Malheureusement, la tournure des évènements finit par nous rappeler que l'auteur s'évertue à toujours dégainer la carte du happy end, après avoir ici joué celle de l'invraisemblable : égarés dans l'espace, condamnés à dériver jusqu'à ce que mort s'ensuive à cause d'un habile sabotage, Dick et May sont finalement secourus par les habitants de Saturne. Nos héros découvrent à cette occasion que les saturniens sont les descendants des Atlantes et que, depuis leur exil, ils sont parvenus à maîtriser les dimensions, le temps, l'espace, l'énergie atomique, la télépathie et la vie perpétuelle. C'est sûr qu'avec l'aide de tels alliés, le petit couple avait tous les atouts pour gagner la partie.
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