La cellulite, c'est comme la mafia, ça n'existe pas par Overtherainbow
Ce livre est franchement moyen. Je m'attendais à mieux au vu des commentaires au dos mais il ne faut jamais se fier à ça, chose que je n'ai toujours pas réussi à assimiler en presque 20 ans de lecture acharnée.
Oui c'est moyen parce qu'en effet l'unique intérêt du bouquin réside dans son originalité. Pulsatilla, nous conte ici et ce, sans langue de bois, son enfance, son adolescence, enfin sa vie entière sur un ton ultra dramatique et plaintif. En gros elle nous bassine avec "pourquoi c'est trooop dur d'être une fille". Moi j'veux bien mais faudrait peut être que quelqu'un lui apprenne la nuance. Bref, j'ai souris pour une ou deux phrase bien placées, mais l'humour s'arrête là. Ce serait plus une sorte de discours haineux envers la gente masculine et la société (italienne) en général. Se plaindre ça va, se plaindre tout le temps ...
De plus j'ai trouvé le temps long à la lecture de ce court texte (240 pages) parce que tout n'est pas intéressant loin de là.
Cependant j'ai quand même apprécié le ton cynique et le langage très très cru qui apporte un certain dynamisme à un texte qui en est plutôt dépourvu de base.