai tué Schéhérazade

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Guapilu

a attribué 8/10 au livre

J'ai tué Schéhérazade

livre de Joumana Haddad

Résumé : “Si vous abordez ces pages en quête de vérités que vous croyez déjà connaître ; si vous espérez être conforté dans votre vision orientaliste, ou rassuré quant à vos préjugés anti-Arabes ; si vous vous attendez à entendre l’incessante berceuse du confl it des civilisations, mieux vaut ne pas poursuivre. Car je ferai dans ce livre tout ce qui est en mon pouvoir pour vous «décevoir».” C’est en ces termes que Joumana Haddad s’adresse au lecteur occidental avant de lui expliquer comment elle et ses semblables peuvent être des femmes libres dans un monde arabe pourtant ravagé par le despotisme et l’obscurantisme. Mêlant témoignage personnel, méditations, poèmes, elle raconte d’abord ses premiers émois, lectrice toute jeune encore du marquis de Sade, puis son expérience d’adolescente qui grandit dans une ville en guerre, Beyrouth, puis de jeune femme écrivant de la poésie libertine, enfi n de femme de quarante ans qui édite le premier magazine érotique en langue arabe. Tuer Schéhérazade, c’est à la fois vivre et penser en femme libre, en femme arabe et libre, comme il en existe tant… qu’on s’interdit de voir et d’entendre.

Scaranat

a attribué 7/10 au livre

J'ai tué Schéhérazade

livre de Joumana Haddad

Résumé : “Si vous abordez ces pages en quête de vérités que vous croyez déjà connaître ; si vous espérez être conforté dans votre vision orientaliste, ou rassuré quant à vos préjugés anti-Arabes ; si vous vous attendez à entendre l’incessante berceuse du confl it des civilisations, mieux vaut ne pas poursuivre. Car je ferai dans ce livre tout ce qui est en mon pouvoir pour vous «décevoir».” C’est en ces termes que Joumana Haddad s’adresse au lecteur occidental avant de lui expliquer comment elle et ses semblables peuvent être des femmes libres dans un monde arabe pourtant ravagé par le despotisme et l’obscurantisme. Mêlant témoignage personnel, méditations, poèmes, elle raconte d’abord ses premiers émois, lectrice toute jeune encore du marquis de Sade, puis son expérience d’adolescente qui grandit dans une ville en guerre, Beyrouth, puis de jeune femme écrivant de la poésie libertine, enfi n de femme de quarante ans qui édite le premier magazine érotique en langue arabe. Tuer Schéhérazade, c’est à la fois vivre et penser en femme libre, en femme arabe et libre, comme il en existe tant… qu’on s’interdit de voir et d’entendre.

agnesdebzxx

a attribué 3/10 au livre

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kunderalini

a attribué 7/10 au livre

J'ai tué Schéhérazade

livre de Joumana Haddad

Résumé : “Si vous abordez ces pages en quête de vérités que vous croyez déjà connaître ; si vous espérez être conforté dans votre vision orientaliste, ou rassuré quant à vos préjugés anti-Arabes ; si vous vous attendez à entendre l’incessante berceuse du confl it des civilisations, mieux vaut ne pas poursuivre. Car je ferai dans ce livre tout ce qui est en mon pouvoir pour vous «décevoir».” C’est en ces termes que Joumana Haddad s’adresse au lecteur occidental avant de lui expliquer comment elle et ses semblables peuvent être des femmes libres dans un monde arabe pourtant ravagé par le despotisme et l’obscurantisme. Mêlant témoignage personnel, méditations, poèmes, elle raconte d’abord ses premiers émois, lectrice toute jeune encore du marquis de Sade, puis son expérience d’adolescente qui grandit dans une ville en guerre, Beyrouth, puis de jeune femme écrivant de la poésie libertine, enfi n de femme de quarante ans qui édite le premier magazine érotique en langue arabe. Tuer Schéhérazade, c’est à la fois vivre et penser en femme libre, en femme arabe et libre, comme il en existe tant… qu’on s’interdit de voir et d’entendre.

