J’ai lu Laxness pour compléter ma liste nobélienne (http://www.senscritique.com/liste/Nobel_un_prix_un_livre/771097). Juste pour ça… à la base du moins. Deuxième livre islandais que je lisais (après Entre ciel et terre de Stefanssòn), je ne peux que saluer la virtuosité de son style. Je n’ai pas encore lu d’autre ouvrage de ce maitre romancier, mais je vais sans doute m’y atteler d’ici peu. La littérature islandaise recèle de petits bijoux qui sont encore bien méconnus en francophonie… (http://www.senscritique.com/liste/A_la_decouverte_de_la_Scandinavie/1172560)
Pour La Cloche d’Islande, voilà ce que je retiens…
Langoureux : les amours impossibles entre les hommes et la vie.
Aventureux : les aventures de Jon Hreggvidsson confronté à la réalité et à l’injustice de son temps.
Xénophobie : pauvres islandais sans cesse comparés à des animaux… voire moins.
Narration : lente et maitrisée, un régal pour les yeux.
Epique : l’épopée d’une Islande piégée par son climat et ses terres infernales.
Sauvage : une beauté sauvage anime le livre tout au long de ses nombreuses pages.
Splendide : no comment.