La révélation de l'amouuur !
Le monde des vampires de cette ville des Etats-Unis d'Amérique nous est à présent extrêmement familier. On connaît bien les membres de la Confrérie et ceux qui gravitent autour (les vampires en titre et ceux qui vont le devenir).
Ainsi, le lecteur s'immerge très rapidement dans ce monde parallèle. Le début du roman, comme dans ses prédécesseurs mais c'est ici encore plus marqué, se livre à un véritable inventaire de vêtements de marques et accessoires de modes : le livre n'est pas écrit par une femme pour rien.
D'ailleurs, ce roman est un formidable outil pour tenter de décrypter la psyché féminine. En résumé, c'es rudement compliqué, comme chaque histoire d'amour décrite depuis le début de la série. Ce tome 4 n'y fera pas exception et bien des obtacles (d'incompréhension réciproque surtout) se dresseront entre les deux amants avant le happy end final. Malgré les vampires et la violence apparente (et le sexe torride), on est un peu dans le monde des bisounours (au lieu de s'appeler "Groscalin" ce sera "Dhestructeur" mais le fond est quasi similaire).
Il n'en reste pas moins que, toujours de façon aussi étonnante, le lecteur se laissera happer par la narration efficace, les sentiments contrariés et contradictoires, les moments de rapprochement intenses entre les deux amants. C'est tellement chouette qu'on s'y croirait !
Comme dirait la chanson :
"aimer, c'est ce qu'il y a de plus beauuu,
aimer, c'est monter si hauuuut,
et toucher les ailes des oiseauuux,
aimer, c'est c'qui y'a d'plus beauuu !"
(en choeur)
Je me moque un peu mais je me suis quand même laissé prendre dans le filet et j'attaque le tome 5 avec enthousiasme, c'est dingue !!