Anastasia Yéleïna
J'ai tué Schéhérazade

livre de Joumana Haddad

Résumé : “Si vous abordez ces pages en quête de vérités que vous croyez déjà connaître ; si vous espérez être conforté dans votre vision orientaliste, ou rassuré quant à vos préjugés anti-Arabes ; si vous vous attendez à entendre l’incessante berceuse du confl it des civilisations, mieux vaut ne pas poursuivre. Car je ferai dans ce livre tout ce qui est en mon pouvoir pour vous «décevoir».” C’est en ces termes que Joumana Haddad s’adresse au lecteur occidental avant de lui expliquer comment elle et ses semblables peuvent être des femmes libres dans un monde arabe pourtant ravagé par le despotisme et l’obscurantisme. Mêlant témoignage personnel, méditations, poèmes, elle raconte d’abord ses premiers émois, lectrice toute jeune encore du marquis de Sade, puis son expérience d’adolescente qui grandit dans une ville en guerre, Beyrouth, puis de jeune femme écrivant de la poésie libertine, enfi n de femme de quarante ans qui édite le premier magazine érotique en langue arabe. Tuer Schéhérazade, c’est à la fois vivre et penser en femme libre, en femme arabe et libre, comme il en existe tant… qu’on s’interdit de voir et d’entendre.

Emna_critique

a attribué 8/10 au livre

J'ai tué Schéhérazade

livre de Joumana Haddad

Résumé : “Si vous abordez ces pages en quête de vérités que vous croyez déjà connaître ; si vous espérez être conforté dans votre vision orientaliste, ou rassuré quant à vos préjugés anti-Arabes ; si vous vous attendez à entendre l’incessante berceuse du confl it des civilisations, mieux vaut ne pas poursuivre. Car je ferai dans ce livre tout ce qui est en mon pouvoir pour vous «décevoir».” C’est en ces termes que Joumana Haddad s’adresse au lecteur occidental avant de lui expliquer comment elle et ses semblables peuvent être des femmes libres dans un monde arabe pourtant ravagé par le despotisme et l’obscurantisme. Mêlant témoignage personnel, méditations, poèmes, elle raconte d’abord ses premiers émois, lectrice toute jeune encore du marquis de Sade, puis son expérience d’adolescente qui grandit dans une ville en guerre, Beyrouth, puis de jeune femme écrivant de la poésie libertine, enfi n de femme de quarante ans qui édite le premier magazine érotique en langue arabe. Tuer Schéhérazade, c’est à la fois vivre et penser en femme libre, en femme arabe et libre, comme il en existe tant… qu’on s’interdit de voir et d’entendre.

cloclodrum

a attribué 8/10 au livre

J'ai tué Schéhérazade

livre de Joumana Haddad

Résumé : “Si vous abordez ces pages en quête de vérités que vous croyez déjà connaître ; si vous espérez être conforté dans votre vision orientaliste, ou rassuré quant à vos préjugés anti-Arabes ; si vous vous attendez à entendre l’incessante berceuse du confl it des civilisations, mieux vaut ne pas poursuivre. Car je ferai dans ce livre tout ce qui est en mon pouvoir pour vous «décevoir».” C’est en ces termes que Joumana Haddad s’adresse au lecteur occidental avant de lui expliquer comment elle et ses semblables peuvent être des femmes libres dans un monde arabe pourtant ravagé par le despotisme et l’obscurantisme. Mêlant témoignage personnel, méditations, poèmes, elle raconte d’abord ses premiers émois, lectrice toute jeune encore du marquis de Sade, puis son expérience d’adolescente qui grandit dans une ville en guerre, Beyrouth, puis de jeune femme écrivant de la poésie libertine, enfi n de femme de quarante ans qui édite le premier magazine érotique en langue arabe. Tuer Schéhérazade, c’est à la fois vivre et penser en femme libre, en femme arabe et libre, comme il en existe tant… qu’on s’interdit de voir et d’entendre.

écorcobalisse

a attribué 8/10 au livre

J'ai tué Schéhérazade

livre de Joumana Haddad

Résumé : “Si vous abordez ces pages en quête de vérités que vous croyez déjà connaître ; si vous espérez être conforté dans votre vision orientaliste, ou rassuré quant à vos préjugés anti-Arabes ; si vous vous attendez à entendre l’incessante berceuse du confl it des civilisations, mieux vaut ne pas poursuivre. Car je ferai dans ce livre tout ce qui est en mon pouvoir pour vous «décevoir».” C’est en ces termes que Joumana Haddad s’adresse au lecteur occidental avant de lui expliquer comment elle et ses semblables peuvent être des femmes libres dans un monde arabe pourtant ravagé par le despotisme et l’obscurantisme. Mêlant témoignage personnel, méditations, poèmes, elle raconte d’abord ses premiers émois, lectrice toute jeune encore du marquis de Sade, puis son expérience d’adolescente qui grandit dans une ville en guerre, Beyrouth, puis de jeune femme écrivant de la poésie libertine, enfi n de femme de quarante ans qui édite le premier magazine érotique en langue arabe. Tuer Schéhérazade, c’est à la fois vivre et penser en femme libre, en femme arabe et libre, comme il en existe tant… qu’on s’interdit de voir et d’entendre.