Le tome 4 démarre assez rapidement, comme les tomes précédents. L’univers de Landover se voit rafraîchi par l’introduction de nouveaux personnages. Pour une fois, Ben Holiday est absent et impuissant (et pour cause !) pendant une bonne partie du livre mais cela ne m’a pas gênée. Durant les 150-200 premières pages, j’ai trouvé que l’auteur insistait un peu trop sur les pensées, les sentiments et les états d’âme des personnages, au détriment de l’action. Heureusement les péripéties sont globalement assez nombreuses sur l’ensemble du livre. Ceux qui ont lu les tomes précédents trouveront certains rappels des faits plutôt inutiles.