Sa culture et sa vision du monde permettent à Laure Adler dans son nouvel essai « La voyageuse de nuit » de parler de la vieillesse. A l’aide de références littéraires et historiques, elle dresse un savoir-vivre de ce que devrait être la vieillesse dans notre monde moderne.
Plutôt punkette que mondaine, âgée de soixante-dix ans, Laure Adler réfléchit à travers « La voyageuse de nuit » sur ce que le terme de vieux /vieille recouvre dans notre Europe, elle aussi bien âgée, qui préfère reléguer plutôt qu’intégrer (mais ce n’est pas le seul groupe social qui subit ça).
Dans « La voyageuse de nuit », Laure Adler décrit comment la vieille fait plus peur que le vieux. Depuis la nuit des temps, elle est accusée de donner la maladie avec sa ménopause. De plus, lorsqu’elle n’est pas sous l’autorité d’un mari ou d’un frère, elle est souvent associée à la folie ou la sorcellerie. Encore en Inde, actuellement, une veuve est déclarée responsable de la mort de son mari. Elle est répudiée dans une grande misère en dehors de son village.
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