L'actualité sur Le 15 mars 1928

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Le 15 mars 1928

一九二八年三月十五日

1928 • livre de Takiji Kobayashi

Résumé : Le 15 mars 1928 évoque une journée de répression. Ce jour-là, 1 600 militants communistes et socialistes, accusés de vouloir renverser le cabinet conservateur de Giichi Tanaka, sont arrêtés par la police japonaise et jetés en prison. La petite ville d’Otaru est le théâtre d’une des rafles les plus importantes du pays. C’est là que vit Takiji Kobayashi, employé de banque et militant ouvrier. Alors que les journalistes se taisent, il décide de raconter ce qu’il a vu et ce qu’il sait, en écrivant ce premier roman en forme d’enquête. Saisi et censuré dès sa parution, le livre documente la barbarie des violences policières et la vie ordinaire de ceux qu’elle mutile. Traduit pour la première fois en langue française, il peint un portrait collectif de la classe ouvrière, sobrement, en quelques fragments intimes, dans le huis clos d’une prison. Cinq ans après la rédaction du 15 mars 1928, l’auteur du Bateau-usine et du Propriétaire absent, âgé de 29 ans seulement, meurt sous les coups de la police.

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Le 15 mars 1928

一九二八年三月十五日

1928 • livre de Takiji Kobayashi

Résumé : Le 15 mars 1928 évoque une journée de répression. Ce jour-là, 1 600 militants communistes et socialistes, accusés de vouloir renverser le cabinet conservateur de Giichi Tanaka, sont arrêtés par la police japonaise et jetés en prison. La petite ville d’Otaru est le théâtre d’une des rafles les plus importantes du pays. C’est là que vit Takiji Kobayashi, employé de banque et militant ouvrier. Alors que les journalistes se taisent, il décide de raconter ce qu’il a vu et ce qu’il sait, en écrivant ce premier roman en forme d’enquête. Saisi et censuré dès sa parution, le livre documente la barbarie des violences policières et la vie ordinaire de ceux qu’elle mutile. Traduit pour la première fois en langue française, il peint un portrait collectif de la classe ouvrière, sobrement, en quelques fragments intimes, dans le huis clos d’une prison. Cinq ans après la rédaction du 15 mars 1928, l’auteur du Bateau-usine et du Propriétaire absent, âgé de 29 ans seulement, meurt sous les coups de la police.

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一九二八年三月十五日

1928 • livre de Takiji Kobayashi

Résumé : Le 15 mars 1928 évoque une journée de répression. Ce jour-là, 1 600 militants communistes et socialistes, accusés de vouloir renverser le cabinet conservateur de Giichi Tanaka, sont arrêtés par la police japonaise et jetés en prison. La petite ville d’Otaru est le théâtre d’une des rafles les plus importantes du pays. C’est là que vit Takiji Kobayashi, employé de banque et militant ouvrier. Alors que les journalistes se taisent, il décide de raconter ce qu’il a vu et ce qu’il sait, en écrivant ce premier roman en forme d’enquête. Saisi et censuré dès sa parution, le livre documente la barbarie des violences policières et la vie ordinaire de ceux qu’elle mutile. Traduit pour la première fois en langue française, il peint un portrait collectif de la classe ouvrière, sobrement, en quelques fragments intimes, dans le huis clos d’une prison. Cinq ans après la rédaction du 15 mars 1928, l’auteur du Bateau-usine et du Propriétaire absent, âgé de 29 ans seulement, meurt sous les coups de la police.

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Le 15 mars 1928

一九二八年三月十五日

1928 • livre de Takiji Kobayashi

Résumé : Le 15 mars 1928 évoque une journée de répression. Ce jour-là, 1 600 militants communistes et socialistes, accusés de vouloir renverser le cabinet conservateur de Giichi Tanaka, sont arrêtés par la police japonaise et jetés en prison. La petite ville d’Otaru est le théâtre d’une des rafles les plus importantes du pays. C’est là que vit Takiji Kobayashi, employé de banque et militant ouvrier. Alors que les journalistes se taisent, il décide de raconter ce qu’il a vu et ce qu’il sait, en écrivant ce premier roman en forme d’enquête. Saisi et censuré dès sa parution, le livre documente la barbarie des violences policières et la vie ordinaire de ceux qu’elle mutile. Traduit pour la première fois en langue française, il peint un portrait collectif de la classe ouvrière, sobrement, en quelques fragments intimes, dans le huis clos d’une prison. Cinq ans après la rédaction du 15 mars 1928, l’auteur du Bateau-usine et du Propriétaire absent, âgé de 29 ans seulement, meurt sous les coups de la police.

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Le 15 mars 1928

一九二八年三月十五日

1928 • livre de Takiji Kobayashi

Résumé : Le 15 mars 1928 évoque une journée de répression. Ce jour-là, 1 600 militants communistes et socialistes, accusés de vouloir renverser le cabinet conservateur de Giichi Tanaka, sont arrêtés par la police japonaise et jetés en prison. La petite ville d’Otaru est le théâtre d’une des rafles les plus importantes du pays. C’est là que vit Takiji Kobayashi, employé de banque et militant ouvrier. Alors que les journalistes se taisent, il décide de raconter ce qu’il a vu et ce qu’il sait, en écrivant ce premier roman en forme d’enquête. Saisi et censuré dès sa parution, le livre documente la barbarie des violences policières et la vie ordinaire de ceux qu’elle mutile. Traduit pour la première fois en langue française, il peint un portrait collectif de la classe ouvrière, sobrement, en quelques fragments intimes, dans le huis clos d’une prison. Cinq ans après la rédaction du 15 mars 1928, l’auteur du Bateau-usine et du Propriétaire absent, âgé de 29 ans seulement, meurt sous les coups de la police.

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Adrien Meignan

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Le 15 mars 1928

一九二八年三月十五日

1928 • livre de Takiji Kobayashi

Résumé : Le 15 mars 1928 évoque une journée de répression. Ce jour-là, 1 600 militants communistes et socialistes, accusés de vouloir renverser le cabinet conservateur de Giichi Tanaka, sont arrêtés par la police japonaise et jetés en prison. La petite ville d’Otaru est le théâtre d’une des rafles les plus importantes du pays. C’est là que vit Takiji Kobayashi, employé de banque et militant ouvrier. Alors que les journalistes se taisent, il décide de raconter ce qu’il a vu et ce qu’il sait, en écrivant ce premier roman en forme d’enquête. Saisi et censuré dès sa parution, le livre documente la barbarie des violences policières et la vie ordinaire de ceux qu’elle mutile. Traduit pour la première fois en langue française, il peint un portrait collectif de la classe ouvrière, sobrement, en quelques fragments intimes, dans le huis clos d’une prison. Cinq ans après la rédaction du 15 mars 1928, l’auteur du Bateau-usine et du Propriétaire absent, âgé de 29 ans seulement, meurt sous les coups de la police.

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