La robe blanche de Nathalie Léger englobe deux récits.
En premier, celui de l’artiste Giuseppina Pasqualino di Marineo de son nom d’artiste Pippa Bacca qui, partie de Milan, sa ville natale, pour se rendre à Jérusalem, en auto-stop et habillée d’une robe de mariée avec son trousseau en guise de bagage. Manière pour elle de porter un message d’amour et de paix tout au long de son périple en filmant ses rencontres. Un journal se chargeait de raconter son voyage. Mais, près d’Istanbul, elle est retrouvée violée et assassinée.
En racontant cet épisode à sa mère, la narratrice découvre petit à petit les violences que celle-ci a subi de la part de son ex-mari : abandon, divorce sans consentement, sans défense, une vie à reconstruire seule.
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