Catherine Dufour a été traumatisée par la lecture d'une édition de Lorenzaccio (Musset) des années 50 et expurgée de toute allusion sexuelle. Il faut bien admettre que le texte obtenu devait être bien plus court et très cryptique !
Seulement voilà, regrouper toutes les allusions graveleuses de cette pièce, et (vaguement) les contextualiser, ne suffit pas à être réjouissant. J'ai eu l'impression de lire un chapitre oublié d'une édition moderne de Profil d'une œuvre à mettre dans les mains de tous les étudiants, ce qui n'est pas inintéressant. Mais il m'a manqué une relecture personnelle, voire une plu-value fictionnelle ou comique.
Dommage...