Je crains que, du bouc émissaire au politicien mégalomane, du plan de conquête du monde à la menace extraterrestre, il n'y ait pas grand chose à dire de ce roman, pas grand chose non plus à en retenir. Quoique... on peut noter le caractère résolument misanthrope du méchant de l'histoire, totalement fou et aussi aigri que déterminé.
"Je n'éprouve aucun remord à détruire un si grand nombre d'hommes, car l'humanité est lamentable et le monde est surpeuplé. La Terre a besoin d'être purifiée."
Si, tant que j'y pense, il y a bien autre chose : pour détruire des cibles de la taille d'une grande métropole, la flamme cosmique emploie un moyen à ce point grotesque qu'il vaut mieux en rire qu'en pleurer, j'ai nommé une loupe géante - une énorme lentille manœuvrée depuis l'espace qui concentre les rayons du soleil jusqu'à brûler des villes entières, de la même manière que vous avez exterminé des fourmis quand vous étiez enfant. Oui, il suffisait d'y penser.
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