L’Ensorceleuse raconte trois histoires en une. En effet, on y suit trois personnages : Radborne Comstock, peintre de l’époque victorienne, américain, durant un séjour à Londres, Val Comstock, petit frère d’icelui, de nos jours, quelque peu perturbé, et Daniel « j’ai oublié son nom de famille », journaliste américain en congé sabbatique à Londres pour écrire un livre sur le mythe de Tristan et Iseult. L’histoire tourne autour de tableaux, de femme(s), d’art et de poètes et peintres victoriens.
J’ai résumé dans les grandes lignes la situation initiale parce que le reste, c’est assez compliqué. Je suis d’ailleurs pas sûr d’avoir tout compris. La faute à une écriture assez dense et envoûtante, compliquée et pleine.
Du coup je sais pas trop quoi dire ce que j’en ai pensé. Enfin si : j’ai aimé, c’est certain. Mais à quel point, qu’est-ce que j’ai aimé ? C’est certainement bien écrit, l’auteure donne envie d’en savoir plus, d’aller au bout. Ses histoires sont bien menées pour se rejoindre finalement. On finit peut-être par se perdre dans les noms de persos et de lieux qu’on ne connait pas forcément.
Bref, une belle lecture donc.